Émission en direct avec les étudiant·es de l’Ensba Lyon
Ma bouche sera toujours leur bouche à eux
Portrait Ñun #6 : Mame Diarra et Prince Mabo
Série de portraits enregistrés lors de la résidence Ñun (Nous) à Tambacounda, Sénégal, décembre 2024.
Ñun (Nous) est un projet de coopération artistique entre l’association Free label (Tambacounda, Sénégal) et *Duuu Radio (Paris, France), soutenu par l’Institut Français et la Ville de Paris.
Depuis 2018, Bocar Niang s’investit dans la création d’un Musée Griot.tes à Tambacounda, qui sera le premier espace africain dédié aux pratiques griottes contemporaines et du futur. Autour de ce projet, Duuu mène une résidence annuelle en 2024 et 2025, participant à une réflexion autour des moyens de constituer une archive vivante des récits traditionnels oraux sénégalais. Une première résidence en 2024 est organisée avec les artistes Théo Robine-Langlois, Eden Tinto Collins, Bocar Niang, en collaboration avec l’équipe de Free Label et de Duuu radio. Une deuxième résidence en décembre 2025 avec les artistes Pierrick Mouton et Louise Guegan poursuit cette collaboration.
Ce projet a donné lieu à des enregistrements, des émissions en direct, des workshops et des événements publics, à Dakar et Tambacounda.
Ce projet est réalisé avec le soutien de l’Institut Français et de la Ville de Paris.
Production : Loraine Baud et Simon Nicaise, *Duuu radio
Enregistré à Tambacounda, décembre 2024
Montage et post-production : Aurore Portales
J’allume ma chaine hi-fi dans le rêve pour écouter ce qui en sort
TITANIUM EXPOSÉ est un cycle d’entretiens mené par Guillaume Constantin autour de l’exposition Titanium Exposé, déployée aux Instants Chavirés à Montreuil du 29 mars au 13 avril 2025.
De ce titre d’un morceau* de Sonic Youth, énigmatique à souhait (et pour ne pas dire culte), on retient pour cette exposition, surtout le deuxième terme, « exposé ». Un adjectif courant dans le champ des arts visuels qui s’est déployé aux Instants Chavirés sous différentes acceptions. Une occasion d’aborder certaines des notions et motifs que ce terme dégage.
Via les différentes pratiques des artistes invité.e.s, Alan Affichard, Lise Barkas, Matthieu Saladin et Lauren Tortil, nous naviguons dans différentes dimensions du sonore : visuelles, acoustiques, physiques, conceptuelles. Mais aussi dans l’idée d’une personne trop « exposée », fragilisée qui apparaîtrait ici via le film de Maïder Fortuné & Annie MacDonell, sous l’identité de l’artiste Lee Lozano. Même Thurston Moore, dans la chanson éponyme, semble faire écho à cette notion d’exposé, «Now I see what you might see, it’s pretty clear»**. À moins que l’objet de cette exposition ne soit en définitive que celui d’une exposition au sens photographique du terme, à savoir un rayonnement sur une pellicule sensible.
Guillaume Constantin, commissaire de l’exposition.
- Titanium Exposé, morceau final de l’album « Goo », 1990.
** « Maintenant je vois ce que tu pourrais voir, c’est assez clair »
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Lise Barkas joue de la vielle à roue et des cornemuses. Sa pratique instrumentale s’est développée dans les allers-retours entre les parquets de bals et les fêtes bruitistes, à l’écoute de l’héritage du revival des musiques traditionnelles et à travers les rencontres avec des musicien·ne·s de scènes alternatives et d’improvisation. Elle explore les techniques de jeu, et les sons de ces instruments, en solo et au sein de nombreuses collaborations et formations (L’Écluse, Lise et Lisa, Trille(s)…).
Lise Barkas participe également aux activités du label Soleils Bleus et organise des concerts dans différents lieux de Strasbourg. Son approche singulière de la vielle à roue et de la cornemuse rompt avec les traditions et c’est tout naturellement qu’elle sonde ses instruments avec une approche novatrice et audacieuse.
Prise de son et montage : Benjamin Pagier
Post-production : Aurore Portales
Générique : Extrait de Titanium Expose de Sonic Youth
Musiques :
Musique populaire d’espression française - Expression spontanée N° 7 - 1972
Extrait du « Decameron” de Pasolini - Canto delle lavandaie del Vomero, 1971
Railroad sequence - Extrait de « Stalker » d’ Andreï Tarkovsky, 1979
Acétylène - acetyl acetone : diamant d’or, 2023
Lise Barkas - Mars, 2022
Lise Barkas - Coda, 2024
Lise Barkas - Anechoïc, 2024
Certains jouent la guitare, le kora, le djembé, le balafon, et on joue, c’est comme ça
Portrait Ñun #4 : Diougouna Cissokho
Série de portraits enregistrés lors de la résidence Ñun (Nous) à Tambacounda, Sénégal, décembre 2024.
Ñun (Nous) est un projet de coopération artistique entre l’association Free label (Tambacounda, Sénégal) et *Duuu Radio (Paris, France), soutenu par l’Institut Français et la Ville de Paris.
Depuis 2018, Bocar Niang s’investit dans la création d’un Musée Griot.tes à Tambacounda, qui sera le premier espace africain dédié aux pratiques griottes contemporaines et du futur. Autour de ce projet, Duuu mène une résidence annuelle en 2024 et 2025, participant à une réflexion autour des moyens de constituer une archive vivante des récits traditionnels oraux sénégalais. Une première résidence en 2024 est organisée avec les artistes Théo Robine-Langlois, Eden Tinto Collins, Bocar Niang, en collaboration avec l’équipe de Free Label et de Duuu radio. Une deuxième résidence en décembre 2025 avec les artistes Pierrick Mouton et Louise Guegan poursuit cette collaboration.
Ce projet a donné lieu à des enregistrements, des émissions en direct, des workshops et des événements publics, à Dakar et Tambacounda.
Ce projet est réalisé avec le soutien de l’Institut Français et de la Ville de Paris.
Production : Loraine Baud et Simon Nicaise, *Duuu radio
Enregistré à Tambacounda, décembre 2024
Montage et post-production : Aurore Portales et Arthur Bécart
Nous sommes tous des goorgoorlu, ce sont des gens qui se démerdent
Portrait Ñun #3 : Amady Niang
Série de portraits enregistrés lors de la résidence Ñun (Nous) à Tambacounda, Sénégal, décembre 2024.
Ñun (Nous) est un projet de coopération artistique entre l’association Free label (Tambacounda, Sénégal) et *Duuu Radio (Paris, France), soutenu par l’Institut Français et la Ville de Paris.
Depuis 2018, Bocar Niang s’investit dans la création d’un Musée Griot.tes à Tambacounda, qui sera le premier espace africain dédié aux pratiques griottes contemporaines et du futur. Autour de ce projet, Duuu mène une résidence annuelle en 2024 et 2025, participant à une réflexion autour des moyens de constituer une archive vivante des récits traditionnels oraux sénégalais. Une première résidence en 2024 est organisée avec les artistes Théo Robine-Langlois, Eden Tinto Collins, Bocar Niang, en collaboration avec l’équipe de Free Label et de Duuu radio. Une deuxième résidence en décembre 2025 avec les artistes Pierrick Mouton et Louise Guegan poursuit cette collaboration.
Ce projet a donné lieu à des enregistrements, des émissions en direct, des workshops et des événements publics, à Dakar et Tambacounda.
Ce projet est réalisé avec le soutien de l’Institut Français et de la Ville de Paris.
Production : Loraine Baud et Simon Nicaise, *Duuu radio
Enregistré à Tambacounda, décembre 2024
Montage et post-production : Sampson Staples
Je joue d’une situation partagée, et surtout d’une attention collective et conjointe, qui embrasse le paysage sonore pour revenir à quelque chose de plus intentionnel.
TITANIUM EXPOSÉ est un cycle d’entretiens mené par Guillaume Constantin autour de l’exposition Titanium Exposé, déployée aux Instants Chavirés à Montreuil du 29 mars au 13 avril 2025.
De ce titre d’un morceau* de Sonic Youth, énigmatique à souhait (et pour ne pas dire culte), on retient pour cette exposition, surtout le deuxième terme, « exposé ». Un adjectif courant dans le champ des arts visuels qui s’est déployé aux Instants Chavirés sous différentes acceptions. Une occasion d’aborder certaines des notions et motifs que ce terme dégage.
Via les différentes pratiques des artistes invité.e.s, Alan Affichard, Lise Barkas, Matthieu Saladin et Lauren Tortil, nous naviguons dans différentes dimensions du sonore : visuelles, acoustiques, physiques, conceptuelles. Mais aussi dans l’idée d’une personne trop « exposée », fragilisée qui apparaîtrait ici via le film de Maïder Fortuné & Annie MacDonell, sous l’identité de l’artiste Lee Lozano. Même Thurston Moore, dans la chanson éponyme, semble faire écho à cette notion d’exposé, «Now I see what you might see, it’s pretty clear»**. À moins que l’objet de cette exposition ne soit en définitive que celui d’une exposition au sens photographique du terme, à savoir un rayonnement sur une pellicule sensible.
Guillaume Constantin, commissaire de l’exposition.
- Titanium Exposé, morceau final de l’album « Goo », 1990.
** « Maintenant je vois ce que tu pourrais voir, c’est assez clair »
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Lauren Tortil est artiste sonore et doctorante au sein de l’EUR CAPS à Rennes. influencée par les sound studies et l’archéologie des médias, elle s’intéresse aux processus d’écoute par le prisme des technologies sonores, et aux interactions existantes entre ces médias, l’humain et leur environnement sonore. Cette démarche se manifeste par une recherche iconographique et théorique qui nourrit sa pratique plastique (objets imprimés, installations, performances) avec le son comme matériau de prédilection.
Son travail a été montré dans plusieurs institutions en France telles que Bétonsalon, le Centre Pompidou, la fondation Louis Vuitton, la fondation Pernod Ricard, l’adagp et la Villa du Parc ; et à l’étranger au musée d’art de Joliette (can), à la Sound gallery (cz) et à la 11e biennale d’architecture de Sao Paulo (br).
Prise de son et montage : Benjamin Pagier
Post-production : Aurore Portales
Générique : Extrait de Titanium Expose de Sonic Youth
Musiques :
Luther Vandross - Never Too Much, 1981
Lauren Tortil - Please Listen to This, 2024
Pauline Oliveros - Environmental Dialogue (1996 revision)
Archive INA ( - Dangers du walkman (extrait), Le Journal de 20h (Antenne 2), 1984
Jean Baudrillard - Extrait de La civilisation du walkman, entretien avec Dominique Poncet-Martin, 1983
Janet Cardiff - Villa Medici Walk, 2001
Hildegard Westerkamp - Breathing Room, 1990
David Dunn - Nexus 1 — Music, Language and Environment. Environmental Sound Works, 1973-1985
Les enfants griots pourront venir ici, s’approprier le lieu, faire des répétitions de performances… Habiter le lieu. S’inspirer, travailler.
Portrait Ñun #1 : Galabel
Série de portraits enregistrés lors de la résidence Ñun (Nous) à Tambacounda, Sénégal, décembre 2024.
Ñun (Nous) est un projet de coopération artistique entre l’association Free label (Tambacounda, Sénégal) et *Duuu Radio (Paris, France), soutenu par l’Institut Français et la Ville de Paris.
Depuis 2018, Bocar Niang s’investit dans la création d’un Musée Griot.tes à Tambacounda, qui sera le premier espace africain dédié aux pratiques griottes contemporaines et du futur. Autour de ce projet, Duuu mène une résidence annuelle en 2024 et 2025, participant à une réflexion autour des moyens de constituer une archive vivante des récits traditionnels oraux sénégalais. Une première résidence en 2024 est organisée avec les artistes Théo Robine-Langlois, Eden Tinto Collins, Bocar Niang, en collaboration avec l’équipe de Free Label et de Duuu radio. Une deuxième résidence en décembre 2025 avec les artistes Pierrick Mouton et Louise Guegan poursuit cette collaboration.
Ce projet a donné lieu à des enregistrements, des émissions en direct, des workshops et des événements publics, à Dakar et Tambacounda.
Ce projet est réalisé avec le soutien de l’Institut Français et de la Ville de Paris.
Production : Loraine Baud et Simon Nicaise, *Duuu radio
Enregistré à Tambacounda, décembre 2024
Montage et post-production : Aurore Portales
Je me suis arrêté sur des objets ou des formes qui allaient produire du son, et comment je pouvais composer à partir de la matière. C‘est vraiment le principe inversé où je ne pense pas la forme qui va produire du son, mais plutôt l’inverse.
TITANIUM EXPOSÉ est un cycle d’entretiens mené par Guillaume Constantin autour de l’exposition Titanium Exposé, déployée aux Instants Chavirés à Montreuil du 29 mars au 13 avril 2025.
De ce titre d’un morceau* de Sonic Youth, énigmatique à souhait (et pour ne pas dire culte), on retient pour cette exposition, surtout le deuxième terme, « exposé ». Un adjectif courant dans le champ des arts visuels qui s’est déployé aux Instants Chavirés sous différentes acceptions. Une occasion d’aborder certaines des notions et motifs que ce terme dégage.
Via les différentes pratiques des artistes invité.e.s, Alan Affichard, Lise Barkas, Matthieu Saladin et Lauren Tortil, nous naviguons dans différentes dimensions du sonore : visuelles, acoustiques, physiques, conceptuelles. Mais aussi dans l’idée d’une personne trop « exposée », fragilisée qui apparaîtrait ici via le film de Maïder Fortuné & Annie MacDonell, sous l’identité de l’artiste Lee Lozano. Même Thurston Moore, dans la chanson éponyme, semble faire écho à cette notion d’exposé, «Now I see what you might see, it’s pretty clear»**. À moins que l’objet de cette exposition ne soit en définitive que celui d’une exposition au sens photographique du terme, à savoir un rayonnement sur une pellicule sensible.
Guillaume Constantin, commissaire de l’exposition.
- Titanium Exposé, morceau final de l’album « Goo », 1990.
** « Maintenant je vois ce que tu pourrais voir, c’est assez clair »
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ALAN AFFICHARD est un artiste multidisciplinaire dont le travail s’articule autour de l’installation et de la performance. S’inspirant de techniques traditionnelles et d’expérimentations scientifiques, il développe des dispositifs sonores et instruments expérimentaux visant à forger de nouvelles méthodes de composition et par conséquent, de nouveaux modes d’écoute. Après l’obtention d’un DNSEP à l’École Supérieure des Beaux-Arts de Nantes, France (2016). Il intègre le Berlin Program for Artists, Berlin (2017) puis un Post- Master sur les pratiques sonores à la Royal Institute of Art, Stockholm (2018- 2019). Il termine actuellement son cursus au Fresnoy, Studio national des arts contemporains, Tourcoing (2023-2025).
Son travail a été montré à Experimance (Sarrebruck), Jeune Création (Paris), La Conserverie (Marrakech), Plattform (Stockholm), Hochparterre (Berlin), Between Bridges (Berlin), Treize (Paris), Fieldwork Marfa (Texas). Ses performances, solos comme collectives, ont été présentées à Mudam (Luxembourg), Documenta 15 (Kassel), Sharjah Art Foundation (UAE), Fondation Serralves (Porto), Fridericianum (Kassel), 58e Biennale de Venise, entre autres.
Prise de son et montage : Benjamin Pagier
Post-production : Aurore Portales
Générique : Extrait de Titanium Expose de Sonic Youth
Musiques :
God Speed You Black Emperor- the Dead Flag Blues
Moondog- Marimba Mambo 2- The German Years
Alan Affichard - Fluid Synth
Christina Kubisch and Trondheim Voices - departure - Stromsanger Lp
The books - S Is For Evrysing
Ça a été le moteur de tout le film où j’associe cette espèce de chute dans la gorge de Baldwin à des images qui sont tournées dans un bâtiment de Fernand Pouillon, à Marseille, un bâtiment construit juste avant la guerre d’Algérie.
TITANIUM EXPOSÉ est un cycle d’entretiens mené par Guillaume Constantin autour de l’exposition Titanium Exposé, déployée aux Instants Chavirés à Montreuil du 29 mars au 13 avril 2025.
De ce titre d’un morceau* de Sonic Youth, énigmatique à souhait (et pour ne pas dire culte), on retient pour cette exposition, surtout le deuxième terme, « exposé ». Un adjectif courant dans le champ des arts visuels qui s’est déployé aux Instants Chavirés sous différentes acceptions. Une occasion d’aborder certaines des notions et motifs que ce terme dégage.
Via les différentes pratiques des artistes invité.e.s, Alan Affichard, Lise Barkas, Matthieu Saladin et Lauren Tortil, nous naviguons dans différentes dimensions du sonore : visuelles, acoustiques, physiques, conceptuelles. Mais aussi dans l’idée d’une personne trop « exposée », fragilisée qui apparaîtrait ici via le film de Maïder Fortuné & Annie MacDonell, sous l’identité de l’artiste Lee Lozano. Même Thurston Moore, dans la chanson éponyme, semble faire écho à cette notion d’exposé, «Now I see what you might see, it’s pretty clear»**. À moins que l’objet de cette exposition ne soit en définitive que celui d’une exposition au sens photographique du terme, à savoir un rayonnement sur une pellicule sensible.
Guillaume Constantin, commissaire de l’exposition.
- Titanium Exposé, morceau final de l’album « Goo », 1990.
** « Maintenant je vois ce que tu pourrais voir, c’est assez clair »
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MAÏDER FORTUNÉ étudie la littérature et le théâtre (École Jacques Lecoq à Paris) avant d’entrer au Studio national des arts contemporains du Fresnoy, où elle développe une pratique performative de l’image technologique. Par sa grande rigueur formelle, l’œuvre de Fortuné capte toute l’attention du spectateur pour une véritable expérience de l’image et de ses processus. Récemment, sa pratique s’est tournée vers des préoccupations plus narratives. Des conférences-performances et des films (notamment avec Annie Mac Donell) profondément ancrés dans l’écriture sont les médiums qu’elle utilise pour ouvrir de nouvelles stratégies narratives.
Son travail a été exposé à l’international (Europe, Brésil, Canada, Chine, Japon). En 2010, elle a remporté la bourse Villa Médicis à Rome, en Italie. Des expositions et performances récentes ont eu lieu à la Gallery 44, à Toronto, au Centre Pompidou Paris et au Festival international du film de Toronto.
Prise de son et montage : Benjamin Pagier
Post-production : Aurore Portales
Générique : Extrait de Titanium Expose de Sonic Youth
Musiques :
Winter Family - Europe, You’re the Criminal
Uni Acronym - Alva Noto
Domine, Libra Nos - The Space Lady
Suicide - Che
On est dans des espaces politiques qui ont une très forte méconnaissance de ce que c’est que le travail de l’art.
À l’occasion de la Nuit Blanche 2025, *Duuu & l’ésad Valenciennes proposent un événement hors-série dans le cadre du cycle de rencontres « Comment bien fermer une école d’art ? » qui rythme le dernier semestre d’existence de l’ésad Valenciennes. Le 7 juin 2025, la fermeture imminente de l’école approche. Loin d’être une veillée funèbre, l’événement « C’est la peur qui danse » sera l’occasion de lui déclarer sa flamme, de rêver à l’avenir, de lui dédier une danse, de lire des haïkus et de se détendre lors d’un midnight book club.
Jimmy Cintero autour des conditions de travail et rémunération des artistes-auteur.ices, en discussion avec Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Jimmy Cintero est designer graphique. Il est syndiqué au SNAP-CGT et membre du groupe de travail sur la continuité de revenus pour les artistes auteur·ices. Constitué de plusieurs organisations professionnelles, ce groupe travaille pour intégrer les artistes auteur·ices dans la caisse commune de l’assurance chômage.
Une proposition de Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Enregistrement : Sampson Staples & Morgane Charles
Post-production : Sampson Staples & Aurore Portales
Il y a toujours cette impression de mur invisible entre habitant.es valenciennoix.ses et étudiant.es de Valenciennes.
À l’occasion de la Nuit Blanche 2025, *Duuu & l’ésad Valenciennes proposent un événement hors-série dans le cadre du cycle de rencontres « Comment bien fermer une école d’art ? » qui rythme le dernier semestre d’existence de l’ésad Valenciennes. Le 7 juin 2025, la fermeture imminente de l’école approche. Loin d’être une veillée funèbre, l’événement « C’est la peur qui danse » sera l’occasion de lui déclarer sa flamme, de rêver à l’avenir, de lui dédier une danse, de lire des haïkus et de se détendre lors d’un midnight book club.
Restitution du workshop de Jeanne Mayer à l’ésad Valenciennes, où se sont mêlés haïkus sonores, reportages et témoignages d’étudiant·es. Avec Laurette Bremme, Célia Colas, Titouan Lacroix, Camomille Leguiader, Anouk Malfoi, Roméo Panarelli et Lou Pavy.
Jeanne Mayer écrit et réalise des documentaires et des fictions. Elle collabore régulièrement aux émissions Affaires sensibles (France Inter) et Les pieds sur terre (France Culture). Son dernier film documentaire, Dreams, est disponible sur France.TV. Elle mène aussi des projets participatifs de création sonore au sein du duo Bocal Vocal, dont Rêve-et-Marne
Une proposition de Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Enregistrement : Sampson Staples & Morgane Charles
Post-production : Sampson Staples & Aurore Portales
L’exécution du protocole est toujours conditionnée à des gestes, des manières de faire, du contrôle.
TITANIUM EXPOSÉ est un cycle d’entretiens mené par Guillaume Constantin autour de l’exposition Titanium Exposé, déployée aux Instants Chavirés à Montreuil du 29 mars au 13 avril 2025.
De ce titre d’un morceau* de Sonic Youth, énigmatique à souhait (et pour ne pas dire culte), on retient pour cette exposition, surtout le deuxième terme, « exposé ». Un adjectif courant dans le champ des arts visuels qui s’est déployé aux Instants Chavirés sous différentes acceptions. Une occasion d’aborder certaines des notions et motifs que ce terme dégage.
Via les différentes pratiques des artistes invité.e.s, Alan Affichard, Lise Barkas, Matthieu Saladin et Lauren Tortil, nous naviguons dans différentes dimensions du sonore : visuelles, acoustiques, physiques, conceptuelles. Mais aussi dans l’idée d’une personne trop « exposée », fragilisée qui apparaîtrait ici via le film de Maïder Fortuné & Annie MacDonell, sous l’identité de l’artiste Lee Lozano. Même Thurston Moore, dans la chanson éponyme, semble faire écho à cette notion d’exposé, «Now I see what you might see, it’s pretty clear»**. À moins que l’objet de cette exposition ne soit en définitive que celui d’une exposition au sens photographique du terme, à savoir un rayonnement sur une pellicule sensible.
Guillaume Constantin, commissaire de l’exposition.
- Titanium Exposé, morceau final de l’album « Goo », 1990.
** « Maintenant je vois ce que tu pourrais voir, c’est assez clair »
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MATTHIEU SALADIN, artiste et enseignant-chercheur, vit et travaille à Paris et Rennes. Sa pratique s’inscrit dans une approche conceptuelle de l’art, interrogeant les relations sociales, économiques, politiques et idéologiques qui régissent notre contemporanéité. À travers la transposition d’unités, l’indexation de valeurs ou l’assignation de statistiques à des objets ou des événements, il s’intéresse aux rapports de pouvoir à l’œuvre dans une situation donnée et à l’économie politique qui la gouverne. Son travail prend aussi bien la forme de protocoles, d’installations et de performances que de publications, de vidéos et de créations de logiciels.
Il est représenté par la galerie Salle Principale et présent notamment dans les collections du Fonds national d’art contemporain, du FRAC Franche-Comté, du FRAC Normandie et de la fondation Kadist. Matthieu Saladin est également professeur en arts plastiques à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre de l’Institut ACTE. Sa recherche théorique porte principalement sur l’art sonore et les musiques expérimentales. Il codirige la collection Ohcetecho aux Presses du réel.
Prise de son et montage : Benjamin Pagier
Post-production : Aurore Portales
Générique : Extrait de Titanium Expose de Sonic Youth
Musiques :
Red Flag Prelude - Cornelius Cardew
Per La Sete Del’orrechio - Walter Marchetti
Couch Piece - Yoko Ono
Evaporation - Matthieu Salladin (edité par Frac Franche Comté)
The Chord Catalogue - Tom Johnson
Je pense que la transmission et le rapport à l’autre est quelque chose qui me nourrit et dont j’ai besoin.
À l’occasion de la sortie de la monographie Inventaire / Langage, éditée chez Paraguay Press, *Duuu invite Violaine Lochu à présenter l’ouvrage aux côtés des critiques d’art et auteurices Vanessa Desclaux et Florian Gaité.
Avec les contributions également de Nadine Hounkpatin, Bruno Latour, Nastassja Martin et Anne-Françoise Rouche.
Coordination éditoriale - Vanessa Desclaux et Noëlig Le Roux.
Conception éditoriale et graphisme - Christophe Hamery.
Extraits des pièces sonores :
W Song, 18 min, 2022
Production Institut Français saison France/ Portugal, vaga - espaço de arte e conhecimento
Pontadelgada, Portugal, studio Eole, Toulouse, France
O Child, 23 min, 2023
Production Galerie Dohyang Lee
Expérience Johnny, 6min, 2025
Production La S Grand Atelier, Vielsalm, Belgique, BPS22 Charleroi, Belgique
Enregistrement : Sampson Staples
Montage : Aurore Portales
Il y a une fécondité de l’approche créative, expérimentale, pour des hypothèses de recherche.
Introspecson est une introspection du son et par le son. Elle interroge des chercheur·euse·s et/ou artistes sur leurs objets d’étude en lien avec les récits intimes et activités non-académiques. Chaque épisode souhaite tracer les lignes qui composent la construction de savoirs sur la musique, estimant que « dans la politique et l’épistémologie des perspectives partielles […] réside la possibilité d’un questionnement soutenu, rationnel, objectif »*.
Introspecson souhaite questionner le poids social et politique de la musique et du son, les discours et valeurs qui s’y rattachent, la recherche et la pratique artistique, et fait entendre les productions qui accompagnent les chercheur·euse·s interrogé·e·s. Parcellaire, elle veut faire dialoguer celles et ceux qui parlent du sonore et saisir leurs manières de le faire.
Catherine Guesde est philosophe, critique musicale et musicienne ; ses recherches portent sur des formes contemporaines de radicalités sonores. Maîtresse de conférences au département de philosophie de l’Université Paris 8 Vincennes – Saint-Denis, elle a co-écrit The Most Beautiful Ugly Sound in the World. À l’écoute de la noise (Éditions Musica Falsa, avec Pauline Nadrigny) et dirigé l’ouvrage collectif Penser avec le punk (Presses universitaires de France). Elle développe également une activité musicale à partir d’une approche expérimentale de la guitare électrique, en solo dans son projet Cigvë.
Tracklist :
SUMAC x Keiji Haino – What Have I Done
Poisse – L’appât du rien
Kole Galbraith – Sest hirmus on ju vahel ilus
Deep Fade – Oblivion Spell
Céleste Gatier & Leandro Barzabal – Sans titre 4
Richard Comte – AL
*Haraway, Donna, « Savoirs situés : questions de la science dans le féminisme et privilège de la perspective partielle », dans Manifeste cyborg et autres essais : Sciences - Fictions - Féminismes, anthologie établie par Laurence Allard, Delphine Gardey et Nathalie Magnan, Éditions Exils, 2007.
Réalisation : Pierre Henry
Enregistrement : Elen Huynh
Une émission enregistrée au studio *Duuu à la Folie N4/Parc de la Villette le 5 juillet 2023.
C’était pas gagné, mais on est très heureux et heureuses d’être allé.es jusqu’au bout.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
Cet ultime épisode se déroule le soir du 27 juin 2025, au moment même où l’école invite le public à se joindre à elles et eux pour les aider à fermer leurs portes définitivement. Avant de disparaître dans les abîmes, l’école d’art bicentenaire ouvre ses portes une dernière fois. Pour accompagner ce moment précieux et difficile de fermeture, iels relayent quelques messages de soutien, de réconfort et de rage, qui leurs sont parvenus par le biais d’un répondeur que l’école a mis en place.
Enregistrement : Loraine Baud
Post-production : Aurore Portales
On rit un peu qu’on n’a jamais été aussi productif à l’ésad que ces derniers mois.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
À l’occasion de Nuit Blanche 2025, *Duuu & l’ésad Valenciennes proposent un événement hors-série dans le cadre du cycle de rencontres « Comment bien fermer une école d’art ? » qui rythme le dernier semestre d’existence de l’ésad Valenciennes. Le 7 juin 2025, la fermeture imminente de l’école approche. Loin d’être une veillée funèbre, l’événement « C’est la peur qui danse » est l’occasion de lui déclarer sa flamme, de rêver à l’avenir, de lui dédier une danse, de lire des haïkus et de se détendre lors d’un midnight book club.
Cet événement a été l’occasion d’enregistrer le sixième épisode du programme radiophonique « Comment bien fermer une école d’art ? », dans lequel est discuté les différentes tentatives de déconstruction pédagogique en art et en design, en considérant les écoles comme Zone d’Autonomie Temporaire aux côtés de Daria Ayvazova et Catherine Geel, en discussion avec Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Daria Ayvazova, designer-enseignante-chercheuse diplomée de l’ESADSE, a soutenu une thèse intitulée Designers Défroqués, dans laquelle elle articule des théories et des contextes économiques, socio-culturels et politiques afin d’évaluer la viabilité, l’efficacité et la sincérité de la démarche de ces designers qui s’opposent au système économique dominant.
Catherine Geel est historienne du design, commissaire d’exposition et éditrice, directrice artistique et directrice de projet. Professeure titulaire des écoles nationales supérieures d’art (France), elle enseigne l’histoire et la théorie du design à l’ENSAD Nancy, l’ENS Paris-Saclay, et Sciences Po Paris.
Une proposition de Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Enregistrement : Sampson Staples & Morgane Charles
Post-production : Sampson Staples & Aurore Portales
C’est plus bankable et ça attire pas le même type de publics de dire qu’on va faire une soirée qui ressemble à Berlin, que de dire qu’on va faire une soirée qui ressemble à la free-party de Redon.
Introspecson est une introspection du son et par le son. Elle interroge des chercheur·euse·s et/ou artistes sur leurs objets d’étude en lien avec les récits intimes et activités non-académiques. Chaque épisode souhaite tracer les lignes qui composent la construction de savoirs sur la musique, estimant que « dans la politique et l’épistémologie des perspectives partielles […] réside la possibilité d’un questionnement soutenu, rationnel, objectif »*.
Introspecson souhaite questionner le poids social et politique de la musique et du son, les discours et valeurs qui s’y rattachent, la recherche et la pratique artistique, et fait entendre les productions qui accompagnent les chercheur·euse·s interrogé·e·s. Parcellaire, elle veut faire dialoguer celles et ceux qui parlent du sonore et saisir leurs manières de le faire.
Myrtille Picaud est sociologue au CNRS. Ses recherches initiales portaient sur les scènes musicales et les transformations urbaines à Paris et Berlin. Elle travaille aujourd’hui sur les politiques de sécurité dédiées à l’événementiel (festivals, Jeux olympiques) et sur le développement d’outils numériques pour la sécurité urbaine.
Tracklist :
- Nina Hagen - Naturträne
- Astéréotypie - Cheese bad girl
- Kiddy Smile - Sugar feat. Catz’n’Dogz
- PNL - Sur Paname
- INFERNAL - From Paris to Berlin
- Orchestre National de Barbès - Sidi Yahia-Bnet Paris
- Joëlle Léandre - Taxi
*Haraway, Donna, « Savoirs situés : questions de la science dans le féminisme et privilège de la perspective partielle », dans Manifeste cyborg et autres essais : Sciences - Fictions - Féminismes, anthologie établie par Laurence Allard, Delphine Gardey et Nathalie Magnan, Éditions Exils, 2007.
Réalisation : Pierre Henry
Prise de son : Morgane Charles
Une émission enregistrée au studio *Duuu à la Folie N4/Parc de la Villette le 14 mai 2025
On s’est dit qu’il fallait qu’on avertisse sur ce qui pouvait arriver à toutes les autres écoles.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
La meilleure manière de se tromper sur nous, sur notre sort, ce serait de penser que ce qu’il se trame ici – cette fermeture imminente – est une problématique locale, qu’on imputerait à notre gestion municipale. Plus le temps passe, plus il semble évident que notre situation est un modèle dont il faut s’inquiéter, car il crée un précédent qui pèse sur nous tou·te·s.
Dans ce 5e épisode, c’est avec Lucile Bataille, Jérôme Dupeyrat et Xavier de Jarcy que nous faisons un point sur la situation à l’échelle nationale qui est plus que préoccupante. Nous nous attardons sur des cas concrets, présents dans les écoles territoriales françaises, qui doivent être mis en lumière. Les mesures austéritaires et la gestion prédatrice de nos politiques publiques culturelles exercent des pressions délétères qui reconfigurent le champ artistique, dynamisent un militantisme qu’on pouvait penser moribond en restructurant le corps social artistique. Nous discutons des mobilisations et des revendications qui travaillent actuellement nos écoles d’art en questionnant leurs influences sur les nouvelles pratiques en art et en design.
Lucile Bataille est designer graphique au sein de Structure Bâtons qu’elle a fondé en 2014 avec Sébastien Biniek, militante syndicale au Snéad-CGT (Syndicat national des écoles d’art et de design) et enseignante. Elle a enseigné à l’ésad Valenciennes de 2020 à 2023, au moment de l’annonce de fermeture de l’école. Elle enseigne aujourd’hui à L’ÉSAC Cambrai.
Jérôme Dupeyrat est critique d’art, chercheur, éditeur, enseignant à l’isdaT (Toulouse) et militant syndical au Snéad-CGT (Syndicat national des écoles d’art et de design), dont il est co-trésorier. Ses activités de travailleur de l’art et son engagement pour et depuis les écoles d’art en lutte s’articulent étroitement.
Xavier de Jarcy est un journaliste et auteur. Il écrit surtout sur l’architecture, l’urbanisme, le design et le graphisme. Il a écrit Le Corbusier, un fascisme français (2015) et Les Abandonnés : Histoire des “cités de banlieue” (2019). Son dernier livre Maurice Calka, le sculpteur du design est paru en 2022 chez Albin Michel. Il a en partie couvert les mouvements sociaux qui agitent les écoles d’arts territoriales.
Réalisation et enregistrement : Arthur Bécart
Mixage et post-production : Sampson Staples
Imagine un domaine lesbien sur les falaises de Californie…
À l’occasion des 10 ans du salon d’édition Offprint London à la Tate Modern, du 16 au 18 mai, la radio *Duuu rediffuse une série d’entretiens autour de l’édition contemporaine réalisés avec le Centre national des arts plastiques (Cnap) et enregistrés durant le salon à Paris en novembre dernier. Les émissions sont menées par Victoire Le Bars.
Rosanna Puyol Boralevi et Nina Kennel, éditrices et traductrices de l’ouvrage JJ, Tartine moi et autres textes, paru aux éditions Brook lisent des textes de de l’autrice, critique de danse et performeuse Jill Johnston.
Une émission enregistrée en direct le dimanche 10 novembre 2024 dans le cadre du Salon Offprint Paris au Pavillon de l’Arsenal, en partenariat avec le Cnap.
Enregistrement et post-production : Morgane Charles, Esteban Capron et Arthur Bécart
C’est toujours difficile de parler des origines.
À l’occasion des 10 ans du salon d’édition Offprint London à la Tate Modern, du 16 au 18 mai, la radio *Duuu rediffuse une série d’entretiens autour de l’édition contemporaine réalisés avec le Centre national des arts plastiques (Cnap) et enregistrés durant le salon à Paris en novembre dernier. Les émissions sont menées par Victoire Le Bars.
Julie Pellegrin échange, en compagnie de l’artiste Myriam Lefkowitz, sur son livre (Non) Performance. A Daily Practice publié par T&P Publishing.
Une émission enregistrée en direct le dimanche 10 novembre 2024 dans le cadre du Salon Offprint Paris au Pavillon de l’Arsenal, en partenariat avec le Cnap.
Enregistrement et post-production : Morgane Charles, Esteban Capron et Arthur Bécart
Moon light gravity love soft gentle
Bodies distort till the Earthrise
through
Concrete circles holes of mica black
And dust
À l’occasion des 10 ans du salon d’édition Offprint London à la Tate Modern, du 16 au 18 mai, la radio *Duuu rediffuse une série d’entretiens autour de l’édition contemporaine réalisés avec le Centre national des arts plastiques (Cnap) et enregistrés durant le salon à Paris en novembre dernier. Les émissions sont menées par Victoire Le Bars.
Jagna Ciuchta, Émilie Renard et Martha Salimbeni présentent la monographie de l’artiste publiée par Mousse publishing, Je dilaté, images liquides et plantes carnivores.
Une émission enregistrée en direct le samedi 9 novembre 2024 dans le cadre du Salon Offprint Paris au Pavillon de l’Arsenal, en partenariat avec le Cnap.
Enregistrement et post-production : Morgane Charles, Esteban Capron et Arthur Bécart