La matinale dédiée à l’actualité de la création contemporaine, tous les mercredis de 9:15 à 10:00 en direct sur *Duuu Radio.
Avec ce mois-ci : Justin Morin, Pascal Montfort et Julie Duval (accompagnée Juliette Bayi).
On voit beaucoup d’art en ligne, plutôt Tumblr qu’Instagram à l’époque, et on s’est dit il faut qu’on en fasse quelque chose, que l’on fasse une exposition, qu’on expérimente à partir de cette banque d’image.
AVEC :
Bibliomania
Thierry Chancogne
Jérôme Dupeyrat
Exposer Publier
It’s Our Playground
Radio L’Innommable
Roxane Jubert
Claire Le Restif
Sophie T. Lvoff
Roxanne Maillet
Cette journée d’étude vise à interroger les temps et les pratiques de collaboration entre les différent.e.s acteurs.trices dans le champ de l’art contemporain. Les commissaires, les artistes, et les designers graphiques travaillent ensemble à la réalisation et à la diffusion de l’art contemporain sous toutes ses formes.
Les pratiques s’entrecroisent et génèrent des figures aux multiples casquettes : commissaire-éditeur/éditrice, artiste-designer, designer-performeur/performeuse, etc. Les formats se mélangent également et laissent place à de nouvelles pratiques de l’exposition et de l’édition.
Enregistrement et réalisation : Gaspard Collin et Julien Brulé
Montage : Gaspard Collin et Martin Fauret
Journée d’étude le samedi 29 juin 2019 à DOC!
Organisée par milo, association de douze jeunes commissaires internationales.
Avec le soutien d’Isabelle Ewig, Claire Le Restif et Valérie Mavridorakis (Sorbonne Université), d’Alexandru Balgiu et Olivier Lebrun (Ensba Lyon).
En partenariat avec le Centre André Chastel, Sorbonne Université, l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon et *Duuu.
C’est aussi devenu une forme de temple en fait, avec des gardiens, qu’il faut pas déranger.
La fiction est morte. Vive l’imagination !
Inventer de nouvelles fictions pour avoir la peau du “there is no alternative” de Margaret Thatcher, balancer nos sociétés dans un futur proche ou des réalités parallèles pour en pointer les disfonctionnement. Et si faire du théâtre politique, c’était aussi (surtout ?) imaginer d’autres mondes ? Pour sa cinquième séance, QPLS se penche sur les politiques fictions et le théâtre d’anticipation.
Invités :
- Collectif l’Avantage du doute
- Compagnie Modes d’emploi
Alors que la culture disparaît du débat politique, les pouvoirs publics ne cessent de demander aux artistes d’assumer un rôle social, d’être les artisans du vivre ensemble et de participer à la lutte contre les extrémismes. Dans ce contexte, metteurs en scènes et chorégraphes peuvent-ils revendiquer un rôle politique qui ne soit pas dicté par le haut ? Comment, à travers un geste artistique, dépasser les programmes et idéologies préétablies pour ouvrir les possibles de ce que l’on nomme « politique » ?
Tous les deux mois, le cycle « Que peut la scène ? » explore les enjeux politiques du spectacle vivant contemporain. Centrées sur la pratique, ces rencontres-débats invitent des metteurs en scène, chorégraphes, directeurs de structure et théoriciens à débattre autour d’une question et à mettre en commun leur expérience avec le public.
Cycle de rencontres & débats conçu et proposé par Aïnhoa Jean-Calmettes et Alice Ramond dans le cadre de l’Université libre de DOC, en partenariat avec le Magazine Mouvement et *Duuu
Une émission enregistrée le 14.05.2018
Faut faire du théâtre avec les gens.
En finir avec la fiction ?
La multiplication des pièces documentaires, ces dernières années, laisse entrevoir un désir d’offrir sur scène une “image vraie” de la société. Comédiens non professionnels qui jouent leur propre rôle, témoignages et histoires vécues, travail de terrain qui emprunte aux sciences humaines sont convoqués pour représenter le monde tel qu’il est. Le théâtre en aurait-il fini avec la fiction ?
Invités :
- Elise Chatauret, metteure en scène
- Corine Miret et Stéphane Olry, fondateurs du collectif La revue éclair
- Nil Dinç, metteure en scène et fondatrice de Gongle, Expérimentations sociales et théâtrales.
Alors que la culture disparaît du débat politique, les pouvoirs publics ne cessent de demander aux artistes d’assumer un rôle social, d’être les artisans du vivre ensemble et de participer à la lutte contre les extrémismes. Dans ce contexte, metteurs en scènes et chorégraphes peuvent-ils revendiquer un rôle politique qui ne soit pas dicté par le haut ? Comment, à travers un geste artistique, dépasser les programmes et idéologies préétablies pour ouvrir les possibles de ce que l’on nomme « politique » ?
Tous les deux mois, le cycle « Que peut la scène ? » explore les enjeux politiques du spectacle vivant contemporain. Centrées sur la pratique, ces rencontres-débats invitent des metteurs en scène, chorégraphes, directeurs de structure et théoriciens à débattre autour d’une question et à mettre en commun leur expérience avec le public.
Cycle de rencontres & débats conçu et proposé par Aïnhoa Jean-Calmettes (rédactrice en chef de Mouvement) et Alice Ramond dans le cadre de l’Université libre de DOC, en partenariat avec le Magazine Mouvement et *Duuu
Une émission enregistrée le 09.04.2018
Et c’est confortable pour tout le monde. La salle de théâtre est confortable dans la salle, et sur scène.
Tout le monde dehors !
Cette troisième séance de “Que peut la scène” donnera la parole à de jeunes metteurs en scène et collectifs qui s’organisent pour jouer dans l’espace public et monter des festivals dans des endroits insolites. Avec ou sans le soutien des institutions ils tentent autre chose que la salle de spectacle, sans se revendiquer du théâtre de rue. Comment et pourquoi ? Revue d’initiatives.
Invités :
- Collectif 49 701, créateur de la série “Les trois mousquetaires” en espace public : avec Clara Hédouin (metteure en scène et doctorante)
- Lynceus Festival à Binic : avec Antonin Fadinard (co-directeur, metteur en scène, auteur et comédien)
- Festival Pampa en Pays Foyen : avec Anthony Boullonois (comédien et fondateur du collectif Pampa) et Jessica Dalle (metteure en scène et membre fondateur du collectif)
Alors que la culture disparaît du débat politique, les pouvoirs publics ne cessent de demander aux artistes d’assumer un rôle social, d’être les artisans du vivre ensemble et de participer à la lutte contre les extrémismes. Dans ce contexte, metteurs en scènes et chorégraphes peuvent-ils revendiquer un rôle politique qui ne soit pas dicté par le haut ? Comment, à travers un geste artistique, dépasser les programmes et idéologies préétablies pour ouvrir les possibles de ce que l’on nomme « politique » ?
Tous les deux mois, le cycle « Que peut la scène ? » explore les enjeux politiques du spectacle vivant contemporain. Centrées sur la pratique, ces rencontres-débats invitent des metteurs en scène, chorégraphes, directeurs de structure et théoriciens à débattre autour d’une question et à mettre en commun leur expérience avec le public.
Cycle de rencontres & débats conçu et proposé par Aïnhoa Jean-Calmettes et Alice Ramond dans le cadre de l’Université libre de DOC, en partenariat avec le Magazine Mouvement et *Duuu
Une émission enregistrée le 22.01.2018
Il y a toujours ce clivage un peu théorie/pratique qui persiste quand même.
Aller au théâtre comme à la messe ?
Qui n’a jamais eu l’impression d’être au théâtre comme face à un sermon ? De n’avoir d’autre rôle, en tant que spectateur, que celui d’acquiescer ? Sur scène ceux qui savent, dans le public ceux qui écoutent religieusement, et apprennent. Et si on faisait autrement ?
Invitées :
Marion Boudier, chercheuse et dramaturge de Joël Pommerat (« Ça ira (1), fin de Louis »)
Camille Louis, philosophe et dramaturge, cofondatrice du collectif Kom.post
Alors que la culture disparaît du débat politique, les pouvoirs publics ne cessent de demander aux artistes d’assumer un rôle social, d’être les artisans du vivre ensemble et de participer à la lutte contre les extrémismes. Dans ce contexte, metteurs en scènes et chorégraphes peuvent-ils revendiquer un rôle politique qui ne soit pas dicté par le haut ? Comment, à travers un geste artistique, dépasser les programmes et idéologies préétablies pour ouvrir les possibles de ce que l’on nomme « politique » ?
Tous les deux mois, le cycle « Que peut la scène ? » explore les enjeux politiques du spectacle vivant contemporain. Centrées sur la pratique, ces rencontres-débats invitent des metteurs en scène, chorégraphes, directeurs de structure et théoriciens à débattre autour d’une question et à mettre en commun leur expérience avec le public.
Cycle de rencontres & débats conçu et proposé par Aïnhoa Jean-Calmettes et Alice Ramond dans le cadre de l’Université libre de DOC, en partenariat avec le Magazine Mouvement et *Duuu
Une émission enregistrée le 02.11.2017
Bien sûr que c’est politiquement correct de dire le public, on doit retrouver le public…
Alors que la culture disparaît du débat politique, les pouvoirs publics ne cessent de demander aux artistes d’assumer un rôle social, d’être les artisans du vivre ensemble et de participer à la lutte contre les extrémismes. Dans ce contexte, metteurs en scènes et chorégraphes peuvent-ils revendiquer un rôle politique qui ne soit pas dicté par le haut ? Comment, à travers un geste artistique, dépasser les programmes et idéologies préétablies pour ouvrir les possibles de ce que l’on nomme « politique » ?
Tous les deux mois, le cycle « Que peut la scène ? » explore les enjeux politiques du spectacle vivant contemporain. Centrées sur la pratique, ces rencontres-débats invitent des metteurs en scène, chorégraphes, directeurs de structure et théoriciens à débattre autour d’une question et à mettre en commun leur expérience avec le public.
Un cycle de rencontres & débats conçu et proposé par Aïnhoa Jean-Calmettes et Alice Ramond dans le cadre de l’Université libre de DOC, en partenariat avec le Magazine Mouvement et *Duuu.
Une émission enregistrée le 11.09.2017.
Il dit que la réalité sociale a changé.
Séance spéciale autour du texte de Jacques Rancière, « En quel temps vivons-nous », un dialogue avec Eric Hazan, fondateur des éditions La Fabrique.
Université libre
A partir du mois de novembre, DOC initie un nouveau terrain de rencontre. De la volonté d’étendre et ouvrir ce qui a été initié dans la création du collectif DOC, l’Université libre teste l’échange et le partage de connaissances. A l’affût de savoirs d’horizons variés, DOC vise à proposer un panel de « cours » de toutes disciplines, et prendra aussi l’occasion de la venue à Paris d’intervenants étrangers pour organiser des rencontres ‘à la volée’. Les invités sont conviés à imaginer des contextes de débat, d’apprentissage, de convivialité et de mise en commun tendant à refléter dans la forme et la vie même de l’enseignement, le contenu qui est transmis. La production et l’expérimentation des formats étant constante, ils sont conçus pour se transformer au fur et à mesure qu’ils seront testés, avec ses participants.
Conçu et proposé par Patrice Maniglier, philosophe
Une émission enregistrée lundi 25 septembre 2017 au DOC!, espace Galop.
Quand on prend le hasard et qu’on le traverse, on tue le dieu.
Dimanche 11 juin 2017 à 18h
Pour clôturer la saison et accueillir l’été, l’équipe de l’Espace Galop a permis un dernier weekend de rencontres culturelles autour du cinéma, des arts de la scène et des activités de l’Université Libre.
Une assemblée ouverte à tous a été proposée pour débattre librement à partir d’un court texte qui questionne les liens que le spectacle vivant entretien avec la réalité et l’actualité. Après une année extrêmement dense politiquement, qui aura vu les événements sociaux de Mai, Nuit Debout, le démantèlement de Calais, la pérennisation de la ZAD de Notre-Dame des Landes, une campagne présidentielle inattendue, la création de nombreux collectifs artistiques et engagés, le renouvellement des formes militantes. Nous nous demanderons comment le spectacle vivant négocie sa place dans notre monde ?
Ont été invités à participer au débat des professionnels du théâtre et de la critique : Daniel Jeanneteau, Gwenaël Morin, Clémentine Baert, Philippe Quesne, Michel Albertini ….
Modérateur : Alain Berland
Ce qui est intéressant, c’est de chercher les méthodes pour construire une harmonie.
Tous les mois sont proposés à la lecture des textes de la tradition anarchiste.
Après s’est concentré sur le recueil ‘Ni Dieu ni maître, anthologie de l’anarchisme’ (1970) de Daniel Guérin, et plus spécifiquement sur Proudhon, il a été proposé de se tourner vers Murray Bookchin, militant et essayiste américain, de la lignée des écologistes libertaires. Pour la séance du 13 février, on avance donc dans le temps pour lire le texte ‘Pour un municipalisme libertaire’, éd. Ateliers de création libertaire, 2003.
Université libre
A partir du mois de novembre, DOC initie un nouveau terrain de rencontre. De la volonté d’étendre et ouvrir ce qui a été initié dans la création du collectif DOC, l’Université libre teste l’échange et le partage de connaissances. A l’affût de savoirs d’horizons variés, DOC vise à proposer un panel de « cours » de toutes disciplines, et prendra aussi l’occasion de la venue à Paris d’intervenants étrangers pour organiser des rencontres ‘à la volée’. Les invités sont conviés à imaginer des contextes de débat, d’apprentissage, de convivialité et de mise en commun tendant à refléter dans la forme et la vie même de l’enseignement, le contenu qui est transmis. La production et l’expérimentation des formats étant constante, ils sont conçus pour se transformer au fur et à mesure qu’ils seront testés, avec ses participants.
Conçu et proposé par Patrice Maniglier, philosophe
Une émission enregistrée lundi 13 février 2017 au DOC, espace Galop.
Il y a des gens en situation de commander parce qu’ils savent quoi faire.
Après avoir lancé l’idée d’un “anarchisme parasitaire” capable de traiter la question des organisations anarchistes à grande échelle, puis réévaluée le rapport entre l’anarchisme et le rationalisme critique dans un monde où la critique est souvent entre les mains du pouvoirs et où les algorithmes font souvent la loi, le Groupe de lectures anarchistes reprend ses activités si fructueuses en 2017. Nous continuons notre lecture de Proudhon, inventeur du terme “anarchisme” en lisant son “Manifeste électoral du peuple”. Entrant en période d’élections, nous verrons comment une grande figure de l’anarchisme envisage la question électorale.
Université libre
A partir du mois de novembre, DOC initie un nouveau terrain de rencontre. De la volonté d’étendre et ouvrir ce qui a été initié dans la création du collectif DOC, l’Université libre teste l’échange et le partage de connaissances. A l’affût de savoirs d’horizons variés, DOC vise à proposer un panel de « cours » de toutes disciplines, et prendra aussi l’occasion de la venue à Paris d’intervenants étrangers pour organiser des rencontres ‘à la volée’. Les invités sont conviés à imaginer des contextes de débat, d’apprentissage, de convivialité et de mise en commun tendant à refléter dans la forme et la vie même de l’enseignement, le contenu qui est transmis. La production et l’expérimentation des formats étant constante, ils sont conçus pour se transformer au fur et à mesure qu’ils seront testés, avec ses participants.
Conçu et proposé par Patrice Maniglier, philosophe
Une émission enregistrée lundi 27 janvier 2017 au DOC!, espace Galop.
Je vais vous faire une lecture inédite, avec un chat.
Poetry Night : Paris-New York
Lecture à 6 voies avec Laura Boullic (FR), Antoine Dufeu (FR), Matt Longabucco (US), Pierre Paulin (FR), Théo Robine-Langlois (FR), Rachel Valinsky (US)
Tout à coup un signal plus sûr, mais qui n’apparaissait qu’un instant pour aussitôt s’abolir. (George Perec, Disparition)
Traçant des lignes de fuite, de dispersion, et d’effacement, des poètes lisent sur la disparition—de choses, de personnes, de phénomènes—et des états d’oubli et de perte qui y sont liés, où le langage s’attarde. Les lectures sont bilingues, en français et anglais.
Laura Boullic est poète, et édite les pages poésie de la revue Mouvement.
Antoine Dufeu est écrivain, traducteur, éditeur, enseignant et journaliste.
Matt Longabucco est l’auteur des chapbooks The Sober Day et Everybody Suffers. Il est co-fondateur de la bibliothèque indépendante Wendy’s Subway. Il enseigne à NYU et Bard et habite à Brooklyn.
Théo Robine-Langlois écrit sur internet, dans des revues, produit des expositions dans son atelier (A-frame) ou sur invitation, des émissions de radio avec Duuu* Radio et participe à une librairie indépendante Section7books. […] est son premier livre publié.
Pierre Paulin est artiste. Il écrit, traduit, et produit des éditions.
Rachel Valinsky est chercheuse, écrivaine, et traductrice basée à New York. Elle est co-fondatrice de la bibliothèque indépendante Wendy’s Subway.
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Lecture at 6 voices featuring Laura Boullic (FR), Antoine Dufeu (FR), Matt Longabucco (US), Pierre Paulin (FR), Théo Robine-Langlois (FR), Rachel Valinsky (US)
A sign, alas, that would last an instant only to vanish for good. (George Perec, A Void)
Tracing lines of flight, dispersal and erasure, poets read on disappearance—of things, people, phenomena—and its attendant states of forgetfulness and loss, in which language lingers. Readings are bilingual, in French and English.
Laura Boullic is a poet. She edits the poetry section of the journal Mouvement.
Antoine Dufeu is a writer, translator, publisher, professor, and journalist.
Matt Longabucco is the author of the chapbooks The Sober Day and Everybody Suffers. He is a co-founder of the independent library Wendy’s Subway. He teaches at NYU and Bard and lives in Brooklyn.
Théo Robine-Langlois writes on the internet, in journals, produces exhibitions in his studio (A-Frame) or upon invitation radio shows with Duuu*, and contributes to a independant bookshop Section7Books. […] is a first published book.
Pierre Paulin is an artist. He writes, he translates and produces books.
Rachel Valinsky is an independent curator, writer, and translator based in Brooklyn, New York. She is a co-founder of the independent library Wendy’s Subway.
In the framework of the Université Libre at DOC!
Wednesday, january 11, 2017 at DOC! - Espace Galop
Dans le cadre de l’Université Libre de DOC!
Mercredi 11 janvier 2017 au DOC! Espace Galop
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In the framework of the Université Libre at DOC!
Wednesday, january 11, 2017 at DOC! - Espace Galop
Les livres ne parlent que des groupes installés dans la puissance et dans l’honneur.
Diagonale du livre #1 : Pierre Bergounioux
Nous commencerons des lectures informelles avec l’écrivain Pierre Bergounioux qui initiera une dérive collective à partir d’un texte de l’écrivain américain William Faulkner (1887 -1962). Faulkner a écrit des nouvelles, romans, poésies qui étaient la plupart du temps situées dans le Yoknapatawpha County, lieu fictionnel inspiré du County Lafayette, dans le Mississippi. Il est notamment l’auteur de “Le Bruit et la Fureur” (1929), “Tandis que j’agonise” (1930), “Sanctuaire” (1931), “Lumière d’août” (1932) et “Absalon, Absalon !” (1936).
Université libre
A partir du mois de novembre, DOC initie un nouveau terrain de rencontre. De la volonté d’étendre et ouvrir ce qui a été initié dans la création du collectif DOC, l’Université libre teste l’échange et le partage de connaissances. A l’affût de savoirs d’horizons variés, DOC vise à proposer un panel de « cours » de toutes disciplines, et prendra aussi l’occasion de la venue à Paris d’intervenants étrangers pour organiser des rencontres ‘à la volée’. Les invités sont conviés à imaginer des contextes de débat, d’apprentissage, de convivialité et de mise en commun tendant à refléter dans la forme et la vie même de l’enseignement, le contenu qui est transmis. La production et l’expérimentation des formats étant constante, ils sont conçus pour se transformer au fur et à mesure qu’ils seront testés, avec ses participants.
Une émission enregistrée lundi 5 décembre 2016 au DOC, espace Galop.
La condition primaire de l’homme n’est pas l’isolement ou la solitude, mais la vie en société.
Tous les mois seront proposés à la lecture des textes de la tradition anarchiste. En commençant par le recueil ‘Ni Dieu ni maître, anthologie de l’anarchisme’ (1970) de Daniel Guérin, le groupe étudiera ensemble des ouvrages qui seront déterminés au fur et à mesure de ses avancées, ses questionnements, ses problèmes. Les séances seront préparées à l’avance par les lectures personnelles de chacun.
Pour cette première séance, Patrice Maniglier nous entraîne dans la lecture du texte de Stirner, issu du livre de Daniel Guérin, “L’Unique et sa propriété” (1843).
Université libre
A partir du mois de novembre, DOC initie un nouveau terrain de rencontre. De la volonté d’étendre et ouvrir ce qui a été initié dans la création du collectif DOC, l’Université libre teste l’échange et le partage de connaissances. A l’affût de savoirs d’horizons variés, DOC vise à proposer un panel de « cours » de toutes disciplines, et prendra aussi l’occasion de la venue à Paris d’intervenants étrangers pour organiser des rencontres ‘à la volée’. Les invités sont conviés à imaginer des contextes de débat, d’apprentissage, de convivialité et de mise en commun tendant à refléter dans la forme et la vie même de l’enseignement, le contenu qui est transmis. La production et l’expérimentation des formats étant constante, ils sont conçus pour se transformer au fur et à mesure qu’ils seront testés, avec ses participants.
Conçu et proposé par Patrice Maniglier, philosophe
Une émission enregistrée lundi 13 février 2017 au DOC, espace Galop.