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Volume
(1)
21.01.25
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Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.

Ces temps se voudront un espace de réflexion qui accompagnera les actions du corps pédagogique et scolaire sur cette fin qui approche, une absence qui se creuse, les luttes passées et un deuil à venir. Il s’agit de créer des moments de partage et de soutien au sein d’une communauté élargie, de faire l’expérience de fermeture.


Comment bien fermer une école d’art #1 : Le grand saut dans le vide
Sophie Coiffier en discussion avec Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale

Pour tenter d’y voir plus clair dans ce chaos qui n’en est pas un, voir plutôt d’y trouver les mots, nous nous tournons vers Sophie Coiffier pour démarrer ce cycle de rencontre. Dans son dernier roman, L’exercice du skieur, paru chez L’ire des marges en 2024, il est question des récits qui accompagnent nos paysages en transformation. La lecture de ces paysages disparaissants nous sert alors de métaphore puis de tremplin afin de considérer la transmutation du paysage des écoles d’art et de design territoriales.

En direct mardi 21 janvier à 19h sur *Duuu depuis l’ésad Valenciennes

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08.12.17
Quart d’heure américain #5 : Martin Chramosta & Martina-Sofie Wildberger
heiwata
11'23"
Pièce (71)
Pièce (71)
08.12.17
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Conversation Piece. Bob and Alice, 2017 (dialogue)
Martin Chramosta & Martina-Sofie Wildberger

A l’occasion de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, les artistes Martin Chramosta & Martina-Sofie Wildberger réalisent la performance Conversation Piece. Bob and Alice, 2017. Tous deux réinterprètent dans un dialogue improvisé, la dernière phrase générée par Bob et Alice, deux algorithmes crées à partir de Facebook : “I can everything else balls a ball to me zero 0”. D’autre combinaisons de cette phrase sont engendrées de façon graphique dans l’espace par les déambulation de performeurs portant chacun un mots sur un t-shirt.

*Martin Chramosta est né en 1982 à Zurich, Suisse. Il vit et travaille entre Bâle, Suisse et Vienne, Autriche. Détenteur d’un Master en beaux-arts de la Gestaltung und Kunst de Bâle, il a participé à plusieurs programmes de résidence dans des institutions telles que la Fonderie Darling (Montréal), la Cité des Arts (Paris) et Quartier21 (Vienne). Son travail a été montrée lors d’expositions et de festivals dédiés à la performance à Bâle, Vienne, Montréal, Dakar, Uppsala, Paris et Berlin.

*Martina-Sofie Wildberger est née en 1985 à Zurich, Suisse. Elle vit et travaille entre Genève et Zurich, Suisse. Elle a obtenu un Master of Fine Arts de la Haute école d’art et de design – Genève en 2011 ainsi qu’une maîtrise en histoire de l’art de l’Université de Genève en 2014. L’artiste a participé à des expositions au Centre culturel suisse (Paris), Kunsthalle de Mulhouse (France), Palais de l’Athénée (Genève), Centre d’art contemporain Genève, SALTS (Basel), Kunsthaus Baselland, Corner College et Haus Konstruktiv (Zurich).

QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres

Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)

Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.

Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.

Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture.

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