Comment bien fermer une école d’art (7)
27.06.25
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Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.

Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.

Comment bien fermer une école d’art #7, en direct le vendredi 27 juin à 18:00 depuis l’ésad Valenciennes.

Cet ultime épisode se déroule au moment même où l’école invite le public à se joindre à elles et eux pour les aider à fermer leurs portes définitivement. Avant de disparaître dans les abîmes, l’école d’art bicentenaire ouvre ses portes une dernière fois.

Enregistrement : Loraine Baud / *Duuu Radio

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04.04.25
À voix haute #1 : « Soigner la folie, Propos sur la clinique » 3/3
Agathe Boulanger, Sybille Chevreuse, Carine Lendrin, Léna Monnier, Graziela Susin, Camille Zuber
97'18"
Soigner la folie (3)
Soigner la folie (3)
04.04.25
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Lecture collective de l’entretien intitulé “Propos sur la clinique”, édité en 2011 par Campagne Première dans Soigner la folie.

Pour cette lecture collective à voix haute enregistrée en direct, un groupe d’une quinzaine de lecteur.ices approfondissent la rencontre avec la psychiatre Hélène Chaigneau en lisant cet entretien fleuve, mené par la psychologue Joséphine Norah-Puel lors de seize retrouvailles entre 1988 et 1989. Dans ce texte, Chaigneau déploie des concepts façonnés par l’expérience et le quotidien auprès des malades tels que les gratifications indiscrètes, l’hémorragie du moi, l’intimisme ou encore l’historial, et les met en dialogue avec les notions de travail en équipe dans le service public, ses monstruosités organisationnelles, les rapports de forces qui s’y jouent, les questions de place, de hiérarchie, de prises d’initiative et de circulation de la parole.

Le collectif « À voix haute », composé d’Agathe Boulanger, Sybille Chevreuse, Carine Lendrin, Léna Monnier, Graziela Susin et Camille Zuber, souhaite faire entendre dans l’Aube les textes de femmes ayant traversé l’histoire de la Psychothérapie Institutionnelle, ici et ailleurs, de la première moitié du 20ème siècle à aujourd’hui.

Lecteur.ices : Julien Berret, Agathe Boulanger, Laurent Bouzanquet, Muriel Bucher, Anna Carlier, Sarah Chaumette, Sybille Chevreuse, Frédéric Danos, Cécile Drnovsek, Linda de Zitter, Pierre Finkielstein, Anne Grinfeld,Carine Lendrin, Gaëlle Marais, Léna Monnier, Paola Pellagali, Élodie Royer, Graziela Susin, Clément Vaissié, Carine Zuber.

Remerciements : Joséphine Nohra-Puel, Frédéric Elbaz, responsable édition Éditions Campagne Première, Lise Gaignard, Jean-Louis Giovannoni, Cécile Drnovsek.

Une lecture enregistrée en direct le 28 octobre au studio *Duuu par Loraine Baud
Post-production : Ariel Nisand et Arthur Bécart

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