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19.12.24
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Ñun (Nous) est un projet de coopération artistique entre l’association Free label (Tambacounda, Sénégal) et *Duuu Radio (Paris, France), qui propose aux artistes Bocar Niang, Théo Robine-Langlois et Eden Tinto Collins une résidence au Sénégal autour du projet du Musée Griot.tes du 16 au 31 décembre 2024.

Le Musée Griot.te est un projet dédié à la culture et au patrimoine culturel local, implanté à Tambacounda avec le collectif Free Label. Fondée par Bocar Niang, cette association vise à promouvoir la jeune création locale ; à renforcer la cohésion sociale à travers la valorisation de différentes disciplines artistiques, culturelles, patrimoniales ; et à participer à la formation artistique des jeunes et des acteurs culturels locaux. Le projet Ñun (Nous) entends favoriser la transmission et la structuration de nouvelles collaborations culturelles ainsi que la mise en réseau des équipes de Free label et de *Duuu Radio. Il s’agira également de participer à constituer ou de réfléchir aux moyens de constituer une archive vivante des récits traditionnels oraux sénégalais.

Cette résidence est organisée dans le cadre d’une convention avec l’Institut Français et la Ville de Paris. Elle donnera lieu à des événements publics, des enregistrements et des émissions à Dakar et Tambacounda, qui seront diffusés sur *Duuu Radio.

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05.12.17
Quart d’heure américain #2 : Kim Bradford & Joseph Perez
heiwata
07'15"
Pièce (68)
Pièce (68)
05.12.17
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Activation de l’oeuvre de Robert Filliou, Danse-poème collectif (à performer deux par deux, chacun(e) tournant une roue), 1962.
Kim Bradford et Joseph Perez

Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, Kim Bradford et Joseph Perez présentent une interprétation de l’oeuvre de Robert Filliou, Danse-poème collectif, (à performer deux par deux, chacun(e) tournant une roue), 1962. Mêlant slam et références à l’univers médiatique, les deux artistes proposent un précis d’utilisation de la pièce entre le tutoriel et l’apprentissage du langage poétique.

* Kim Bradford est née en 1991. Elle vit et travaille à Paris. Artiste plasticienne, sa pratique associe installation, performance, sérigraphie et sculpture. Kim Bradford envisage le monde et les rapports humains comme des espaces de réflexion, d’interaction et des supports de création. Entremêlant l’art et la vie avec ironie et poésie, le jeu occupe une place primordiale dans sa pratique. Invitant le spectateur à prendre part à ses recherches, elle questionne son rôle et son pouvoir de décision. Diplômée avec les Félicitations du jury de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux arts de Paris en 2017, elle a notamment travaillé au sein des ateliers de Claude Closky et de Tania Bruguera et a étudié à la Cooper Union School of the Art à New York. Elle a participé à de nombreuses expositions collectives entre Lille, Paris, New-York et La Havane. En 2017 elle intègre le collectif de sérigraphes Atelier La Banane. À l’occasion de Quart d’heure américain, Kim Bradford invite Joseph Perez à collaborer avec elle.

QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres

Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)

Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.

Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.

Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture

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