Émission en direct avec les étudiant·es de l’Ensba Lyon
N’importe qui peut apprendre à enseigner de façon à ce que l’éducation soit une pratique de la liberté.
À l’occasion de la Nuit Blanche 2025, *Duuu & l’ésad Valenciennes proposent un événement hors-série dans le cadre du cycle de rencontres « Comment bien fermer une école d’art ? » qui rythme le dernier semestre d’existence de l’ésad Valenciennes. Le 7 juin 2025, la fermeture imminente de l’école approche. Loin d’être une veillée funèbre, l’événement « C’est la peur qui danse » sera l’occasion de lui déclarer sa flamme, de rêver à l’avenir, de lui dédier une danse, de lire des haïkus et de se détendre lors d’un midnight book club.
Lecture par Félixe Kazi-Tani : extrait de la théorie comme pratique libératrice de Bell Hooks.
Artiste, chercheur·e et membre fondateur·ice de Bye Bye Binary. Doctorant·e à la Villa Arson Nice, sa pratique explore l’édition comme espace d’enquête collective, avec un intérêt marqué pour les médias imprimés tels que les zines, les éditions Risograph et les expérimentations typographiques. Les recherches de Félixe s’articulent souvent autour des archives queer et féministes, des pratiques de soin, et des intersections entre alimentation, communauté et éthique du design.
Une proposition de Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Enregistrement : Sampson Staples & Morgane Charles
Post-production : Sampson Staples & Aurore Portales
Des trains roulent à Port-Royal.
Je chante et je danse à Port-Royal.
En 2024-2025, invitée par *Duuu, l’artiste plasticienne et autrice Mélanie Blaison développe un projet autour du bruissement du langage et des bruits qui nous entourent, entre création sonore, poétique et visuelle en co-création avec l’équipe pédagogique et les élèves du collège Rodin (Paris 13e). Ce projet s’inscrit dans le cadre du dispositif de résidence Art pour Grandir en collège de la Ville de Paris.
Mélanie Blaison invite les élèves à porter une attention sensible aux sons qui nous entourent dans l’espace physique, mental ou encore littéraire. Des bruits agréables, des bruits parasites, des bruits souvenirs, des allitérations, des onomatopées sont identifiés, qualifiés, collectés et composés pour créer de la matière sonorisée.
Accompagnée par *Duuu Radio, l’artiste propose de multiples approches pour aborder les différentes dimensions des environnements sonores, et engager les élèves à adopter une position d’écoute active et caractériser les sons qu’ils entendent. La parole, le texte, le dessin s’inscrivent en complémentarité des outils radiophoniques pour encourager l’analyse, l’expression créative et la collaboration entre chaque participant.es.
Bruit de bruits, une pièce sonore co-créée avec les élèves de 6ème3 et d’UPE2A du collège Rodin (Paris 13e).
Avec la participation des enseignantes Sophie Dessage, Diane de Vries, Muriel Ressal.
Accompagnées par Arthur Bécart, ingénieur du son et Sarah Banville, coordinatrice *Duuu.
Faire des tours Eiffel en bâtons de glaces pour faire passer le temps.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
Nous connaissons désormais le mode opératoire, d’abord administratif : une année “blanche”, une fermeture annoncée deux ans avant sa date effective, la garantie d’un passage de diplôme pour l’ensemble des étudiant·e·s inscrit·e·s dans l’établissement … Puis la gestion matérielle : un bâtiment récupéré par la ville, un fond de bibliothèque redistribué, des équipements et ameublements vendus ou délaissés. Si cette perspective réductrice nous alarme, surgit aujourd’hui cette question réelle et urgente : Comment bien fermer une école d’art ? Comment mettre fin à un monde ? Car finalement, n’est-ce pas à nous, l’équipe pédagogique, administrative, technique et étudiant·e·s restant·e·s, que cette lourde tâche revient ? Si l’annoncer est une chose, baisser le rideau en est une autre. Nous avons reçu des condoléances, de l’empathie, de la commisération, quid des modes d’emploi ?
Alors que notre temps s’écoule, il nous reste tant de choses à dire, à faire et à partager avant que ce soit fini. Ce cycle de rencontres, intitulé Comment bien fermer une école d’art ? rythmera les 6 derniers mois de l’existence de l’ésad, au sein des murs de l’école, ouvert à tou·te·s, avec une diffusion radio. Ces temps se voudront un espace de réflexion qui accompagnera nos actions sur cette fin qui approche, une absence qui se creuse, des luttes passées et un deuil à venir. Il s’agit de créer des moments de partage et de soutien au sein d’une communauté élargie, de faire expérience d’une fermeture.
Comment bien fermer une école d’art #3 : Chacun·e·x cherche son deuil
Félixe Kazi-Tani en discussion avec Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale Abstract.
Nous ne pouvons pas dire que cette perte est soudaine. Sa menace plane sur l’ésad depuis plus d’un décennie. Sa certitude nous côtoie depuis deux ans. Chaque jour, au sein de l’école, nous la vivons à des échelles variables. Les petites piqûres de rappel qui se vivent comme des micro-deuils du quotidien. Les derniers concours d’entrée, les derniers DNSEP et la fermeture du deuxième cycle, les départs, la dernière rentrée, la dernière promo, le dernier semestre. Une école qui se vide mais une volonté féroce de poursuivre jusqu’au bout du bout, de “tout finir”.
Un deuil s’annonce suite à la perte, à la disparition, de quelqu’un·e·x ou quelque chose, un élément clef de nos vies, un repère, aux valeurs affectives, symboliques voire même matérielles. Pouvons-nous faire le deuil de cette école ? Et comment ? On dit « faire son deuil » ; cela a-t-il du sens de le « faire » ? Cela se fabrique un deuil ? Cela se travaille peut-être. Avec Félixe Kazi-Tani nous tenterons de répondre à ces questions, nous parlerons des étapes du deuil, il y en aurait quatre, sept, parfois cinq ; on ne sait plus. Nous nous questionnerons sur la fabrique des totems et des rituels, seul(s) ou à plusieurs, conservant nos singularités, nos individualités.
Une émission enregistrée et diffusée en direct sur *Duuu le 18 mars 2025 depuis l’ésad Valenciennes
Enregistrement : Sampson Staples
Elles n’achèteront pas un bol de chips pour le pigeon de Venise.
Le cycle Écouter sans les yeux est axé autour des dispositifs sonores et situations “sans les yeux”. Prenant appui sur les systèmes sensoriels de la perception, ce cycle envisage le son comme terrain d’expérimentation d’un dialogue ouvert autour des sensibilités individuelles et collectives. Par un ensemble d’ateliers, de transmissions de pratiques et de rencontres avec des artistes, il s’agit de partager des outils avec des participant·es et d’ouvrir l’expérimentation radiophonique. Les différents rendez-vous, ouverts au public et retransmis en direct sur *Duuu Radio, proposent d’altérer les situations de réception et de transmission, d’assumer un rapport sensible à l’inconnu, et de questionner son environnement physique, sonore, visuel.
Le pigeon de Venise - Mélanie Blaison
Comment attraper quelque chose dans sa bouche, avec ses mains, ses pieds, son bec, attraper aussi avec ses oreilles ? Les interactions de groupes dans l’espace public et sur le terrain. Des relations entre des personnages. La vie sur le terrain, un terrain ou des terrains. Quels bruits ça fait, quels bruits nous guident ou nous rendent la vie infernale le jour, la nuit. Voler dans tous les sens du terme. Bouger, ronfler aussi. Des morceaux de cécifoot qui rebondissent un peu partout dans les textes. Récits de moments de pause dans le travail, la nuit et les congés d’été. Huit textes courts, dialogues et poésies nommés :
- Le pigeon de Venise
- Le goéland d’Étretat
- D’une toile de tente à l’autre
- Les sacs à dos
- Les téléphones portables
- Entre août et septembre
- Masque de nuit ou le vol
- Le papier toilettes
Une émission enregistrée le 11 octobre 2024
Enregistrement : Arthur Bécart
Post-production : Morgane Charles
Ce projet s’inscrit dans le cadre du dispositif Eté Culturel de la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France – Ministère de la Culture
Axe, Axe ! Poteau gauche, poteau droit, Axe, Axe !
Le 5 juillet dernier, Mélanie Blaison s’est rendue au club de cécifoot de Saint-Mandé pour le premier atelier du cycle « Ecouter sans les yeux » Prenant appui sur les systèmes sensoriels de la perception, ce cycle envisage le son comme terrain d’expérimentation d’un dialogue ouvert autour des sensibilités individuelles et collectives. En questionnant les joueurs et leur perception des sens dans leur pratique du cécifoot, l’artiste tente de mettre à l’honneur nos oreilles sur le terrain du sport et nous invite à écouter une émission qui explore l’énergie sonore et sportive capturée pendant l’entraînement.
Ecouter sans les yeux avec Mélanie Blaison, c’est vendredi 11 octobre à 17:00 sur *Duuu Radio : lecture en direct de textes et diffusion de la pièce sonore qui regroupe les enregistrements pris sur le terrain, couplées à des moments de discussion avec les sportifs du club.
Avec Camille-Jean Marcin, Myriam Kelite, Demba Sidibé, Soufyane Hammad, Nolwenn Pean, Guiseppe Pettinati, Baba Thiam et Dyabi Sankoumba.
Enregistrement : Sarah Banville et Mélanie Blaison
Montage : Sampson Staples
Mixage : Arthur Bécart
Mille remerciements à Camille et aux membres du club de cécifoot de Saint-Mandé pour leur participation et leur accueil chaleureux sur le terrain.
Ce projet s’inscrit dans le cadre du dispositif Eté Culturel de la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France – Ministère de la Culture
Des souvenirs me reviennent de loin à la surface de la peau. Le froid chaud du latex, le chaud chaud du cuir, le froid froid de l’acier et de la porcelaine.
Samedi 17 juin 2023, de 14h à 02h
*Duuu Radio, Folie N4, Parc de la Villette, Paris 19e
À l’occasion de ses 10 ans, *Duuu propose un événement en plein air et en direct à la Villette, réunissant lectures, entretiens, performances, concerts et djsets.
Depuis 10 ans, *Duuu invente ce que peut être une radio d’art aujourd’hui. *Duuu se définit comme un espace d’art radiophonique et crée un outil de production, d’expérimentation et de diffusion pour des projets artistiques, sonores et/ou radiophoniques.
How to Become avec Estelle Benazet Heugenhauser, Mélanie Blaison, Félixe Kazi-Tani, Laetitia Paviani > LECTURES
How To Become (HTB) est une maison d’édition autogérée basée à Paris, engagée dans des pratiques littéraires expérimentales féministes post-post-sapphiques. Créée en 2016 et publiant des écrits, des images et des traductions d’autrices peu diffusées par le réseau des grandes maisons d’éditions françaises. La maison d’édition est aussi liée à des ateliers d’écriture où les membres partagent leurs textes, traduisent collectivement des auteurices non traduites en langue française.
How To Become The Daughters Of Darkness, ce nouveau numéro de la revue How To Become explore un thème croisé : l’histoire du cruising d’un point de vue gouin.e / féministe et…les vampires !
Avec le soutien du Centre Wallonie-Bruxelles/Paris- HORS-LES-MURS CONSTELLATION
Si tendre est sa morsure. Mais je ne l’aimerai jamais, il est trop bizarre. Trop intense.
Samedi 17 juin 2023, de 14h à 02h
*Duuu Radio, Folie N4, Parc de la Villette, Paris 19e
À l’occasion de ses 10 ans, *Duuu propose un événement en plein air et en direct à la Villette, réunissant lectures, entretiens, performances, concerts et djsets.
Depuis 10 ans, *Duuu invente ce que peut être une radio d’art aujourd’hui. *Duuu se définit comme un espace d’art radiophonique et crée un outil de production, d’expérimentation et de diffusion pour des projets artistiques, sonores et/ou radiophoniques.
How to Become avec Estelle Benazet Heugenhauser, Mélanie Blaison, Félixe Kazi-Tani, Laetitia Paviani > LECTURES
How To Become (HTB) est une maison d’édition autogérée basée à Paris, engagée dans des pratiques littéraires expérimentales féministes post-post-sapphiques. Créée en 2016 et publiant des écrits, des images et des traductions d’autrices peu diffusées par le réseau des grandes maisons d’éditions françaises. La maison d’édition est aussi liée à des ateliers d’écriture où les membres partagent leurs textes, traduisent collectivement des auteurices non traduites en langue française.
How To Become The Daughters Of Darkness, ce nouveau numéro de la revue How To Become explore un thème croisé : l’histoire du cruising d’un point de vue gouin.e / féministe et…les vampires !
Avec le soutien du Centre Wallonie-Bruxelles/Paris- HORS-LES-MURS CONSTELLATION
Mais peu importe les histoires de chacune. C’est la masse des corps anonymes qui réchauffent.
Samedi 17 juin 2023, de 14h à 02h
*Duuu Radio, Folie N4, Parc de la Villette, Paris 19e
À l’occasion de ses 10 ans, *Duuu propose un événement en plein air et en direct à la Villette, réunissant lectures, entretiens, performances, concerts et djsets.
Depuis 10 ans, *Duuu invente ce que peut être une radio d’art aujourd’hui. *Duuu se définit comme un espace d’art radiophonique et crée un outil de production, d’expérimentation et de diffusion pour des projets artistiques, sonores et/ou radiophoniques.
How to Become avec Estelle Benazet Heugenhauser, Mélanie Blaison, Félixe Kazi-Tani, Laetitia Paviani > LECTURES
How To Become (HTB) est une maison d’édition autogérée basée à Paris, engagée dans des pratiques littéraires expérimentales féministes post-post-sapphiques. Créée en 2016 et publiant des écrits, des images et des traductions d’autrices peu diffusées par le réseau des grandes maisons d’éditions françaises. La maison d’édition est aussi liée à des ateliers d’écriture où les membres partagent leurs textes, traduisent collectivement des auteurices non traduites en langue française.
How To Become The Daughters Of Darkness, ce nouveau numéro de la revue How To Become explore un thème croisé : l’histoire du cruising d’un point de vue gouin.e / féministe et…les vampires !
Avec le soutien du Centre Wallonie-Bruxelles/Paris- HORS-LES-MURS CONSTELLATION
Ne soit pas trop critique. Je suis une de tes créations, tout comme le monde.
Samedi 17 juin 2023, de 14h à 02h
*Duuu Radio, Folie N4, Parc de la Villette, Paris 19e
À l’occasion de ses 10 ans, *Duuu propose un événement en plein air et en direct à la Villette, réunissant lectures, entretiens, performances, concerts et djsets.
Depuis 10 ans, *Duuu invente ce que peut être une radio d’art aujourd’hui. *Duuu se définit comme un espace d’art radiophonique et crée un outil de production, d’expérimentation et de diffusion pour des projets artistiques, sonores et/ou radiophoniques.
How to Become avec Estelle Benazet Heugenhauser, Mélanie Blaison, Félixe Kazi-Tani, Laetitia Paviani > LECTURES
How To Become (HTB) est une maison d’édition autogérée basée à Paris, engagée dans des pratiques littéraires expérimentales féministes post-post-sapphiques. Créée en 2016 et publiant des écrits, des images et des traductions d’autrices peu diffusées par le réseau des grandes maisons d’éditions françaises. La maison d’édition est aussi liée à des ateliers d’écriture où les membres partagent leurs textes, traduisent collectivement des auteurices non traduites en langue française.
How To Become The Daughters Of Darkness, ce nouveau numéro de la revue How To Become explore un thème croisé : l’histoire du cruising d’un point de vue gouin.e / féministe et…les vampires !
Avec le soutien du Centre Wallonie-Bruxelles/Paris- HORS-LES-MURS CONSTELLATION
Comme je vous disais hier j’ai peut-être fait un coming-out de gothique, je me rends pas compte.
À l’occasion du salon d’édition Offprint London, du 17 au 19 mai à la Tate Modern, la radio *Duuu rediffuse une série d’entretiens autour de l’édition contemporaine réalisés avec le Centre national des arts plastiques (Cnap) et enregistrés durant le salon à Paris en novembre dernier. Les émissions sont menées par Victoire Le Bars.
Mélanie Blaison, Martha Salimbeni et sabrina soyer de How to Become, maison d’édition autogérée basée à Paris, créée par un collectif d’artistes et écrivaines engagées dans des pratiques féministes.
Une émission enregistrée en direct le vendredi 10 novembre 2023 dans le cadre du Salon Offprint au Pavillon de l’Arsenal, en partenariat avec le Cnap.
Montage : Elen Huyng.
Mixage : Noé Mignard.
Tu avais six ans quand tu as lu le Marquis de Sade de ta mère. Cela donnait tellement d’explications sur les choses de la maison. Le Kama Sutra à sept ans, mais tu es restée impassible.
Long Play #4 : HOW TO BECOME A MOTHERFUCKINELEGIST
*Duuu radio a récemment acquis un graveur de vinyles afin de réaliser des micro-éditions de projets sonores. Cet outil permet de graver des disques vinyles à l’unité, à vitesse réelle.
À l’occasion de ses 10 ans, *Duuu propose l’édition de 10 vinyles de 10 exemplaires chacun, issus des archives de la radio, ainsi qu’un projet inédit réalisé à l’occasion de l’exposition.
Pour le quatrième vinyle, *Duuu présente HOW TO BECOME A MOTHERFUCKINELEGIST, lectures par Mélanie Blaison, Nina Kennel, Rosanna Puyol, Joyce Rivière, Barbara Sirieix, sabrina soyer
HOW TO BECOME A MOTHERFUCKINELEGIST est une revue bilingue qui parle de langue. Cherchant à encourager les écritures socialement interdites, car n’obéissant pas à une économie dominante actuelle, elle publie chaque année la littérature expérimentale d’artistes et écrivaines féministes & lesbiennes, et des traductions inédites.
HOW TO BECOME A MOTHERFUCKINELEGIST est une revue créée par un collectif de gouines & féministes à Paris. Elle publie les recherches menées pendant les workshops d’écriture & traduction : How to become a lesbian. Ces ateliers sont gratuits et se déroulent toutes les deux semaines à Paris, en non-mixité (pas d’hommes cis).
Une émission proposée par Mélanie Blaison, Nina Kennel, Rosanna Puyol, Joyce Rivière, Barbara Sirieix, et sabrina soyer enregistrée le 9 octobre 2020 à Bétonsalon dans le cadre de Bivouac #3 / *DUUU, *Up Up Down Up Down Up Up, un programme de deux soirées de lectures, performances et concerts, en compagnie d’artistes invité.e.s et de correspondant.e.s de la radio.
Les doigts s’enfoncent jusqu’aux molaires de lait. Les doigts écartent les joues, agrandissent la bouche, le sourire rattrape la grimace.
Sarah si on avait un accident, j’aurais un trou comme visage ?
Extrait de la lecture au paysage de Bêcher son visage, autre saison, par l’auteure Estelle Benazet Heugenhauser, qui a eu lieu le 18 septembre 2021 sous un pin d’Auteuil sur Oise, lors du festival La Chambre verte.
Il s’agit ici de la suite de Bêcher son visage paru en septembre 2020.
Les deux nouvelles sont disponibles en version papier aux éditions de la Chambre verte.
Merci Géraldine Gomez, Sophie Pépin
Je veux que les histoires dégoûtent, qu’elles mouillent, qu’elles giclent en tous sens, qu’il n’y ait pas assez de bouches pour les boire.
Late late motherfuckinelegist
Lectures par etaïnn zwer, Léa Vassal, sabrina soyer, pauline l. boulba, Soto Labor, Joyce Rivière, Eleanor Ivory Weber, Rosanna Puyol, Lætitia Paviani, Mélanie Blaison, Barbara Sirieix.
Playlist de Sophie T. Lvoff.
Le lancement de la revue How to become a motherfuckinelegist très très très en retard, donc avec plein de nouveaux trucs et même de nouveau·elles gens, enfin la revue (augmentée) à venir chercher sur place pour les souscripteur·ices, des chips au vinaigre, un punch surprise & une playlist de Sophie T. Lvoff, les lectures de etaïnn zwer, Léa Vassal, sabrina soyer, pauline l. boulba, Soto Labor, Joyce Rivière, Eleanor Ivory Weber, Rosanna Puyol, Lætitia Paviani, Mélanie Blaison, Barbara Sirieix.
HOW TO BECOME A MOTHERFUCKINELEGIST est une revue bilingue qui parle de langue. Cherchant à encourager les écritures socialement interdites, car n’obéissant pas à une économie dominante actuelle, elle publie chaque année la littérature expérimentale d’artistes et écrivaines féministes & lesbiennes, et des traductions inédites.
HOW TO BECOME A MOTHERFUCKINELEGIST est une revue créée par un collectif de gouines & féministes à Paris. Elle publie les recherches menées pendant les workshops d’écriture & traduction : How to become a lesbian. Ces ateliers sont gratuits et se déroulent toutes les deux semaines à Paris, en non-mixité (pas d’hommes cis).
Tracklist :
- Le groupe Ndima, Pygmées Aka (Congo), chant Diyengue
- Thao and The Get Down Stay Down, Nobody Dies
- Bele Boum Bap Misik sé travay nou (feat. Hélène Marigny, Charly Labinsky, Roro Pierre-Michel, Rachid)
- Karo, dans le ventre d’une énorme baleine
- Ruby, Alby Plastic
- Maureen, Tic
- Linn da quebrada, bixa travesty
Une émission réalisée à la Folie N4/la Villette le 18.06.2021 dans le cadre de l’Été culturel 2021 porté par la DRAC – Direction Régionale des Affaires Culturelles – d’Île-de-France.
Tu avais six ans quand tu as lu Le Marquis de Sade de ta mère. Cela donnait tellement d’explications sur les choses de la maison. Le Kama Sutra à sept ans, mais tu es restée impassible.
HOW TO BECOME A MOTHERFUCKINELEGIST, lectures par Mélanie Blaison, Nina Kennel, Rosanna Puyol, Joyce Rivière, Barbara Sirieix, sabrina soyer
HOW TO BECOME A MOTHERFUCKINELEGIST est une revue bilingue qui parle de langue. Cherchant à encourager les écritures socialement interdites, car n’obéissant pas à une économie dominante actuelle, elle publie chaque année la littérature expérimentale d’artistes et écrivaines féministes & lesbiennes, et des traductions inédites.
HOW TO BECOME A MOTHERFUCKINELEGIST est une revue créée par un collectif de gouines & féministes à Paris. Elle publie les recherches menées pendant les workshops d’écriture & traduction : How to become a lesbian. Ces ateliers sont gratuits et se déroulent toutes les deux semaines à Paris, en non-mixité (pas d’hommes cis).
Pour leur écrire
Pour soucrire à la revue
Une émission proposée par Mélanie Blaison, Nina Kennel, Rosanna Puyol, Joyce Rivière, Barbara Sirieix, et sabrina soyer enregistrée le 9 octobre 2020 à Bétonsalon dans le cadre de Bivouac #3 / *DUUU, *Up Up Down Up Down Up Up, un programme de deux soirées de lectures, performances et concerts, en compagnie d’artistes invité.e.s et de correspondant.e.s de la radio.
Le soleil engraisse.
Ne reste pas dans le chemin.
Du haut du grenier, les mains poussent le matelas à dévaler l’escalier. Il n’avance pas. Le buste et les bras plient la mousse et les ressorts. Les rotules s’activent, les chevilles craquent.
Extrait de la lecture au paysage de Bêcher son visage par l’auteure Estelle Benazet Heugenhauser, qui a lieu le samedi 19 septembre 2020 dans un champ d’Auteuil sur Oise lors du festival La Chambre verte.
Edition papier disponible aux éditions de la Chambre verte.
Merci Géraldine Gomez, Sophie Pépin et Corisande Bonnin.