La matinale dédiée à l’actualité de la création contemporaine, tous les mercredis de 9:15 à 10:00 en direct sur *Duuu Radio.
Avec ce mois-ci : Justin Morin, Pascal Montfort et Julie Duval (accompagnée Juliette Bayi).
– Oh alleeeeeeeer ! Franchement ! Le niveau est très élevé
– Et maintenant, ce sera à vous à l’applaudimètre de désigner le gagnant !
– Qui sera le meilleur artiste ?
Activation n°2 de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer deux par deux, chacun(e) tournant une roue), 1962.
Kim Bradford & Joseph Perez
Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, Kim Bradford et Joseph Perez présentent une interprétation de l’oeuvre de Robert Filliou, Danse-poème collectif, (à performer deux par deux, chacun(e) tournant une roue), 1962. Mêlant références à l’univers médiatique et au monde de l’art, les deux artistes proposent un précis d’utilisation de la pièce entre le concours et l’émission de télé-réalité.
* Kim Bradford est née en 1991. Elle vit et travaille à Paris. Artiste plasticienne, sa pratique associe installation, performance, sérigraphie et sculpture. Kim Bradford envisage le monde et les rapports humains comme des espaces de réflexion, d’interaction et des supports de création. Entremêlant l’art et la vie avec ironie et poésie, le jeu occupe une place primordiale dans sa pratique. Invitant le spectateur à prendre part à ses recherches, elle questionne son rôle et son pouvoir de décision. Diplômée avec les Félicitations du jury de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux arts de Paris en 2017, elle a notamment travaillé au sein des ateliers de Claude Closky et de Tania Bruguera et a étudié à la Cooper Union School of the Art à New York. Elle a participé à de nombreuses expositions collectives entre Lille, Paris, New-York et La Havane. En 2017 elle intègre le collectif de sérigraphes Atelier La Banane. À l’occasion de Quart d’heure américain, Kim Bradford invite Joseph Perez à collaborer avec elle.
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture
Moi désespérée, et toi qui répond petu-être, peut-être, peut-être.
Concert-poème, 2017
Julien Gasc & France Besnier
Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, Julien Gasc & France Besnier reprennent des standards sentimentaux et désuets de la chanson. A partir de ces textes traduits en français, lus et chantés en changeant de rôle comme de place, ils réalisent une performance minimale et intime entre gravité pop et existentialisme futile.
*Julien Gasc est né en 1980 à Castres. Il vit à Paris. Co-fondateur d’Aquaserge, musicien solitaire bien entouré ou collaborant avec Stereolab, April March, Katerine, Burgalat, Forever Pavot et Dorian Pimpernel entre autres, Julien Gasc est l’auteur d’une musique pop française érudite, baroque et psychédélique. Il a notamment sortit deux LP « Cerf biche et faon » et « Kiss Me You Fool » chez Born Bad Records. À l’occasion de Quart d’heure américain, il invite France Besnier à collaborer avec lui.
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture
– You
– Have
– Balls
– I
– Have
– Balls
Conversation Piece. Bob and Alice, 2017 (dialogue)
Martin Chramosta & Martina-Sofie Wildberger
A l’occasion de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, les artistes Martin Chramosta & Martina-Sofie Wildberger réalisent la performance Conversation Piece. Bob and Alice, 2017. Tous deux réinterprètent dans un dialogue improvisé, la dernière phrase générée par Bob et Alice, deux algorithmes crées à partir de Facebook : “I can everything else balls a ball to me zero 0”. D’autre combinaisons de cette phrase sont engendrées de façon graphique dans l’espace par les déambulation de performeurs portant chacun un mots sur un t-shirt.
*Martin Chramosta est né en 1982 à Zurich, Suisse. Il vit et travaille entre Bâle, Suisse et Vienne, Autriche. Détenteur d’un Master en beaux-arts de la Gestaltung und Kunst de Bâle, il a participé à plusieurs programmes de résidence dans des institutions telles que la Fonderie Darling (Montréal), la Cité des Arts (Paris) et Quartier21 (Vienne). Son travail a été montrée lors d’expositions et de festivals dédiés à la performance à Bâle, Vienne, Montréal, Dakar, Uppsala, Paris et Berlin.
*Martina-Sofie Wildberger est née en 1985 à Zurich, Suisse. Elle vit et travaille entre Genève et Zurich, Suisse. Elle a obtenu un Master of Fine Arts de la Haute école d’art et de design – Genève en 2011 ainsi qu’une maîtrise en histoire de l’art de l’Université de Genève en 2014. L’artiste a participé à des expositions au Centre culturel suisse (Paris), Kunsthalle de Mulhouse (France), Palais de l’Athénée (Genève), Centre d’art contemporain Genève, SALTS (Basel), Kunsthaus Baselland, Corner College et Haus Konstruktiv (Zurich).
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture.
Ce matin j’ai vu une femme framboise se balader dans la rue. Elle dansait avec une grue. Le soleil souriait, les arbres se balançaient, leurs feuilles étaient velues.
Watching TV Lovers, 2017.
Performance pour deux voix avec orgue électrique et écho à bande.
Catherine Hershey et Yohanna My Nguyen composent et chantent ensemble, séparément et parfois, accompagnées d’un orgue électrique ou d’un piano. Elles vivent et travaillent entre Bruxelles et Paris.
A l’occasion de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, elles réalisent Watching TV Lovers, 2017, une performance pour deux voix avec orgue électrique et écho à bande oscillant entre musique pop, poésie contée et expérimentation sonore.
*Catherine Hershey est une chanteuse et compositrice franco-britannique qui vit et travaille entre Bruxelles et Paris.
*Yohanna My Nguyen est typographe et compositrice. Prenant pour appui le texte dans ses différentes existences, elle questionne les notions d’appropriation, de réappropriation et le potentiel politique du quotidien. Ses réalisations récentes prennent la forme d’une publication de textes autour du réalisateur Alain Cavalier, d’une série de compositions musicales à partir du travail d’Émile Cohl pour le Musée d’Orsay et d’une installation sonore avec application embarquée pour la bibliothèque de l’Université Paris 8. Elle enseigne la théorie et la pratique de la typographie à la Haute école des Arts du Rhin à Strasbourg depuis 2012 et intervient régulièrement à la Rietveld Academie à Amsterdam.
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture
La désuétude c’est chercher ses clefs et se rendre compte qu’on a plus de voiture.
Tout droit jusqu’au matin, 2017.
Texte de Jérémie Gaulin interprété par Bertrand Poncet.
Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, l’artiste-théoricien Jérémie Gaulin a écrit le texte Tout droit jusqu’au matin, 2017, interprétation libre et subjective des liens existants entre la notion de désuétude et la posture artistique de Robert Filliou. Ce texte, nourri de références littéraires et philosophiques, est interprété par l’acteur Bertrand Poncet au sein de l’exposition.
*Jérémie Gaulin est né en 1985 à Bordeaux. Il vit et travaille à Paris. En jouant des modes d’apparitions et de validations intellectuelles ou artistiques, son travail mêle recherches théoriques, commissariat, éditions de revues, installations et vidéos. Il commence ses études aux Beaux-arts de Bordeaux et les termine à la Head de Genève en 2013. S’en suit plusieurs projets comme la revue Pharmakon avec Lola Druilhe, revue de sociologie des religions et d’art, ou l’inverse; Chrématistique, laboratoire de recherche sur l’économie de l’œuvre, achevé par la donation des archives au CNEAI= et les ateliers populaires de Paris tentative de groupe pluridisciplinaire avec Jean-Baptiste Naudy ou encore plus récemment la revue Emergency. Il part ensuite voir ailleurs si sa langue se traduit : Londres, Bucarest, Bonrepaux, Tanger, Los Angeles, Mexico où il se trouve en résidence jusqu’en décembre 2017. Jérémie Gaulin est représenté par la Galerie Martine Aboucaya.
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture
– Perdu.
– Perdu !
– Bonjour ! Bienvenu.e.s à Mains d’Œuvres, autrement dit en anglais Hand Masterpiece.
Activation de l’oeuvre de Robert Filliou, Danse-poème collectif (à performer deux par deux, chacun(e) tournant une roue), 1962.
Kim Bradford et Joseph Perez
Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, Kim Bradford et Joseph Perez présentent une interprétation de l’oeuvre de Robert Filliou, Danse-poème collectif, (à performer deux par deux, chacun(e) tournant une roue), 1962. Mêlant slam et références à l’univers médiatique, les deux artistes proposent un précis d’utilisation de la pièce entre le tutoriel et l’apprentissage du langage poétique.
* Kim Bradford est née en 1991. Elle vit et travaille à Paris. Artiste plasticienne, sa pratique associe installation, performance, sérigraphie et sculpture. Kim Bradford envisage le monde et les rapports humains comme des espaces de réflexion, d’interaction et des supports de création. Entremêlant l’art et la vie avec ironie et poésie, le jeu occupe une place primordiale dans sa pratique. Invitant le spectateur à prendre part à ses recherches, elle questionne son rôle et son pouvoir de décision. Diplômée avec les Félicitations du jury de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux arts de Paris en 2017, elle a notamment travaillé au sein des ateliers de Claude Closky et de Tania Bruguera et a étudié à la Cooper Union School of the Art à New York. Elle a participé à de nombreuses expositions collectives entre Lille, Paris, New-York et La Havane. En 2017 elle intègre le collectif de sérigraphes Atelier La Banane. À l’occasion de Quart d’heure américain, Kim Bradford invite Joseph Perez à collaborer avec elle.
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture
– C’est bon, tout le monde est devant un tambour ?
– Ouaaaaais
– Non Balthazar, de l’autre côté.
The Instrumentalisation of Art, 2017
Performance par les élèves de la MOMO de Mains d’Oeuvres sur une table de musique, menée par Thibault Saladin.
Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, l’artiste Joshua Schwebel a conçu The Instrumentalisation of Art. Durant cette performance, les élèves de la MOMO (école d’éveil musical de Mains d’Oeuvres) sont invités à “habiter” l’exposition durant toute sa durée en interprétant diverses partitions de Fluxus sur une table de musique, avec la bienveillance de leur professeur Thibault Saladin.
*Joshua Schwebel est né à Toronto, Canada. Vit et travail à Berlin, Allemagne.
Joshua Schwebel est un artiste conceptuel canadien. Il est diplômé de deux Masters dans les universités canadiennes NS- CAD University (2008) et Concordia University (2006). Son travail, avant tout basé sur la Critique Institutionnelle, a été exposé dans de nombreuses expositions internationales. Schwebel a également été en résidence à Paris, Berlin, Beijing, Marseille, et Perth. Son travail a été primé et soutenu par le Conseil des Arts et des Lettres du Québec et le Canada Council for the Arts.
QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres
Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)
Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.
Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.
Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture.