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12.05.25
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Duuu propose au printemps 2025 un programme axé autour des dispositifs sonores et situations “sans les yeux”. Les différents rendez-vous, ouverts au public et retransmis en direct sur Duuu Radio, proposent d’altérer les situations de réception et de transmission, d’assumer un rapport sensible à l’inconnu, et de questionner son environnement physique, sonore, visuel.

Écouter sans les yeux avec Violaine Lochu, un atelier ouvert au public et retransmis en direct sur *Duuu à 18:00 le lundi 12 mai 2025

📍 Gratuit sur inscription (https://www.helloasso.com/associations/duuu-radio) et en direct sur *Duuu

Dans la lignée des projets Système Berceuse, Signal Mouvement et Faire signe, l’artiste performeuse, visuelle et sonore Violaine Lochu poursuit sa recherche autour de la vibration vocale perçue autant auditivement que tactilement par cellui qui l’émet ou la reçoit.

Envisageant la voix comme outil de soin, le groupe sera invité à entrer en relation sans les yeux, par le chant et le geste. Voix contre voix, peau contre peau, les participant.es se mêleront les un.es aux autres pour ne former plus qu’un seul chœur.

Avec le soutien de la ville de Paris

Avec le soutien de la ville de Paris et en collaboration avec le Théâtre Paris-Villette
Enregistrement : Arthur Bécart

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12.12.17
Quart d’heure américain #7 : Kim Bradford & Joseph Perez
heiwata
09'39"
Pièce (73)
Pièce (73)
12.12.17
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Activation n°2 de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer deux par deux, chacun(e) tournant une roue), 1962.
Kim Bradford & Joseph Perez

Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, Kim Bradford et Joseph Perez présentent une interprétation de l’oeuvre de Robert Filliou, Danse-poème collectif, (à performer deux par deux, chacun(e) tournant une roue), 1962. Mêlant références à l’univers médiatique et au monde de l’art, les deux artistes proposent un précis d’utilisation de la pièce entre le concours et l’émission de télé-réalité.

* Kim Bradford est née en 1991. Elle vit et travaille à Paris. Artiste plasticienne, sa pratique associe installation, performance, sérigraphie et sculpture. Kim Bradford envisage le monde et les rapports humains comme des espaces de réflexion, d’interaction et des supports de création. Entremêlant l’art et la vie avec ironie et poésie, le jeu occupe une place primordiale dans sa pratique. Invitant le spectateur à prendre part à ses recherches, elle questionne son rôle et son pouvoir de décision. Diplômée avec les Félicitations du jury de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux arts de Paris en 2017, elle a notamment travaillé au sein des ateliers de Claude Closky et de Tania Bruguera et a étudié à la Cooper Union School of the Art à New York. Elle a participé à de nombreuses expositions collectives entre Lille, Paris, New-York et La Havane. En 2017 elle intègre le collectif de sérigraphes Atelier La Banane. À l’occasion de Quart d’heure américain, Kim Bradford invite Joseph Perez à collaborer avec elle.

QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres

Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)

Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.

Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.

Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture

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