Émission en direct avec les étudiant·es de l’Ensba Lyon
Nos proxénètes préférés ça reste nos animaux domestiques, on a des proxénètes de croquettes.
Retour sur une série de rencontres au sujet du travail du sexe, des luttes passées et présentes et de la pensée féministes pute.
Épisode #3 - L’occupation de Saint-Nizier, récits à plusieurs voix : Blanche Blouin, artiste et designeuse, diplômée de l’ENSBA Lyon, invite Cybèle Lespérance, tds, militante et chercheuse et le Père Christian Delorme qui était présent à Saint-Nizier pendant l’occupation de 1975.
“Ça commence souvent par des problèmes”, exposition et programme imaginés par Julie Portier et Camille Richert pour la Salle de bains (Lyon) du 6 mars au 26 avril 2025, prend pour point de départ le film “Les Prostituées de Lyon parlent” réalisé par Carole Roussopoulos à Lyon en juin 1975 avec des travailleuses du sexe occupant une église pour faire valoir leurs droits. L’exposition est une rétrospective qui tient sur une étagère de garage, les 19 autres mètres carrés de la Salle de bains restant disponibles pour accueillir des rencontres à l’invitation de chercheureuses, artistes et personnes concernées.
Ça commence par un chèque de licenciement échangé contre une caméra Sony Portapak qui contient la promesse d’une vie « sans patron ». C’est ainsi que Carole Roussopoulos racontait le début de cette aventure derrière la caméra pour documenter les engagements individuels et les luttes collectives portées par l’espoir d’un monde plus juste. Dans l’ébullition des années 1970, elle s’aperçoit immédiatement des possibilités offertes par ce petit matériel pour enregistrer celles et ceux qu’on ne laisse pas parler en public ou que l’on n’entend pas, en particulier les femmes. Avec elle, la vidéo devient un outil de militantisme féministe qui, attelé au collectif, lui permet une autonomie de production et de diffusion.
Extraits de Carole Roussopoulos, Les prostituées de Lyon parlent, 1975 : Tous droits réservés, Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
Chants de Saint-Nizier par la chorale de l’ENSBA Lyon
Montage : Maxime Naudet / La Salle de bains
Mixage : Morgane Charles / *Duuu
On a des galeries, on a des cafés, on a des camions…
Retour sur une série de rencontres au sujet du travail du sexe, des luttes passées et présentes et de la pensée féministes pute.
Épisode #2 - Les TDS décoloniales parlent : rencontre avec Lola Lévy, membre fondatrice du groupe les TDS contre Les Guerres.
“Ça commence souvent par des problèmes”, exposition et programme imaginés par Julie Portier et Camille Richert pour la Salle de bains (Lyon) du 6 mars au 26 avril 2025, prend pour point de départ le film “Les Prostituées de Lyon parlent” réalisé par Carole Roussopoulos à Lyon en juin 1975 avec des travailleuses du sexe occupant une église pour faire valoir leurs droits. L’exposition est une rétrospective qui tient sur une étagère de garage, les 19 autres mètres carrés de la Salle de bains restant disponibles pour accueillir des rencontres à l’invitation de chercheureuses, artistes et personnes concernées.
Ça commence par un chèque de licenciement échangé contre une caméra Sony Portapak qui contient la promesse d’une vie « sans patron ». C’est ainsi que Carole Roussopoulos racontait le début de cette aventure derrière la caméra pour documenter les engagements individuels et les luttes collectives portées par l’espoir d’un monde plus juste. Dans l’ébullition des années 1970, elle s’aperçoit immédiatement des possibilités offertes par ce petit matériel pour enregistrer celles et ceux qu’on ne laisse pas parler en public ou que l’on n’entend pas, en particulier les femmes. Avec elle, la vidéo devient un outil de militantisme féministe qui, attelé au collectif, lui permet une autonomie de production et de diffusion.
Extraits de Carole Roussopoulos, Les prostituées de Lyon parlent, 1975 : Tous droits réservés, Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
Chants de Saint-Nizier par la chorale de l’ENSBA Lyon
Montage : Maxime Naudet / La Salle de bains
Mixage : Morgane Charles / *Duuu
Ils rigolent entre copains, et là il y’en a un qui dit “Mais moi j’y étais, à la manif des putes”
Retour sur une série de rencontres au sujet du travail du sexe, des luttes passées et présentes et de la pensée féministes pute.
Épisode #1 - Les luttes des TDS dans les années 1970 : conférence de Lilian Mathieu, directeur de recherche au CNRS (Centre Max-Weber, ENS de Lyon), spécialiste de l’étude de la prostitution et des mouvements sociaux.
“Ça commence souvent par des problèmes”, exposition et programme imaginés par Julie Portier et Camille Richert pour la Salle de bains (Lyon) du 6 mars au 26 avril 2025, prend pour point de départ le film “Les Prostituées de Lyon parlent” réalisé par Carole Roussopoulos à Lyon en juin 1975 avec des travailleuses du sexe occupant une église pour faire valoir leurs droits. L’exposition est une rétrospective qui tient sur une étagère de garage, les 19 autres mètres carrés de la Salle de bains restant disponibles pour accueillir des rencontres à l’invitation de chercheureuses, artistes et personnes concernées.
Ça commence par un chèque de licenciement échangé contre une caméra Sony Portapak qui contient la promesse d’une vie « sans patron ». C’est ainsi que Carole Roussopoulos racontait le début de cette aventure derrière la caméra pour documenter les engagements individuels et les luttes collectives portées par l’espoir d’un monde plus juste. Dans l’ébullition des années 1970, elle s’aperçoit immédiatement des possibilités offertes par ce petit matériel pour enregistrer celles et ceux qu’on ne laisse pas parler en public ou que l’on n’entend pas, en particulier les femmes. Avec elle, la vidéo devient un outil de militantisme féministe qui, attelé au collectif, lui permet une autonomie de production et de diffusion.
Extraits de Carole Roussopoulos, Les prostituées de Lyon parlent, 1975 : Tous droits réservés, Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
Chants de Saint-Nizier par la chorale de l’ENSBA Lyon
Montage : Maxime Naudet / La Salle de bains
Mixage : Morgane Charles / *Duuu
C’était huit jours après mon arrivée à Paris, en 84, quand j’ai quitté New-York City.
*Duuu radio a récemment acquis un graveur de vinyles afin de réaliser des micro-éditions de projets sonores. Cet outil permet de graver des disques vinyles à l’unité, à vitesse réelle.
À l’occasion de ses 10 ans, *Duuu propose l’édition de 10 vinyles de 10 exemplaires chacun, issus des archives de la radio, ainsi qu’un projet inédit réalisé à l’occasion de l’exposition.
Le sixième vinyle de cette série présente une conversation entre Jean Dupuy et Sophie Lapalu, Théo Robine-Langlois et Simon Nicaise, lors de l’exposition RUN RUN RUN à la Villa Arson à Nice, diffusée sur *Duuu pour la première fois en 2016.
Une émission préparée par l’équipe de *Duuu (Loraine Baud, Simon Nicaise, Simon Ripoll-Hurier) et ses correspondants Sophie Lapalu, Julie Portier et Théo Robine Langlois, et réalisée par Sophie Lapalu, dans le cadre de l’exposition RUN RUN RUN à la Villa Arson de Nice, organisée à l’occasion des vingt ans de La Station.
Considérez-le comme une cabane dans les arbres sophistiquée mais avec plus de peinture et moins de collations.
À l’occasion des 10 ans de la Galerie Paradise, Sophie Lapalu, Cécile Paris, *Duuu Radio et les étudiant·es de l’école d’art des Beaux Arts de Nantes Saint Nazaire ont organisé un plateau radio live et public autour de l’histoire des lieux nantais fondés par des artistes.
Étaient présent·es :
Askip
Bonus (représenté par Laurent Moriceau)
MEAN (représenté par Carole Rivalin)
Galerie Paradise (Béatrice Dacher et Michel Gerson)
Galerie RDV (représentée par Jean-François Courilat)
Collectif Toux (représenté par Gauthier Andrieux, Elise Drevet, Pauline Rouet)
Prise de son : Valentin Fleury
Montage et mixage : Valentin Fleury et Mathis Ouidir
Si tu veux c’est surprendre la police, la mettre en difficulté à travers le fait que tu ne fais rien d’autre que danser devant elle ou lui offrir des biscuits plutôt que faire des choses qui renvoient à l’ironie, au foutage de gueule.
Formes d’arts & de militantismes #3 : Rachele Borghi
Une série proposée par Sophie Lapalu
En 2018, j’invite la géographe sociale et porn activiste Rachele Borghi à venir faire une conférence à l’Ecole d’art de Clermont Ferrand sur la façon dont sa recherche sur le porn activisme l’a transformée. A la fin de ce qui s’apparente à une conférence-performance, elle me demande de lui faire un retour, nous, artistes enseignant-es mais aussi étudiant-es car, me dit-elle, nous avons les outils artistiques qui lui manquent.
Me reste depuis une question en suspens : que dois-je répondre à Rachele ? Que peut l’art pour les formes d’activisme ? Impossible pour moi de lui faire un retour avec mon regard déformé à l’art blanc occidental hétéro. J’ai laissé la place aux étudiant-es. Ce dont j’étais sûre cependant, c’est qu’elle avait usé de formats qui me semblaient être également ceux utilisés par les artistes, bien qu’elle ne se réclame pas artiste, mais militante et enseignante. Ce qui est certain également, c’est que sa conférence a marqué durablement toute personne qui y a assisté. La puissance de son discours, allié à un travail de déconstruction de la parole dominante, avait su atteindre son but.
J’ai donc décidé de me tourner vers les artistes et de leur poser ces questions : existe-t-il un espace où les formes d’art et de militantismes peuvent se contaminer ? Où l’art parfois qualifié de social échappe aux éternels critiques d’une pauvreté esthétique et où l’art engagé politiquement ne se voit pas reproché d’être inefficace ? Un espace où l’on ne demande pas aux artistes de choisir entre une position ou l’autre ?
Une émission réalisée par Sophie Lapalu
Mêler à la fois propositions politiques ou analyses, et aussi bah vloging, conseils beauté, développement perso, et toute cette alchimie faut la prendre en compte.
Formes d’arts & de militantismes #2 : Seumboy Vrainom :€
Une série proposée par Sophie Lapalu
En 2018, j’invite la géographe sociale et porn activiste Rachele Borghi à venir faire une conférence à l’Ecole d’art de Clermont Ferrand sur la façon dont sa recherche sur le porn activisme l’a transformée. A la fin de ce qui s’apparente à une conférence-performance, elle me demande de lui faire un retour, nous, artistes enseignant-es mais aussi étudiant-es car, me dit-elle, nous avons les outils artistiques qui lui manquent.
Me reste depuis une question en suspens : que dois-je répondre à Rachele ? Que peut l’art pour les formes d’activisme ? Impossible pour moi de lui faire un retour avec mon regard déformé à l’art blanc occidental hétéro. J’ai laissé la place aux étudiant-es. Ce dont j’étais sûre cependant, c’est qu’elle avait usé de formats qui me semblaient être également ceux utilisés par les artistes, bien qu’elle ne se réclame pas artiste, mais militante et enseignante. Ce qui est certain également, c’est que sa conférence a marqué durablement toute personne qui y a assisté. La puissance de son discours, allié à un travail de déconstruction de la parole dominante, avait su atteindre son but.
J’ai donc décidé de me tourner vers les artistes et de leur poser ces questions : existe-t-il un espace où les formes d’art et de militantismes peuvent se contaminer ? Où l’art parfois qualifié de social échappe aux éternels critiques d’une pauvreté esthétique et où l’art engagé politiquement ne se voit pas reproché d’être inefficace ? Un espace où l’on ne demande pas aux artistes de choisir entre une position ou l’autre ?
Une émission réalisée par Sophie Lapalu
Un trou dans le parquet qui était dû au fait qu’un directeur pendant 23 ans avait sa chaise au même endroit, et les roues de sa chaise ont usé le sol. C’est ce que j’appelle le trou du pouvoir.
Formes d’arts & de militantismes #1 : Ghita Skali
Premier épisode d’une nouvelle série proposée par Sophie Lapalu
En 2018, j’invite la géographe sociale et porn activiste Rachele Borghi à venir faire une conférence à l’Ecole d’art de Clermont Ferrand sur la façon dont sa recherche sur le porn activisme l’a transformée. A la fin de ce qui s’apparente à une conférence-performance, elle me demande de lui faire un retour, nous, artistes enseignant-es mais aussi étudiant-es car, me dit-elle, nous avons les outils artistiques qui lui manquent.
Me reste depuis une question en suspens : que dois-je répondre à Rachele ? Que peut l’art pour les formes d’activisme ? Impossible pour moi de lui faire un retour avec mon regard déformé à l’art blanc occidental hétéro. J’ai laissé la place aux étudiant-es. Ce dont j’étais sûre cependant, c’est qu’elle avait usé de formats qui me semblaient être également ceux utilisés par les artistes, bien qu’elle ne se réclame pas artiste, mais militante et enseignante. Ce qui est certain également, c’est que sa conférence a marqué durablement toute personne qui y a assisté. La puissance de son discours, allié à un travail de déconstruction de la parole dominante, avait su atteindre son but.
J’ai donc décidé de me tourner vers les artistes et de leur poser ces questions : existe-t-il un espace où les formes d’art et de militantismes peuvent se contaminer ? Où l’art parfois qualifié de social échappe aux éternels critiques d’une pauvreté esthétique et où l’art engagé politiquement ne se voit pas reproché d’être inefficace ? Un espace où l’on ne demande pas aux artistes de choisir entre une position ou l’autre ?
Une émission réalisée par Sophie Lapalu
On engage de sa personne en tant que chercheuse et c’est quelque chose qui ne peut pas disparaître.
La recherche action désigne généralement une méthodologie alliant théorie et mise en pratique en vue de chercher à modifier la réalité tout en produisant des connaissances liées à ces transformations. Elle implique, dans le processus de construction de la recherche, autant les chercheur·es que les acteur·trices participant à l’expérimentation. Il s’agit alors d’éprouver une situation plutôt que de l’observer, de faire de l’intervention la possibilité d’une compréhension. Si ce terme est habituellement désigné pour décrire le travail d’acteur.trice.s sociaux, il apparaît que la pratique de certains artistes s’y apparente. Je suis allée en interroger quelqu’un·es.
Art & recherche-action #4 : Madeleine Planeix-Crocker
Une émission proposée par Sophie Lapalu avec des interventions de Charlotte, participante de l’atelier théâtre et écriture à Women Safe.
Ce sont des objets qui n’ont pas la vocation à être une oeuvre d’art.
La recherche action désigne généralement une méthodologie alliant théorie et mise en pratique en vue de chercher à modifier la réalité tout en produisant des connaissances liées à ces transformations. Elle implique, dans le processus de construction de la recherche, autant les chercheur·es que les acteur·trices participant à l’expérimentation. Il s’agit alors d’éprouver une situation plutôt que de l’observer, de faire de l’intervention la possibilité d’une compréhension. Si ce terme est habituellement désigné pour décrire le travail d’acteur.trice.s sociaux, il apparaît que la pratique de certains artistes s’y apparente. Je suis allée en interroger quelqu’un·es.
Musique :
- Faeries, Tarek X, 2020
- Soleil Enculé, Arlt, 2020
Art & recherche-action #3 : Pierre Baumann
Une émission réalisée par Sophie Lapalu.
Une fois qu’on a trouvé le bateau, on l’a fait décontaminer pendant deux ans.
La recherche action désigne généralement une méthodologie alliant théorie et mise en pratique en vue de chercher à modifier la réalité tout en produisant des connaissances liées à ces transformations. Elle implique, dans le processus de construction de la recherche, autant les chercheur·es que les acteur·trices participant à l’expérimentation. Il s’agit alors d’éprouver une situation plutôt que de l’observer, de faire de l’intervention la possibilité d’une compréhension. Si ce terme est habituellement désigné pour décrire le travail d’acteur.trice.s sociaux, il apparaît que la pratique de certains artistes s’y apparente. Je suis allée en interroger quelqu’un·es.
Musique :
- Faeries, Tarek X, 2020
- Thats Alright (mama), Elvis Presley, 1954
Art & recherche-action #2 : Maxime Berthou
Une émission réalisée par Sophie Lapalu
Le pain n’est pas qu’une pâte façonnée par le boulanger.
La recherche action désigne généralement une méthodologie alliant théorie et mise en pratique en vue de chercher à modifier la réalité tout en produisant des connaissances liées à ces transformations. Elle implique, dans le processus de construction de la recherche, autant les chercheur·es que les acteur·trices participant à l’expérimentation. Il s’agit alors d’éprouver une situation plutôt que de l’observer, de faire de l’intervention la possibilité d’une compréhension. Si ce terme est habituellement désigné pour décrire le travail d’acteur.trice.s sociaux, il apparaît que la pratique de certains artistes s’y apparente. Je suis allée en interroger quelqu’un·es.
Musique :
- Le goût du pain, Natacha Atlas, 2001
- Pain Noir, Pain Noir, 2014
Art & recherche-action #1 : Marie Preston
1er juin 2019, Greylight Project, Buxelles
Une émission réalisée par Sophie Lapalu
- On a trouvé le sable, la plage est devenue un lieu… échappatoire.
- Durant plusieurs jours, en fonction des marées, nous nous sommes entraînées à sculpter dans le sable des formes animales chimériques de plus en plus grosses.
Ces expositions sont constituées de récits d’œuvres qui s’incarnent rarement dans un objet ; si celui-ci existe, il ne représente que la partie émergée de l’iceberg. Le récit au contraire permet de deviner la profondeur de l’œuvre, d’appréhender son étendue processuelle.
- 00’00 : Ice Cream Men, Jonathan Richman & The Modern Lovers (1977)
- 01’28 : à propos d’Eis Dolomiti, Marc Buchy (2019)
- 13’20 : Bycicleta (2019)
- 14’32 : à propos du torchis, Aurélie Ferruel et Florentine Guédon (2019)
- 26’20 : chant traditionnel roumain lié à la période de la fauche
- 27’20 : à propos de Mesure du paysage, Eric Giraudet de Boudemange (2015)
- 34’56 : Tomboy, Princesse Nokia (2017)
- 35’12 : à propos de Equinoxe moins deux minutes, Pauline Delwaulle (2015, réalisé avec et Sébastien Cabour)
- 57’06 : à propos des coupes de cheveux, San Keller
- 1’11’43 : New Haircut, Pavement (1994)
Une émission proposée par Sophie Lapalu.
C’est Allan Kaprow qui affirmait ça en 1976. D’après lui, le cadre a le pouvoir de transformer une vache en musicien du moment que celle-ci se trouve dans une salle de concert.
« Setu » signifie “voici, voilà” en breton. « Setu » ouvre et ponctue une action, et par là, met en valeur le moment présent de la représentation. Depuis septembre 2016, le festival Setu réunit public et artistes pendant deux jours, dans une ferme située à Elliant dans le Finistère sud. Setu est un espace de diffusion qui rassemble différentes formes live, ouvertes et transdisciplinaires (musique, danse, récits, gestes, peintures, conversations, etc…), et qui cherche à favoriser l’apparition de nouveaux langages.
Durant le festival, Sophie Lapalu est allée à la rencontre de 8 des 10 artistes presenté.e.s cette année.
EPISODES:
Setu conté (27’41)
Katerina Andreou (20’42)
Estel Fonseca (28’)
Elise Carron (24’09)
Considered to be allies (23’19)
Charlène Darling (25’57)
Blaise Parmentier (37’47)
Anaïs Touchot (23’12)
Valentine Traverse (25’46)
SETU une proposition de Sophie Lapalu dans le cadre de Setu (festival de performances) du 31.08 au 01.09.2019
C’est toujours possible, mais bon deux semaines.
[EMBED] est une proposition faite à des artistes d’embarquer une œuvre à bord d’un voilier de 7,60m, le Kassumay. Les artistes définissent les modes d’activation et d’existence des œuvres en fonction de toutes les possibilités offertes par un tel contexte.
Du 14 juillet au 21 août 2019, Fabrice Gallis et Sophie Lapalu naviguent de Cherbourg à St Nazaire, allant à la rencontre d’un public portuaire. Le périple est ponctué de rendez-vous avec des artistes présents sur le territoire. A cause des aléas de la navigation, ces rendez-vous peuvent être manqués…
7ème rendez-vous, et 3ème rendez-vous manqué, avec et sans Julien Discrit.
Une émission proposée par Sophie Lapalu et Fabrice Gallis, enregistré le 15 août 2019 à 8h à La Torche - en route pour Groix.
C’est par où qu’on va ?
[EMBED] est une proposition faite à des artistes d’embarquer une œuvre à bord d’un voilier de 7,60m, le Kassumay. Les artistes définissent les modes d’activation et d’existence des œuvres en fonction de toutes les possibilités offertes par un tel contexte.
Du 14 juillet au 21 août 2019, Fabrice Gallis et Sophie Lapalu naviguent de Cherbourg à St Nazaire, allant à la rencontre d’un public portuaire. Le périple est ponctué de rendez-vous avec des artistes présents sur le territoire. A cause des aléas de la navigation, ces rendez-vous peuvent être manqués…
6ème rendez-vous, et 2ème rendez-vous manqué avec et sans Yoan Sorin.
Une émission proposée par Sophie Lapalu et Fabrice Gallis, enregistré le 9 août 2019 à 12h à Vienne - Douarnenez.
– C’est bien que ce soit du sable.
– Ouais.
[EMBED] est une proposition faite à des artistes d’embarquer une œuvre à bord d’un voilier de 7,60m, le Kassumay. Les artistes définissent les modes d’activation et d’existence des œuvres en fonction de toutes les possibilités offertes par un tel contexte.
Du 14 juillet au 21 août 2019, Fabrice Gallis et Sophie Lapalu naviguent de Cherbourg à St Nazaire, allant à la rencontre d’un public portuaire. Le périple est ponctué de rendez-vous avec des artistes présents sur le territoire. A cause des aléas de la navigation, ces rendez-vous peuvent être manqués…
5ème rendez-vous, avec Donovan Lecouadou.
Une émission proposée par Sophie Lapalu et Fabrice Gallis, enregistré le 30 juillet 2019 à 23h à Ouessant - L’Aber Wrac’h.
Avec et sans Julien Crépieux.
[EMBED] est une proposition faite à des artistes d’embarquer une œuvre à bord d’un voilier de 7,60m, le Kassumay. Les artistes définissent les modes d’activation et d’existence des œuvres en fonction de toutes les possibilités offertes par un tel contexte.
Du 14 juillet au 21 août 2019, Fabrice Gallis et Sophie Lapalu naviguent de Cherbourg à St Nazaire, allant à la rencontre d’un public portuaire. Le périple est ponctué de rendez-vous avec des artistes présents sur le territoire. A cause des aléas de la navigation, ces rendez-vous peuvent être manqués…
4ème rendez-vous, et 1er rendez-vous manqué, avec et sans Julien Crépieux.
Une émission proposée par Sophie Lapalu et Fabrice Gallis, enregistré le 30 juillet 2019 à 19h à Ouessant - L’Aber Wrac’h.
– Vous changez tout les combien ?
– Là ça fait deux jours qu’on l’a pas changé.
[EMBED] est une proposition faite à des artistes d’embarquer une œuvre à bord d’un voilier de 7,60m, le Kassumay. Les artistes définissent les modes d’activation et d’existence des œuvres en fonction de toutes les possibilités offertes par un tel contexte.
Du 14 juillet au 21 août 2019, Fabrice Gallis et Sophie Lapalu naviguent de Cherbourg à St Nazaire, allant à la rencontre d’un public portuaire. Le périple est ponctué de rendez-vous avec des artistes présents sur le territoire. A cause des aléas de la navigation, ces rendez-vous peuvent être manqués…
3ème rendez-vous avec Eva Taulois.
Une émission proposée par Sophie Lapalu et Fabrice Gallis, enregistré le vendredi 27 juillet 2019 à 11h30, Plage de la grève blanche, Trégastel.
C’est que des noms de femmes en même temps.
[EMBED] est une proposition faite à des artistes d’embarquer une œuvre à bord d’un voilier de 7,60m, le Kassumay. Les artistes définissent les modes d’activation et d’existence des œuvres en fonction de toutes les possibilités offertes par un tel contexte.
Du 14 juillet au 21 août 2019, Fabrice Gallis et Sophie Lapalu naviguent de Cherbourg à St Nazaire, allant à la rencontre d’un public portuaire. Le périple est ponctué de rendez-vous avec des artistes présents sur le territoire. A cause des aléas de la navigation, ces rendez-vous peuvent être manqués…
2ème rendez-vous avec Marcel Dinahet.
Une émission proposée par Sophie Lapalu et Fabrice Gallis, enregistré le Vendredi 19 juillet 2019 à 18h30 à St-Malo.