Émission en direct avec les étudiant·es de l’Ensba Lyon
C’était pas gagné, mais on est très heureux et heureuses d’être allé.es jusqu’au bout.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
Cet ultime épisode se déroule le soir du 27 juin 2025, au moment même où l’école invite le public à se joindre à elles et eux pour les aider à fermer leurs portes définitivement. Avant de disparaître dans les abîmes, l’école d’art bicentenaire ouvre ses portes une dernière fois. Pour accompagner ce moment précieux et difficile de fermeture, iels relayent quelques messages de soutien, de réconfort et de rage, qui leurs sont parvenus par le biais d’un répondeur que l’école a mis en place.
Enregistrement : Loraine Baud
Post-production : Aurore Portales
On rit un peu qu’on n’a jamais été aussi productif à l’ésad que ces derniers mois.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
À l’occasion de Nuit Blanche 2025, *Duuu & l’ésad Valenciennes proposent un événement hors-série dans le cadre du cycle de rencontres « Comment bien fermer une école d’art ? » qui rythme le dernier semestre d’existence de l’ésad Valenciennes. Le 7 juin 2025, la fermeture imminente de l’école approche. Loin d’être une veillée funèbre, l’événement « C’est la peur qui danse » est l’occasion de lui déclarer sa flamme, de rêver à l’avenir, de lui dédier une danse, de lire des haïkus et de se détendre lors d’un midnight book club.
Cet événement a été l’occasion d’enregistrer le sixième épisode du programme radiophonique « Comment bien fermer une école d’art ? », dans lequel est discuté les différentes tentatives de déconstruction pédagogique en art et en design, en considérant les écoles comme Zone d’Autonomie Temporaire aux côtés de Daria Ayvazova et Catherine Geel, en discussion avec Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Daria Ayvazova, designer-enseignante-chercheuse diplomée de l’ESADSE, a soutenu une thèse intitulée Designers Défroqués, dans laquelle elle articule des théories et des contextes économiques, socio-culturels et politiques afin d’évaluer la viabilité, l’efficacité et la sincérité de la démarche de ces designers qui s’opposent au système économique dominant.
Catherine Geel est historienne du design, commissaire d’exposition et éditrice, directrice artistique et directrice de projet. Professeure titulaire des écoles nationales supérieures d’art (France), elle enseigne l’histoire et la théorie du design à l’ENSAD Nancy, l’ENS Paris-Saclay, et Sciences Po Paris.
Une proposition de Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Enregistrement : Sampson Staples & Morgane Charles
Post-production : Sampson Staples & Aurore Portales
On s’est dit qu’il fallait qu’on avertisse sur ce qui pouvait arriver à toutes les autres écoles.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
La meilleure manière de se tromper sur nous, sur notre sort, ce serait de penser que ce qu’il se trame ici – cette fermeture imminente – est une problématique locale, qu’on imputerait à notre gestion municipale. Plus le temps passe, plus il semble évident que notre situation est un modèle dont il faut s’inquiéter, car il crée un précédent qui pèse sur nous tou·te·s.
Dans ce 5e épisode, c’est avec Lucile Bataille, Jérôme Dupeyrat et Xavier de Jarcy que nous faisons un point sur la situation à l’échelle nationale qui est plus que préoccupante. Nous nous attardons sur des cas concrets, présents dans les écoles territoriales françaises, qui doivent être mis en lumière. Les mesures austéritaires et la gestion prédatrice de nos politiques publiques culturelles exercent des pressions délétères qui reconfigurent le champ artistique, dynamisent un militantisme qu’on pouvait penser moribond en restructurant le corps social artistique. Nous discutons des mobilisations et des revendications qui travaillent actuellement nos écoles d’art en questionnant leurs influences sur les nouvelles pratiques en art et en design.
Lucile Bataille est designer graphique au sein de Structure Bâtons qu’elle a fondé en 2014 avec Sébastien Biniek, militante syndicale au Snéad-CGT (Syndicat national des écoles d’art et de design) et enseignante. Elle a enseigné à l’ésad Valenciennes de 2020 à 2023, au moment de l’annonce de fermeture de l’école. Elle enseigne aujourd’hui à L’ÉSAC Cambrai.
Jérôme Dupeyrat est critique d’art, chercheur, éditeur, enseignant à l’isdaT (Toulouse) et militant syndical au Snéad-CGT (Syndicat national des écoles d’art et de design), dont il est co-trésorier. Ses activités de travailleur de l’art et son engagement pour et depuis les écoles d’art en lutte s’articulent étroitement.
Xavier de Jarcy est un journaliste et auteur. Il écrit surtout sur l’architecture, l’urbanisme, le design et le graphisme. Il a écrit Le Corbusier, un fascisme français (2015) et Les Abandonnés : Histoire des “cités de banlieue” (2019). Son dernier livre Maurice Calka, le sculpteur du design est paru en 2022 chez Albin Michel. Il a en partie couvert les mouvements sociaux qui agitent les écoles d’arts territoriales.
Réalisation et enregistrement : Arthur Bécart
Mixage et post-production : Sampson Staples
Il y avait un Japonais qui faisait de l’acupuncture, il me l’a faite, et puis je suis resté un mois.
Radio Montmartre est un cycle de performances radiophoniques réalisé en direct depuis les ateliers d’artistes de la cité Montmartre Aux Artistes dans le 18e arrondissement à Paris. Diffusée chaque trimestre sur *Duuu, Radio Montmartre est préparée et animée par l’artiste Antonio Contador. Les émissions sont guidées par le concept de micro-ouvert autour d’une table, où sont débattues les thématiques qui font l’actualité du monde de l’art contemporain. Des intervalles musicaux et performatifs viennent ponctuer les discussions des invité·es, artistes et commissaires d’exposition.
Radio Montmartre #126 : Marcel Devillers
Lectures, évocations, paroles et échanges autour de l’espace domestique et l’espace d’exposition, animés par Antonio Contador, avec Marcel Devillers, Anne-Lou Vicente, Céline Vaché Olivieri et Sarah Holveck.
Une émission enregistrée le 3 mars 2025 depuis l’atelier 126 de la Cité Montmartre aux Artistes, en direct sur *Duuu Radio.
Enregistrement et post-production : Sampson Staples.
Jingle conçu par Arthur Bécart à partir des enregistrements des enfants de Môm’18 à l’occasion d’une visite à la Cité Montmartre aux Artistes.
Ce projet est soutenu par la Fondation Calouste Gulbenkian – Délégation en France, qui l’a cofinancé dans le cadre du programme EXPOSITIONS GULBENKIAN pour soutenir l’art portugais au sein des institutions artistiques françaises. Avec le soutien de la mairie du 18e arrondissement de Paris.
Ensemble, ils ont imaginé un sentier, repensé les usages du quotidien et rêvé à d’autres façons d’habiter le quartier.
Invitation au 19 est un podcast produit par *Duuu Radio en partenariat avec le 19 Crac, Centre régional d’art contemporain de Montbéliard.
Cet épisode ne raconte pas seulement un événement, mais un territoire en mouvement où des liens se créent, se tissent dans le temps. Il s’agit d’un projet mené par le 19, Crac et le collectif Pourquoi Pas ?! sur la sollicitation du Centre socio-cultuelle la Lizaine. Ancré dans la dynamique de Pays de Montbéliard Capitale Française de la Culture 2024, Bons baisers de Bethoncourt réunit l’art, les habitant·es de Bethoncourt et les espaces communs. Le récit que vous allez entendre a été réalisé lors de plusieurs rencontres et rendez-vous en avril, juillet et
octobre 2024. Il rapporte les différents épisodes traversés par l’ensemble des participant·es jusqu’à la révélation de l’œuvre finale : une installation modulaire sur laquelle les enfants du centre de loisirs et leurs familles pourront désormais prendre le soleil.
Le 19 Crac remercie les intervenant.es, toute l’équipe du collectif Pourquoi Pas ?! : Marie Gresset, cheffe de projet, designer, Etienne Fressonnet, chef de projet, architecte Diplomé d’Etat (D.E.), Lucie Bulot, cheffe de projet, architecte habilitée à la maîtrise d’œuvre, Adrien Apoteker, chef de projet, architecte DE et charpentier, Luce Renaud, stagiaire, étudiante en architecture à l’école nationale de Grenoble (ENSAG), Marianne Reymond, stagiaire, étudiante à l’ENSAL et Laura Depussay, coordinatrice, ainsi que Nadia Aitkins (directrice), Annie Lautissier (co-présidente) et Nelly Bresson (référente famille) de l’association La Lizaine. Sont salués également les partenaires du bailleur Neolia, Stephane Legain et Kamel Gharbi et les services de la Ville de Bethoncourt. Les artistes et le 19, Crac remercient plus particulièrement les habitant·es qui ont participé à la réalisation du projet.
Résidence menée avec le Centre socio-culturel La Lizaine et les habitant·es de Bethoncourt estampillé Pays de Montbéliard Capitale française de la culture 2024
Réalisation : Morgane Charles
Post-Production : Morgane Charles et Ariel Nisand
Et puis que ça finisse en fiesta, en fait, ça nous plaît bien.
Radio Montmartre est un cycle de performances radiophoniques réalisé en direct depuis les ateliers d’artistes de la cité Montmartre Aux Artistes dans le 18e arrondissement à Paris. Diffusée chaque trimestre sur *Duuu, Radio Montmartre est préparée et animée par l’artiste Antonio Contador. Les émissions sont guidées par le concept de micro-ouvert autour d’une table, où sont débattues les thématiques qui font l’actualité du monde de l’art contemporain. Des intervalles musicaux et performatifs viennent ponctuer les discussions des invité·es, artistes et commissaires d’exposition.
RADIO MONTMARTRE #103 : LES DIX ANS DE TONUS, ESPACE DE VIE ET D’EXPOSITION
Animé par Antonio Contador, avec Vincent de Hoÿm (Jacent), Théo Robine-Langlois, Fabienne Audeoud, Fiona Vilmer et Benoît Lamy de La Chapelle. Performance au synthétiseur modulaire par Fabienne Audéoud et une lecture de Théo Robine-Langlois.
Une émission enregistrée le 17 octobre 2024 à la cité Montmartre aux Artistes, en public et en direct sur *Duuu Radio.
Enregistrement : Sampson Staples. Montage & mixage : Arthur Bécart.
Jingle conçu par Arthur Bécart à partir des enregistrements des enfants de Môm’18 à l’occasion d’une visite à la Cité Montmartre aux Artistes.
Ce projet est soutenu par la Fondation Calouste Gulbenkian – Délégation en France, qui l’a cofinancé dans le cadre du programme EXPOSITIONS GULBENKIAN pour soutenir l’art portugais au sein des institutions artistiques françaises.
You are not alone because you are surrounded by ideas of other people.
RADIO VILNIUS x *DUUU RADIO
*Duuu Radio invites Radio Vilnius to Paris to produce a radio program, which have been broadcasted simultaneously on both stations on the 20th and the 21st of September. For the program Puota, Audrius Pocius and Deimantė Bulbenkaitė invite Lithuanian artists working in France, and French artists who have organized exhibitions or participated in residencies in Lithuania, as well as participants in the Lithuanian Season in France.
Puota #6 : Mėta Valiušaitytė
« Puota » (Eng. 𝘛𝘩𝘦 𝘍𝘦𝘢𝘴𝘵). A feast is a time when the flow of everyday life is suspended, immersed in a state of reverie. While some things are blurred into the background, others come into focus more vividly. This particular feast aspires to capture these moments by focusing on art and fashion and the people that create them. The show is hosted by fashion journalist Deimantė Bulbenkaitė and contemporary art curator Audrius Pocius.
Emission enregistrée le 21 septembre 2024 au studio *Duuu par Morgane Charles. Mixage : Arthur Bécart.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la Saison de la Lituanie en France 2024.
Ce projet a été partiellement financé par l’Institut de la Culture Lituanienne et l’Institut Français.
I feel like a little bit like a spider, you know ? Trying to connect things that are far away from each other.
RADIO VILNIUS x *DUUU RADIO
*Duuu Radio invites Radio Vilnius to Paris to produce a radio program, which have been broadcasted simultaneously on both stations on the 20th and the 21st of September. For the program Puota, Audrius Pocius and Deimantė Bulbenkaitė invite Lithuanian artists working in France, and French artists who have organized exhibitions or participated in residencies in Lithuania, as well as participants in the Lithuanian Season in France.
Puota #5 : Austė Zdančiūtė
« Puota » (Eng. 𝘛𝘩𝘦 𝘍𝘦𝘢𝘴𝘵). A feast is a time when the flow of everyday life is suspended, immersed in a state of reverie. While some things are blurred into the background, others come into focus more vividly. This particular feast aspires to capture these moments by focusing on art and fashion and the people that create them. The show is hosted by fashion journalist Deimantė Bulbenkaitė and contemporary art curator Audrius Pocius.
Emission enregistrée le 21 septembre 2024 au studio *Duuu par Morgane Charles. Mixage : Arthur Bécart.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la Saison de la Lituanie en France 2024.
Ce projet a été partiellement financé par l’Institut de la Culture Lituanienne et l’Institut Français.
And then suddenly, another woman across the way in the building opened the curtains and started screaming “Vilnius?!” Then asked me if I was French, in french.
RADIO VILNIUS x *DUUU RADIO
*Duuu Radio invites Radio Vilnius to Paris to produce a radio program, which have been broadcasted simultaneously on both stations on the 20th and the 21st of September. For the program Puota, Audrius Pocius and Deimantė Bulbenkaitė invite Lithuanian artists working in France, and French artists who have organized exhibitions or participated in residencies in Lithuania, as well as participants in the Lithuanian Season in France.
Puota #4 : Jennifer Teets
« Puota » (Eng. 𝘛𝘩𝘦 𝘍𝘦𝘢𝘴𝘵). A feast is a time when the flow of everyday life is suspended, immersed in a state of reverie. While some things are blurred into the background, others come into focus more vividly. This particular feast aspires to capture these moments by focusing on art and fashion and the people that create them. The show is hosted by fashion journalist Deimantė Bulbenkaitė and contemporary art curator Audrius Pocius.
Emission enregistrée le 21 septembre 2024 au studio *Duuu par Morgane Charles. Mixage : Arthur Bécart.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la Saison de la Lituanie en France 2024.
Ce projet a été partiellement financé par l’Institut de la Culture Lituanienne et l’Institut Français.
Sometimes I feel like maybe this is my strength to be able to listen and to kind of simplify things, to filter and make it exciting to everyone.
RADIO VILNIUS x *DUUU RADIO
*Duuu Radio invites Radio Vilnius to Paris to produce a radio program, which have been broadcasted simultaneously on both stations on the 20th and the 21st of September. For the program Puota, Audrius Pocius and Deimantė Bulbenkaitė invite Lithuanian artists working in France, and French artists who have organized exhibitions or participated in residencies in Lithuania, as well as participants in the Lithuanian Season in France.
Puota #3 : Rasa J
« Puota » (Eng. 𝘛𝘩𝘦 𝘍𝘦𝘢𝘴𝘵). A feast is a time when the flow of everyday life is suspended, immersed in a state of reverie. While some things are blurred into the background, others come into focus more vividly. This particular feast aspires to capture these moments by focusing on art and fashion and the people that create them. The show is hosted by fashion journalist Deimantė Bulbenkaitė and contemporary art curator Audrius Pocius.
Emission enregistrée le 20 septembre 2024 au studio *Duuu par Morgane Charles & Sampson Staples. Mixage : Arthur Bécart.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la Saison de la Lituanie en France 2024.
Ce projet a été partiellement financé par l’Institut de la Culture Lituanienne et l’Institut Français.
It was very interesting to arrive to a place where everyone was so aware, and I had no clue.
RADIO VILNIUS x *DUUU RADIO
*Duuu Radio invites Radio Vilnius to Paris to produce a radio program, which have been broadcasted simultaneously on both stations on the 20th and the 21st of September. For the program Puota, Audrius Pocius and Deimantė Bulbenkaitė invite Lithuanian artists working in France, and French artists who have organized exhibitions or participated in residencies in Lithuania, as well as participants in the Lithuanian Season in France.
Puota #2 : Egle Cekanaviciute
« Puota » (Eng. 𝘛𝘩𝘦 𝘍𝘦𝘢𝘴𝘵). A feast is a time when the flow of everyday life is suspended, immersed in a state of reverie. While some things are blurred into the background, others come into focus more vividly. This particular feast aspires to capture these moments by focusing on art and fashion and the people that create them. The show is hosted by fashion journalist Deimantė Bulbenkaitė and contemporary art curator Audrius Pocius.
Emission enregistrée le 20 septembre 2024 au studio *Duuu par Morgane Charles & Sampson Staples. Mixage : Arthur Bécart.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la Saison de la Lituanie en France 2024.
Ce projet a été partiellement financé par l’Institut de la Culture Lituanienne et l’Institut Français.
I think today it’s interesting to remember this progress we have made towards more diversity, complexity and the different context we are working with.
RADIO VILNIUS x *DUUU RADIO
*Duuu Radio invites Radio Vilnius to Paris to produce a radio program, which have been broadcasted simultaneously on both stations on the 20th and the 21st of September. For the program Puota, Audrius Pocius and Deimantė Bulbenkaitė invite Lithuanian artists working in France, and French artists who have organized exhibitions or participated in residencies in Lithuania, as well as participants in the Lithuanian Season in France.
Puota #1 : Emilie Villez
« Puota » (Eng. 𝘛𝘩𝘦 𝘍𝘦𝘢𝘴𝘵). A feast is a time when the flow of everyday life is suspended, immersed in a state of reverie. While some things are blurred into the background, others come into focus more vividly. This particular feast aspires to capture these moments by focusing on art and fashion and the people that create them. The show is hosted by fashion journalist Deimantė Bulbenkaitė and contemporary art curator Audrius Pocius.
Emission enregistrée le 20 septembre 2024 au studio *Duuu par Morgane Charles & Sampson Staples. Mixage : Arthur Bécart.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la Saison de la Lituanie en France 2024.
Ce projet a été partiellement financé par l’Institut de la Culture Lituanienne et l’Institut Français.
À la campagne stéphanoise, dans ma chambre, j’avais besoin d’avoir Cascada à fond dans mes oreilles. Et de danser le plus sexy possible, le plus vite possible.
The Collective Laboratory est un projet du Mudam Luxembourg – Musée d’Art Moderne Grand-Duc Jean, développé par Line Ajan et Clémentine Proby de novembre 2023 à janvier 2024 pour aborder, questionner et repenser pratiques artistiques collectives et méthodologies institutionnelles. Six collectifs européens évoluant dans les champs de l’édition et de la performance ont été invités à occuper les espaces d’exposition du musée, les transformant temporairement en résidence d’artiste. Le temps de deux semaines, leurs membres ont fait des galeries vides leur espace de production, de répétition et d’expérimentation.
Dans le cadre de ce projet, Théo Robine-Langlois réalise un format radiophonique pour *Duuu en six épisodes, diffusés les lundis et mardis du 22 avril au 7 mai 2024 à 18:00.
Les Éditions Burn~Août sont une maison d’édition à but non lucratif dont le nom émane d’un jeu de mots combinant le mois d’août et la notion de « burn-out ». Résolument politique et adoptant une perspective transversale sur les pratiques éditoriales, le collectif se définit comme une plateforme et un outil de diffusion de la pensée et des idées. Il publie, réédite et traduit des livres, des fanzines, des pamphlets et des affiches, conçus à chaque fois en réaction à une urgence sociale et diffusés gratuitement.
Lors de leur résidence au Mudam, les Éditions Burn~Août s’intéressent au lien entre leur production imprimée et leur existence en ligne, poursuivant une réflexion sur les questions de distribution à travers différents supports, et sur la façon dont leur travail éditorial peut être transposé sous version numérique d’une manière plus pérenne. À partir de leurs recherches sur les licences Creative Commons, qui offrent un cadre pour la libre distribution des textes, les éditions rattachent leurs conclusions à des réflexions sur leur propre site web, qu’elles considèrent comme un véritable outil artistique de diffusion.
Réalisation : Théo Robine-Langlois
Production : *Duuu radio
Montage : Théo Robine-Langlois et Noé Mignard
Prise de son et mixage : Noé Mignard
And it was just very lonely to watch that.
Or just very melancholic.
The Collective Laboratory est un projet du Mudam Luxembourg – Musée d’Art Moderne Grand-Duc Jean, développé par Line Ajan et Clémentine Proby de novembre 2023 à janvier 2024 pour aborder, questionner et repenser pratiques artistiques collectives et méthodologies institutionnelles. Six collectifs européens évoluant dans les champs de l’édition et de la performance ont été invités à occuper les espaces d’exposition du musée, les transformant temporairement en résidence d’artiste. Le temps de deux semaines, leurs membres ont fait des galeries vides leur espace de production, de répétition et d’expérimentation.
Dans le cadre de ce projet, Théo Robine-Langlois réalise un format radiophonique pour *Duuu en six épisodes, diffusés les lundis et mardis du 22 avril au 7 mai 2024 à 18:00.
Episode 4 : Mnemozine - en résidence du 11.12 au 23.12
Mnemozine est un collectif interdisciplinaire de recherche et d’art basé au Luxembourg et formé par Mathieu Buchler, Claire Buchler, Max Gindt, Christophe Rippinger, Lynn Klemmer, Nadina Faljić et Charles Rouleau. Il rassemble des personnes issues du monde de la musique, de l’art et de la culture et se définit comme une plateforme d’expérimentation en matière de philosophie, de sociologie et de pratique artistique contemporaine.
Ayant principalement publié en ligne, Mnemozine consacre ce temps de résidence à la transition de leurs médias numériques vers les supports analogiques de manière générale, et de leurs publications en ligne vers des éditions imprimées en particulier. Afin de transposer son fanzine en ligne au format imprimé, le collectif pose également un regard critique sur son propre désir de matérialisation à l’heure de la numérisation : cette démarche émane-t-elle d’une simple nostalgie ou d’une forme de résistance socio-politique et économique ?
Réalisation : Théo Robine-Langlois
Production : *Duuu radio
Montage : Théo Robine-Langlois et Noé Mignard
Prise de son et mixage : Noé Mignard
L’économie du pays se révèle dans le prix de la baguette.
Le bruit qui court ne suffit pas
Agathe Boulanger et Signe Frederiksen
Agathe Boulanger et Signe Frederiksen, co-autrices du livre Ce que Laurence Rassel nous fait faire (Paraguay Press, 2020), mettent en résonance les pratiques de leurs invité·es, acteur·ices du monde de l’art, avec des passages du livre. Réalisé à partir d’entretiens menés avec Laurence Rassel, directrice de l’École de recherche graphique à Bruxelles, le livre présente sa pratique inspirée du féminisme, du logiciel libre, de la science-fiction et de la psychothérapie institutionnelle. Dans cette émission, les invité·es déploient à leur tour les outils qu’ils·elles ont façonné au service d’une pratique qui se crée sur le terrain.
Épisode #3 – Gufo
Gufo est une entité né•e en mars 2020 à Marseille. Gufo organise des banquets qu’iels fabriquent entièrement de la conception des tables à celle des nappes et la préparation des repas, afin de nourrir les personnes qui expérimenteront cet espace, dans une recherche de plaisir partagé. Gufo publie également la revue mensuelle HOOT, qui est une conversation imprimée avec un•e artiste ou un collectif, “autour de la notion de travail en tant qu’activité, méthode, environnement, milieu, symbole, nécessité”. Gufo se situe en marge des institutions du monde de l’art, et assume une économie précaire dans une perspective de résistance et d’autonomie. Dans cet entretien, Gufo déplie le rapport entre individu et corps collectif, et explore l’espace imaginaire émancipateur qui existe entre les deux, permettant à des formes artistiques et relationnelles d’émerger dans un esprit de convivialité et de curiosité toujours renouvelée à l’égard des pratiques des autres. “Par le pain, Gufo s’alimente en nourrissant, il nourrit tout en s’alimentant, dans une autophagie prospère et joyeuse.” – https://gufoofug.com/
Musique
Anne Sylvestre, Les gens qui doutent, 1977
Niemand, Kompromat, 2019
Les éléments sonores musicaux dans l’émission sont extraits du morceau Cocksinger de Valentin Goostman.
Émission enregistrée à Marseille, le 23 mai 2023.
Réalisation: Agathe Boulanger et Signe Frederiksen
Prise de son additionnel: Emilien Gros
Mixage: Noé Mignard
Avant le pont, pendant huit ans, on prenait le bateau pour aller sur le continent. C’était bien ce qu’on disait … on disait vraiment ça c’était le continent.
Le bruit qui court ne suffit pas
Agathe Boulanger et Signe Frederiksen
Agathe Boulanger et Signe Frederiksen, co-autrices du livre Ce que Laurence Rassel nous fait faire (Paraguay Press, 2020), mettent en résonance les pratiques de leurs invité·es, acteur·ices du monde de l’art, avec des passages du livre. Réalisé à partir d’entretiens menés avec Laurence Rassel, directrice de l’École de recherche graphique à Bruxelles, le livre présente sa pratique inspirée du féminisme, du logiciel libre, de la science-fiction et de la psychothérapie institutionnelle. Dans cette émission, les invité·es déploient à leur tour les outils qu’ils·elles ont façonné au service d’une pratique qui se crée sur le terrain.
Épisode #1 – Élodie Royer
Elodie Royer est commissaire d’exposition indépendante, enseignante, et doctorante à l’Ecole Normale Supérieure dans le cadre du programme SACRe de l’université de Paris Sciences et Lettres. De passage dans les différents lieux pour lesquels elle a travaillé, Elodie Royer privilégie le territoire d’une recherche plus que le terrain institutionnel. C’est la rencontre avec des artistes, des œuvres et des luttes qui structurent sa trajectoire curatoriale, et une méthodologie de la rencontre et du déplacement. Ses recherches actuelles se situent à l’intersection de l’art, de l’écoféminisme et de la mémoire des catastrophes dans l’histoire contemporaine du Japon. Sous forme d’entretiens, de textes et d’expositions, elles s’attachent à relier des pratiques d’artistes femmes qui ont en commun un ancrage dans des milieux de vie bouleversés par des désastres ou des désordres environnementaux, telles que celles de Lieko Shiga, Chikako Yamashiro ou Tazuko Masuyama. Une recherche en actes qui tente, non pas de considérer les questions environnementales comme de simples motifs, mais bien d’interroger ce que la prise en compte de nos milieux de vie fait intrinsèquement aux pratiques artistiques.
Musique
Hiroshi Yoshimura, GREEN, 1986
Alabaster Deplume, I’m good at not crying, 2022
Les éléments sonores musicaux dans l’émission sont extraits du morceau Cocksinger de Valentin Goostman.
Émission enregistrée dans le studio *Duuu Folie N4/La Villette, le 2 février 2023.
Réalisation: Agathe Boulanger et Signe Frederiksen
Prise de son et montage : Oscar Berger
Prise de son additionnel : Emilien Gros
Mixage : Noé Mignard
Les pages centre d’art ont disparu des documents du conseil municipal.
Bienvenue dans les centres passagers, nous vous proposons d’écouter le portrait de centres d’art contemporains français, mis en difficulté ou ayant disparu. Les centres passagers se veut être la mémoire de ces lieux temporaires, d’histoires d’arts, de projets poétiques, radicaux ou engagés.
Dans ce cinquième épisode, dans un ancien chateau fort, un centre d’art contemporain ouvert il y a plus de 10 ans à Nègrepelisse, à côté de Montauban. Parcourons son histoire à travers les récits de Stéphanie Sagot, Valentine Boé, Yvan Poulain, Marta Jonville et Zoé Sans-Arcidet Lacourt. Écoutez, aujourd’hui, la Cuisine.
Une émission réalisée, montée par Virgile Fraisse et mixée par Noé Mignard / *Duuu – une commande de DCA — Association française de développement des centres d’art contemporain, en coproduction avec Air de Midi, Réseau art contemporain en Occitanie, et la radio *Duuu.
Il fallait des besoins logistiques, qui ne sont pas autorisés à beaucoup d’artistes et qui pourtant travaillent aux Antilles, en Guyane ou à la Réunion et qui ont plus que leur part dans cette histoire.
ForTune #7
Arnaud Elfort et Estelle Nabeyrat
une émission avec :
Mathieu Kleyebe Abonnenc
Seumboy Vrainom et Histoires crépues
Victor Zébo - Guyane art Factory
Dénètem Touam Bona
Malarg
Oulimata Gueye
Peggy Pierrot
ForTune est une émission radio proposée par Eva Barto et Estelle Nabeyrat qui s’intéresse au monde de l’art en tant que monde du travail.
Cette émission a été élaborée par Arnaud Elfort et Estelle Nabeyrat avec les participations de Mathieu Kleyebe Abonnenc, Oulimata Gueye, Peggy Pierrot, Dénètem Touam Bona, Malarg, Seumboy Vrainom et Victor Zébo.
Cette émission ForTune s’intéresse à la question de la représentation de l’histoire coloniale, de l’esclavage, de ses abolitions et des résistances opposées, mais plus largement à la place que les personnes afro-descendantes occupent (ou n’occupent pas) dans le champ de la culture et de l’art contemporain plus particulièrement.
En partant d’exemples de mémoriaux commandés à des artistes plasticien.nes et dont certains sont restés à l’état de projet (Mémorial des Tuileries), nous débutons l’émission par une problématisation de l’association art contemporain et histoire de la traite négrière française.
Le débat est étayé avec la contribution des participant.e.s au travers de l’actualité des expositions (actualité lors des enregistrements entre 2021 et 2022), notamment française, en proposant une analyse des conditions de visibilisation (ou d’invisibilisation) de l’histoire coloniale et des acteurs et actrices qui y ont contribué dans le temps.
Derrière le champ de représentation, et de sa médiatisation, quid de l’instrumentalisation des artistes « racisé.es ” et des modes de sélection opérés sur ces derniers.ères ? Quid de l’extractivisme prolongé par les anciennes puissances coloniales dans de nombreux pays africains…
Montage et mixage : Noé Mignard
Liens et références
Musique : Atomic Peace
Introduction
Afrikadaa, 14, “ Les révoltes silencieuses”
I)
Fabrice Hyber “Le Cri, l’Ecrit”
Mémorial des victimes de l’esclavage aux Tuileries
L’association CM98
Adrian Piper, “On the Tuileries slave memorial jury impasse”
Oliver Nelson
La fresque d' Hervé di Rosa
The New Yorker - Tribune
Nota bene :
Après vérification, tous les artistes sélectionnés avaient pris en compte la question des noms, et proposaient des solutions pour les intégrer à leur œuvres.
La commande du “ Mémorial des victimes de l’esclavage aux Tuileries “ n’a pas été annulée, mais n’a pas pu être honorée car l’association CM98 a refusé de signer les décisions du jury . Il semblerait que la discussion autour du mémorial reprenne avec le Ministère chargé des outre-mer et cela sans le Ministère de la culture.
II)
extrait Sarah Maldoror Sambizanga
Régine Cuzin, exposition “Vives”
Sarah Webster Fabio - Glimpses
Le Palais de Tokyo
Ciap - Ile de Vassivière
Frac Nouvelle-Aquitaine- Les Echos du territoire: la Sagesse des lianes-lianes/
Edouard Glissant “De l’opacité à la relation”
Les Échos du territoire : la Sagesse des lianes avec Dénètem Touam Bona
LES INDES GALANTES by Clément Cogitore
Revue Mouvement Tribune “ A qui profite l’exposition d’une danse”
Bintou Dembele - Les Indes Galantes
Revue Ocula, “Berlin Biannale at a Standill”, Mohammad Salemy
Nidia Sentimentos )
III
Le Lieu Unique - Exposition UFA - L'Université des Futurs Africains
Afrocyberféminismes à la Gaité Lyrique
Peggy Pierrot et Mimi Onuoha, “La race et le genre à l’épreuve du code”.
Remerciements : Nous tenons vivement à remercier tous les contributeurs et contributrices de cet épisode de ForTune ainsi que l’équipe de *Duuu et en particulier Noé Mignard pour le montage et sans qui cet épisode n’aurait pas encore vu le jour. Merci également à Elen Huynh et à Loraine Baud. Merci aussi à l’association travailleurs.travailleuses de l’art pour son soutien.
Ce que fait cette fenêtre au final, c’est qu’elle encadre des situations plus ou moins improvisées.
L’écologie des Orchis négligés : Bagnoler
Format radiophonique collectif en trois parties, pensé lors d’un workshop de création autour de trois artist-run spaces — Bagnoler, Pauline Perplexe et l’Atelier W.
À la fois espaces de monstration et de transmission mais également lieux de production, pourquoi les artistes s’occupent-ils eux-mêmes de la diffusion de leur travail ? Comment envisagent-ils ce lien entre production et diffusion ?
Une série de portraits réalisés à partir d’entretiens et d’enregistrements de la vie du lieu, proposée par *Duuu et Théo Robine-Langlois, avec la participation d’Oscar Berger, Mathilde Cassan, Zoé Couppé, Julie Pecquet, Guilhem Prat, Karin Schlageter, Tiphaine Scott-de-Martinville, et Justin Valette.
Un workshop estival réalisé début juillet 2022 à Bagnolet, Arcueil, Pantin et au Studio *Duuu / La Villette.
Projet lauréat de l’appel à projets « Partage ton Grand Paris » porté par la Société du Grand Paris et la Métropole du Grand Paris.
Des fois les gens viennent juste pour discuter, pour voir les œuvres, pas forcément pour les ramener chez eux. Parce qu’ils ont aussi peur d’avoir un objet comme celui-là chez eux.
L’écologie des Orchis négligés : Atelier W
Format radiophonique collectif en trois parties, pensé lors d’un workshop de création autour de trois artist-run spaces — Bagnoler, Pauline Perplexe et l’Atelier W.
À la fois espaces de monstration et de transmission mais également lieux de production, pourquoi les artistes s’occupent-ils eux-mêmes de la diffusion de leur travail ? Comment envisagent-ils ce lien entre production et diffusion ?
Une série de portraits réalisés à partir d’entretiens et d’enregistrements de la vie du lieu, proposée par *Duuu et Théo Robine-Langlois, avec la participation d’Oscar Berger, Mathilde Cassan, Zoé Couppé, Julie Pecquet, Guilhem Prat, Karin Schlageter, Tiphaine Scott-de-Martinville, et Justin Valette.
Un workshop estival réalisé début juillet 2022 à Bagnolet, Arcueil, Pantin et au Studio *Duuu / La Villette.
Projet lauréat de l’appel à projets « Partage ton Grand Paris » porté par la Société du Grand Paris et la Métropole du Grand Paris.