Émission en direct avec les étudiant·es de l’Ensba Lyon
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Session performances, corps et sonorité
Samedi 22 Juin 2019, Mains d’Œuvres
Événement performatif, point culminant de la saison estivale, ce midi-minuit présente des performances inédites d’artistes résidents et d’artistes invités. Elles prennent place dans les différents espaces du lieu. Au lendemain du solstice d’été, participons ensemble au coucher du soleil et réunissons-nous autour d’œuvres émergentes, achevées dernièrement ou encore en cours de production. Suite à des temps de résidence, les artistes se risquent à échanger sur leurs récentes expérimentations.
Le corps et le son se mêlent en tant que médiums dans une transe partagée, des rythmes cycliques et oscillatoires, des formes contextuelles ou radicales, et un désir de mettre au centre de ce moment collectif des univers individuels et éminemment sensibles.
5. Babel Babel - Violaine Lochu
(32’14)
Une émission proposée par *Duuu le samedi 22 Juin 2019, à Mains d’Œuvres.
Dans une table-ronde, ils ont remarqué que 80% des assis ne parlaient pas, où très peu. Évidemment j’en fait partie.
Session performances, corps et sonorité
Samedi 22 Juin 2019, Mains d’Œuvres
Événement performatif, point culminant de la saison estivale, ce midi-minuit présente des performances inédites d’artistes résidents et d’artistes invités. Elles prennent place dans les différents espaces du lieu. Au lendemain du solstice d’été, participons ensemble au coucher du soleil et réunissons-nous autour d’œuvres émergentes, achevées dernièrement ou encore en cours de production. Suite à des temps de résidence, les artistes se risquent à échanger sur leurs récentes expérimentations.
Le corps et le son se mêlent en tant que médiums dans une transe partagée, des rythmes cycliques et oscillatoires, des formes contextuelles ou radicales, et un désir de mettre au centre de ce moment collectif des univers individuels et éminemment sensibles.
4. Lapsus Linguae - Auriane Preud’Homme interprété par Eurialle Livaudais
(19’44)
Une émission proposée par *Duuu le samedi 22 Juin 2019, à Mains d’Œuvres.
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Session performances, corps et sonorité
Samedi 22 Juin 2019, Mains d’Œuvres
Événement performatif, point culminant de la saison estivale, ce midi-minuit présente des performances inédites d’artistes résidents et d’artistes invités. Elles prennent place dans les différents espaces du lieu. Au lendemain du solstice d’été, participons ensemble au coucher du soleil et réunissons-nous autour d’œuvres émergentes, achevées dernièrement ou encore en cours de production. Suite à des temps de résidence, les artistes se risquent à échanger sur leurs récentes expérimentations.
Le corps et le son se mêlent en tant que médiums dans une transe partagée, des rythmes cycliques et oscillatoires, des formes contextuelles ou radicales, et un désir de mettre au centre de ce moment collectif des univers individuels et éminemment sensibles.
3. L’équilibre des humeurs - Octave Courtin et Pierre Benjamin Nantel
(37’50)
Une émission proposée par *Duuu le samedi 22 Juin 2019, à Mains d’Œuvres.
C’est bon là tout le monde m’entend. Ce qui tombe assez bien, parce que c’est un peu le sujet de l’évènement de ce soir.
Session performances, corps et sonorité
Samedi 22 Juin 2019, Mains d’Œuvres
Événement performatif, point culminant de la saison estivale, ce midi-minuit présente des performances inédites d’artistes résidents et d’artistes invités. Elles prennent place dans les différents espaces du lieu. Au lendemain du solstice d’été, participons ensemble au coucher du soleil et réunissons-nous autour d’œuvres émergentes, achevées dernièrement ou encore en cours de production. Suite à des temps de résidence, les artistes se risquent à échanger sur leurs récentes expérimentations.
Le corps et le son se mêlent en tant que médiums dans une transe partagée, des rythmes cycliques et oscillatoires, des formes contextuelles ou radicales, et un désir de mettre au centre de ce moment collectif des univers individuels et éminemment sensibles.
2. Morceaux choisis - Agathe Berthaux-Weil
(9’21)
Une émission proposée par *Duuu le samedi 22 Juin 2019, à Mains d’Œuvres.
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Session performances, corps et sonorité
Samedi 22 Juin 2019, Mains d’Œuvres
Événement performatif, point culminant de la saison estivale, ce midi-minuit présente des performances inédites d’artistes résidents et d’artistes invités. Elles prennent place dans les différents espaces du lieu. Au lendemain du solstice d’été, participons ensemble au coucher du soleil et réunissons-nous autour d’œuvres émergentes, achevées dernièrement ou encore en cours de production. Suite à des temps de résidence, les artistes se risquent à échanger sur leurs récentes expérimentations.
Le corps et le son se mêlent en tant que médiums dans une transe partagée, des rythmes cycliques et oscillatoires, des formes contextuelles ou radicales, et un désir de mettre au centre de ce moment collectif des univers individuels et éminemment sensibles.
6. Radio Hito - Yohanna Nguyen
(29’13)
Une émission proposée par *Duuu le samedi 22 Juin 2019, à Mains d’Œuvres.
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Session performances, corps et sonorité
Samedi 22 Juin 2019, Mains d’Œuvres
Événement performatif, point culminant de la saison estivale, ce midi-minuit présente des performances inédites d’artistes résidents et d’artistes invités. Elles prennent place dans les différents espaces du lieu. Au lendemain du solstice d’été, participons ensemble au coucher du soleil et réunissons-nous autour d’œuvres émergentes, achevées dernièrement ou encore en cours de production. Suite à des temps de résidence, les artistes se risquent à échanger sur leurs récentes expérimentations.
Le corps et le son se mêlent en tant que médiums dans une transe partagée, des rythmes cycliques et oscillatoires, des formes contextuelles ou radicales, et un désir de mettre au centre de ce moment collectif des univers individuels et éminemment sensibles.
1. Undersound - Éloïse Le Gallo & Julia Borderie (Collectif Périphérie)
(16’24)
Une émission proposée par *Duuu le samedi 22 Juin 2019, à Mains d’Œuvres.
Le titre de l’expo c’était “OK Kid you’ve got the job”, qui est tiré d’une vidéo de casting du gamin qui joue dans “E.T”.
VIDEO TALK est un cycle de projections et de discussions conçu par Laetitia Chauvin et Marie-Laure Lapeyrère, au rythme d’une séance par mois programmée dans la salle Star Trek de Mains d’Œuvres. Alternant projection des films et discussions, chaque rencontre de VIDEO TALK menée en présence de l’artiste, se donne pour objectif de traverser l’oeuvre en profondeur et plus largement de questionner les pratiques actuelles de la vidéo dans l’art contemporain.
Séance #3 consacrée à Christophe Herreros
En conversation avec Jean-Christophe Arcos (critique d’art et commissaire d’exposition indépendant, fondateur, entre autres projets, du Cinéma de la Nouvelle Lune et du Cinéma du Solstice).
Bien qu’il reconnaisse sa filiation avec les artistes de la génération des années 1990 qui ont participé à la déconstruction du cinéma mainstream, Christophe Herreros appartient à l’ère des films découpés en extraits YouTube. Comme les artistes de sa génération – Neïl Beloufa, Arnaud Dezoteux, Ana Vega, Gabriel Abrantes –, il saisit l’ultravisibilité du cinéma blockbuster pour y inscrire un hors-champ dissonant.
Le travail filmique et vidéo de Christophe Herreros s’inscrit pleinement dans le champ de la fiction. La puissance des images, les sensations et l’imaginaire transportent le spectateur dans l’univers spécifique de l’artiste, à la croisée du thriller américain et de l’esthétisme de la peinture naturaliste. Les mises en scène volontairement stéréotypées vont complètement à l’encontre d’un cinéma enclin à la facilité et au mauvais goût. Bien au contraire, sa maîtrise technique associée au hors-champ et à l’univers intriguant des sujets poussent la fiction vers une fascination. Usant par ailleurs du principe de la boucle, qui a pour effet de captiver, Christophe Herreros produit un effet d’effleurement, un dénouement proche et pourtant continuellement repoussé, inatteignable in fine. Il s’agit pour l’artiste de produire un suspens sans fin qui attire et piège la curiosité du spectateur. Travellings, grues et autres classiques des techniques cinématographiques sont parfaitement maîtrisés, comme autant de codes condensés qui convoquent immédiatement la narration.
Christophe Herreros
Né en 1981 à Carcassone, Christophe Herreros vit et travaille à Paris. Diplômé des Beaux Arts de Paris puis du Fresnoy (tous deux avec les félicitations du Jury), Christophe Herreros reçoit en 2010 le prix jeune création du salon du même nom. Il est également passé par CALARTS (California Institute of the Arts). Il est représenté par la Galerie des Multiples, et son travail a été montré à Glassbox, à la Fondation Ricard, au Palais de Tokyo à Paris, aux Abattoirs à Toulouse et au Haus Der Kulturen Der Welt à Berlin, entre autres lieux.
Une émission proposée par Laetitia Chauvin et Marie-Laure Lapeyrère, avec Christophe Herreros et Jean-Christophe Arcos, enregistrée le dimanche 13 janvier 2019 à Mains d’Œuvres.
Du côté de ma mère je suis basque, et en même temps ça a été transmis de façon étrange, pas du tout par la langue ou la culture, mais plutôt par la nourriture : le gateau basque, le poulet basquaise…
VIDEO TALK est un cycle de projections et de discussions conçu par Laetitia Chauvin et Marie-Laure Lapeyrère, au rythme d’une séance par mois programmée dans la salle Star Trek de Mains d’OEuvres. Alternant projection des films et discussions, chaque rencontre de VIDEO TALK menée en présence de l’artiste, se donne pour objectif de traverser l’oeuvre en profondeur et plus largement de questionner les pratiques actuelles de la vidéo dans l’art contemporain.
Séance #2 consacrée à Bertrand Dezoteux
En conversation avec Lionel Balouin (directeur de la Galerie Edouard Manet à Gennevilliers et commissaire de l’exposition de l’artiste en 2018)
Bertrand Dezoteux convoque dans ses films d’animation, empreints de science-fiction, une multitude de savoirs allant de l’anthropologie, la littérature, la bande dessinée en passant par l’art, la biologie, la science, l’informatique et autres domaines de connaissances. Loin des canons esthétiques de l’industrie du divertissement cinématographique et du jeu vidéo, ses films, à mi-chemin entre bricolage numérique et maladresse volontaire, mettent en exergue les conditions de création et d’apparition des images. Leur production artisanale et leur économie réduite évoquent une origine, une époque archaïque de l’animation qui n’est pas sans rappeler la tentation d’Andy Warhol de produire à l’intérieur de la Factory un cinéma qui avait pour modèle Hollywood. Ses objets visuels à la fois complexes et cocasses trouvent leur origine dans l’envie de créer des mondes. Il produit ainsi par assemblages, associations d’idées et montages, des récits décalés et anachroniques à l’imaginaire débridé et à l’humour singulier.
Bertrand Dezoteux
Né en 1982 à Bayonne, Bertrand Dezoteux vit entre Paris et Bayonne. Il est diplômé de la Haute École des arts du Rhin (Strasbourg) et du Fresnoy, Studio National des Arts contemporains (Tourcoing). Lauréat du prix Audi Talents, ses oeuvres ont fait l’objet de plusieurs présentations en France (Centre Pompidou, Palais de Tokyo à Paris, Frac Aquitaine, etc) et à l’international (New York Film Festival, Frieze London). En mars 2018, il est programmé au théâtre des Amandiers (Nanterre), puis en avril la galerie Édouard Manet (Gennevilliers) lui consacre une exposition personnelle. À la même période, il participe à l’exposition collective « Gravité Zéro » organisée aux Abattoirs (Toulouse).
Une émission proposée par Laetitia Chauvin et Marie-Laure Lapeyrère, avec Bertrand Dezoteux et Lionel Balouin, le dimanche 18 novembre 2018 à Mains d’Œuvres.
On a eu envie de montrer des films à notre communauté, à nos voisins, renouer avec le vidéo-club, montrer et débattre.
VIDEO TALK est un cycle de projections et de discussions conçu par Laetitia Chauvin et Marie-Laure Lapeyrère, au rythme d’une séance par mois programmée dans la salle Star Trek de Mains d’Œuvres. Alternant projection des films et discussions, chaque rencontre de VIDEO TALK menée en présence de l’artiste, se donne pour objectif de traverser l’oeuvre en profondeur et plus largement de questionner les pratiques actuelles de la vidéo dans l’art contemporain.
Séance #1 consacrée à Colin Snapp
L’artiste américain Colin Snapp travaille comme le ferait un chercheur, dans la durée et avec une attention précise aux faits observés, confrontant notamment l’évolution des interrelations entre les voyages, les déplacements et la perception. Ses œuvres constituent le résultat d’observations quasi anthropologiques des modalités et expériences du regard contemporain ― raison pour laquelle il choisit de se concentrer sur la banalité de l’expérience moderne du voyage et notamment sur les formes encadrées/guidées de voyage dans des natures souvent grandioses, pour isoler et étudier les particularités des gestes et des manières modernes d’observation. Usant des nouvelles technologies davantage comme des ressources que des outils, l’artiste s’attache à une reconstitution de la vision moderne dans sa complexité.
Colin Snapp
Né en 1982 à Lopez Island aux Etats-Unis, Colin Snapp vit aujourd’hui à Los Angeles. Il est représenté par la Galerie Allen à Paris et ses oeuvres ont fait l’objet de nombreuses présentations en France et à l’étranger (Whitney Museum, PS1 MoMA et Skylight Projects à New York, Unosunove Galleria à Rome, Das Odeon à Vienne, Art-o-Rama à Marseille, Fiac hors-les-murs à Paris, etc).
Une émission proposée par Laetitia Chauvin et Marie-Laure Lapeyrère, enregistrée le dimanche 7 octobre 2018 à Mains d’Œuvres.
– Oh alleeeeeeeer ! Franchement ! Le niveau est très élevé
– Et maintenant, ce sera à vous à l’applaudimètre de désigner le gagnant !
– Qui sera le meilleur artiste ?
Activation n°2 de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer deux par deux, chacun(e) tournant une roue), 1962.
Kim Bradford & Joseph Perez
Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, Kim Bradford et Joseph Perez présentent une interprétation de l’oeuvre de Robert Filliou, Danse-poème collectif, (à performer deux par deux, chacun(e) tournant une roue), 1962. Mêlant références à l’univers médiatique et au monde de l’art, les deux artistes proposent un précis d’utilisation de la pièce entre le concours et l’émission de télé-réalité.
* Kim Bradford est née en 1991. Elle vit et travaille à Paris. Artiste plasticienne, sa pratique associe installation, performance, sérigraphie et sculpture. Kim Bradford envisage le monde et les rapports humains comme des espaces de réflexion, d’interaction et des supports de création. Entremêlant l’art et la vie avec ironie et poésie, le jeu occupe une place primordiale dans sa pratique. Invitant le spectateur à prendre part à ses recherches, elle questionne son rôle et son pouvoir de décision. Diplômée avec les Félicitations du jury de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux arts de Paris en 2017, elle a notamment travaillé au sein des ateliers de Claude Closky et de Tania Bruguera et a étudié à la Cooper Union School of the Art à New York. Elle a participé à de nombreuses expositions collectives entre Lille, Paris, New-York et La Havane. En 2017 elle intègre le collectif de sérigraphes Atelier La Banane. À l’occasion de Quart d’heure américain, Kim Bradford invite Joseph Perez à collaborer avec elle.
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture
Moi désespérée, et toi qui répond petu-être, peut-être, peut-être.
Concert-poème, 2017
Julien Gasc & France Besnier
Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, Julien Gasc & France Besnier reprennent des standards sentimentaux et désuets de la chanson. A partir de ces textes traduits en français, lus et chantés en changeant de rôle comme de place, ils réalisent une performance minimale et intime entre gravité pop et existentialisme futile.
*Julien Gasc est né en 1980 à Castres. Il vit à Paris. Co-fondateur d’Aquaserge, musicien solitaire bien entouré ou collaborant avec Stereolab, April March, Katerine, Burgalat, Forever Pavot et Dorian Pimpernel entre autres, Julien Gasc est l’auteur d’une musique pop française érudite, baroque et psychédélique. Il a notamment sortit deux LP « Cerf biche et faon » et « Kiss Me You Fool » chez Born Bad Records. À l’occasion de Quart d’heure américain, il invite France Besnier à collaborer avec lui.
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture
– You
– Have
– Balls
– I
– Have
– Balls
Conversation Piece. Bob and Alice, 2017 (dialogue)
Martin Chramosta & Martina-Sofie Wildberger
A l’occasion de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, les artistes Martin Chramosta & Martina-Sofie Wildberger réalisent la performance Conversation Piece. Bob and Alice, 2017. Tous deux réinterprètent dans un dialogue improvisé, la dernière phrase générée par Bob et Alice, deux algorithmes crées à partir de Facebook : “I can everything else balls a ball to me zero 0”. D’autre combinaisons de cette phrase sont engendrées de façon graphique dans l’espace par les déambulation de performeurs portant chacun un mots sur un t-shirt.
*Martin Chramosta est né en 1982 à Zurich, Suisse. Il vit et travaille entre Bâle, Suisse et Vienne, Autriche. Détenteur d’un Master en beaux-arts de la Gestaltung und Kunst de Bâle, il a participé à plusieurs programmes de résidence dans des institutions telles que la Fonderie Darling (Montréal), la Cité des Arts (Paris) et Quartier21 (Vienne). Son travail a été montrée lors d’expositions et de festivals dédiés à la performance à Bâle, Vienne, Montréal, Dakar, Uppsala, Paris et Berlin.
*Martina-Sofie Wildberger est née en 1985 à Zurich, Suisse. Elle vit et travaille entre Genève et Zurich, Suisse. Elle a obtenu un Master of Fine Arts de la Haute école d’art et de design – Genève en 2011 ainsi qu’une maîtrise en histoire de l’art de l’Université de Genève en 2014. L’artiste a participé à des expositions au Centre culturel suisse (Paris), Kunsthalle de Mulhouse (France), Palais de l’Athénée (Genève), Centre d’art contemporain Genève, SALTS (Basel), Kunsthaus Baselland, Corner College et Haus Konstruktiv (Zurich).
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture.
Ce matin j’ai vu une femme framboise se balader dans la rue. Elle dansait avec une grue. Le soleil souriait, les arbres se balançaient, leurs feuilles étaient velues.
Watching TV Lovers, 2017.
Performance pour deux voix avec orgue électrique et écho à bande.
Catherine Hershey et Yohanna My Nguyen composent et chantent ensemble, séparément et parfois, accompagnées d’un orgue électrique ou d’un piano. Elles vivent et travaillent entre Bruxelles et Paris.
A l’occasion de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, elles réalisent Watching TV Lovers, 2017, une performance pour deux voix avec orgue électrique et écho à bande oscillant entre musique pop, poésie contée et expérimentation sonore.
*Catherine Hershey est une chanteuse et compositrice franco-britannique qui vit et travaille entre Bruxelles et Paris.
*Yohanna My Nguyen est typographe et compositrice. Prenant pour appui le texte dans ses différentes existences, elle questionne les notions d’appropriation, de réappropriation et le potentiel politique du quotidien. Ses réalisations récentes prennent la forme d’une publication de textes autour du réalisateur Alain Cavalier, d’une série de compositions musicales à partir du travail d’Émile Cohl pour le Musée d’Orsay et d’une installation sonore avec application embarquée pour la bibliothèque de l’Université Paris 8. Elle enseigne la théorie et la pratique de la typographie à la Haute école des Arts du Rhin à Strasbourg depuis 2012 et intervient régulièrement à la Rietveld Academie à Amsterdam.
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture
La désuétude c’est chercher ses clefs et se rendre compte qu’on a plus de voiture.
Tout droit jusqu’au matin, 2017.
Texte de Jérémie Gaulin interprété par Bertrand Poncet.
Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, l’artiste-théoricien Jérémie Gaulin a écrit le texte Tout droit jusqu’au matin, 2017, interprétation libre et subjective des liens existants entre la notion de désuétude et la posture artistique de Robert Filliou. Ce texte, nourri de références littéraires et philosophiques, est interprété par l’acteur Bertrand Poncet au sein de l’exposition.
*Jérémie Gaulin est né en 1985 à Bordeaux. Il vit et travaille à Paris. En jouant des modes d’apparitions et de validations intellectuelles ou artistiques, son travail mêle recherches théoriques, commissariat, éditions de revues, installations et vidéos. Il commence ses études aux Beaux-arts de Bordeaux et les termine à la Head de Genève en 2013. S’en suit plusieurs projets comme la revue Pharmakon avec Lola Druilhe, revue de sociologie des religions et d’art, ou l’inverse; Chrématistique, laboratoire de recherche sur l’économie de l’œuvre, achevé par la donation des archives au CNEAI= et les ateliers populaires de Paris tentative de groupe pluridisciplinaire avec Jean-Baptiste Naudy ou encore plus récemment la revue Emergency. Il part ensuite voir ailleurs si sa langue se traduit : Londres, Bucarest, Bonrepaux, Tanger, Los Angeles, Mexico où il se trouve en résidence jusqu’en décembre 2017. Jérémie Gaulin est représenté par la Galerie Martine Aboucaya.
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture
– Perdu.
– Perdu !
– Bonjour ! Bienvenu.e.s à Mains d’Œuvres, autrement dit en anglais Hand Masterpiece.
Activation de l’oeuvre de Robert Filliou, Danse-poème collectif (à performer deux par deux, chacun(e) tournant une roue), 1962.
Kim Bradford et Joseph Perez
Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, Kim Bradford et Joseph Perez présentent une interprétation de l’oeuvre de Robert Filliou, Danse-poème collectif, (à performer deux par deux, chacun(e) tournant une roue), 1962. Mêlant slam et références à l’univers médiatique, les deux artistes proposent un précis d’utilisation de la pièce entre le tutoriel et l’apprentissage du langage poétique.
* Kim Bradford est née en 1991. Elle vit et travaille à Paris. Artiste plasticienne, sa pratique associe installation, performance, sérigraphie et sculpture. Kim Bradford envisage le monde et les rapports humains comme des espaces de réflexion, d’interaction et des supports de création. Entremêlant l’art et la vie avec ironie et poésie, le jeu occupe une place primordiale dans sa pratique. Invitant le spectateur à prendre part à ses recherches, elle questionne son rôle et son pouvoir de décision. Diplômée avec les Félicitations du jury de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux arts de Paris en 2017, elle a notamment travaillé au sein des ateliers de Claude Closky et de Tania Bruguera et a étudié à la Cooper Union School of the Art à New York. Elle a participé à de nombreuses expositions collectives entre Lille, Paris, New-York et La Havane. En 2017 elle intègre le collectif de sérigraphes Atelier La Banane. À l’occasion de Quart d’heure américain, Kim Bradford invite Joseph Perez à collaborer avec elle.
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture
– C’est bon, tout le monde est devant un tambour ?
– Ouaaaaais
– Non Balthazar, de l’autre côté.
The Instrumentalisation of Art, 2017
Performance par les élèves de la MOMO de Mains d’Oeuvres sur une table de musique, menée par Thibault Saladin.
Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, l’artiste Joshua Schwebel a conçu The Instrumentalisation of Art. Durant cette performance, les élèves de la MOMO (école d’éveil musical de Mains d’Oeuvres) sont invités à “habiter” l’exposition durant toute sa durée en interprétant diverses partitions de Fluxus sur une table de musique, avec la bienveillance de leur professeur Thibault Saladin.
*Joshua Schwebel est né à Toronto, Canada. Vit et travail à Berlin, Allemagne.
Joshua Schwebel est un artiste conceptuel canadien. Il est diplômé de deux Masters dans les universités canadiennes NS- CAD University (2008) et Concordia University (2006). Son travail, avant tout basé sur la Critique Institutionnelle, a été exposé dans de nombreuses expositions internationales. Schwebel a également été en résidence à Paris, Berlin, Beijing, Marseille, et Perth. Son travail a été primé et soutenu par le Conseil des Arts et des Lettres du Québec et le Canada Council for the Arts.
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture.
Le premier élément qui m’a marqué dans le phénomène de l’expositon ça a été “Passion Privées” parce que je n’imaginais pas qu’il y avait des collectionneurs privés qui existaient.
A l’occasion de l’exposition ‘Old Dream’, une sélection de la collection Dorith et Serge Galuz, Mains d’Œuvres invite Dorith et Serge Galuz, Joseph Kouli, Michel Poitevin, Josée et Marc Gensollen et Piergiorgio Pepe pour une table-ronde.
Une émission enregistrée le 4 mars 2017 à Mains d’Œuvres et modérée par Ann Soutevenel
“Dieu et la stéréo” du Reverend Père Lincoln : “L’auteur a dit que Dieu tenait à l’œil nos chaînes stéréo. Je ne sais pas ce qu’il voulait dire par là, mais il a donné un grand coup sur le bureau avec son livre.”
Nous sommes avec Eléonore Saintagnan au moment du démontage de son exposition personnelle Dieu et la Stéréo à Mains d’Œuvres. Nous allons faire une visite, accompagnés de Julie Portier.
Il y a des bruits qui nous entourent, et par dessus nous allons parler.
Une émission préparée par Simon Nicaise, enregistrée le 23 juin 2014 à Mains d’Œuvres, Saint-Ouen. Remerciement à Ann Stouvenel.