La matinale dédiée à l’actualité de la création contemporaine, tous les mercredis de 9:15 à 10:00 en direct sur *Duuu Radio.
Avec ce mois-ci : Justin Morin, Pascal Montfort et Julie Duval (accompagnée Juliette Bayi).
Si tu veux c’est surprendre la police, la mettre en difficulté à travers le fait que tu ne fais rien d’autre que danser devant elle ou lui offrir des biscuits plutôt que faire des choses qui renvoient à l’ironie, au foutage de gueule.
Formes d’arts & de militantismes #3 : Rachele Borghi
Une série proposée par Sophie Lapalu
En 2018, j’invite la géographe sociale et porn activiste Rachele Borghi à venir faire une conférence à l’Ecole d’art de Clermont Ferrand sur la façon dont sa recherche sur le porn activisme l’a transformée. A la fin de ce qui s’apparente à une conférence-performance, elle me demande de lui faire un retour, nous, artistes enseignant-es mais aussi étudiant-es car, me dit-elle, nous avons les outils artistiques qui lui manquent.
Me reste depuis une question en suspens : que dois-je répondre à Rachele ? Que peut l’art pour les formes d’activisme ? Impossible pour moi de lui faire un retour avec mon regard déformé à l’art blanc occidental hétéro. J’ai laissé la place aux étudiant-es. Ce dont j’étais sûre cependant, c’est qu’elle avait usé de formats qui me semblaient être également ceux utilisés par les artistes, bien qu’elle ne se réclame pas artiste, mais militante et enseignante. Ce qui est certain également, c’est que sa conférence a marqué durablement toute personne qui y a assisté. La puissance de son discours, allié à un travail de déconstruction de la parole dominante, avait su atteindre son but.
J’ai donc décidé de me tourner vers les artistes et de leur poser ces questions : existe-t-il un espace où les formes d’art et de militantismes peuvent se contaminer ? Où l’art parfois qualifié de social échappe aux éternels critiques d’une pauvreté esthétique et où l’art engagé politiquement ne se voit pas reproché d’être inefficace ? Un espace où l’on ne demande pas aux artistes de choisir entre une position ou l’autre ?
Une émission réalisée par Sophie Lapalu
Mêler à la fois propositions politiques ou analyses, et aussi bah vloging, conseils beauté, développement perso, et toute cette alchimie faut la prendre en compte.
Formes d’arts & de militantismes #2 : Seumboy Vrainom :€
Une série proposée par Sophie Lapalu
En 2018, j’invite la géographe sociale et porn activiste Rachele Borghi à venir faire une conférence à l’Ecole d’art de Clermont Ferrand sur la façon dont sa recherche sur le porn activisme l’a transformée. A la fin de ce qui s’apparente à une conférence-performance, elle me demande de lui faire un retour, nous, artistes enseignant-es mais aussi étudiant-es car, me dit-elle, nous avons les outils artistiques qui lui manquent.
Me reste depuis une question en suspens : que dois-je répondre à Rachele ? Que peut l’art pour les formes d’activisme ? Impossible pour moi de lui faire un retour avec mon regard déformé à l’art blanc occidental hétéro. J’ai laissé la place aux étudiant-es. Ce dont j’étais sûre cependant, c’est qu’elle avait usé de formats qui me semblaient être également ceux utilisés par les artistes, bien qu’elle ne se réclame pas artiste, mais militante et enseignante. Ce qui est certain également, c’est que sa conférence a marqué durablement toute personne qui y a assisté. La puissance de son discours, allié à un travail de déconstruction de la parole dominante, avait su atteindre son but.
J’ai donc décidé de me tourner vers les artistes et de leur poser ces questions : existe-t-il un espace où les formes d’art et de militantismes peuvent se contaminer ? Où l’art parfois qualifié de social échappe aux éternels critiques d’une pauvreté esthétique et où l’art engagé politiquement ne se voit pas reproché d’être inefficace ? Un espace où l’on ne demande pas aux artistes de choisir entre une position ou l’autre ?
Une émission réalisée par Sophie Lapalu
Un trou dans le parquet qui était dû au fait qu’un directeur pendant 23 ans avait sa chaise au même endroit, et les roues de sa chaise ont usé le sol. C’est ce que j’appelle le trou du pouvoir.
Formes d’arts & de militantismes #1 : Ghita Skali
Premier épisode d’une nouvelle série proposée par Sophie Lapalu
En 2018, j’invite la géographe sociale et porn activiste Rachele Borghi à venir faire une conférence à l’Ecole d’art de Clermont Ferrand sur la façon dont sa recherche sur le porn activisme l’a transformée. A la fin de ce qui s’apparente à une conférence-performance, elle me demande de lui faire un retour, nous, artistes enseignant-es mais aussi étudiant-es car, me dit-elle, nous avons les outils artistiques qui lui manquent.
Me reste depuis une question en suspens : que dois-je répondre à Rachele ? Que peut l’art pour les formes d’activisme ? Impossible pour moi de lui faire un retour avec mon regard déformé à l’art blanc occidental hétéro. J’ai laissé la place aux étudiant-es. Ce dont j’étais sûre cependant, c’est qu’elle avait usé de formats qui me semblaient être également ceux utilisés par les artistes, bien qu’elle ne se réclame pas artiste, mais militante et enseignante. Ce qui est certain également, c’est que sa conférence a marqué durablement toute personne qui y a assisté. La puissance de son discours, allié à un travail de déconstruction de la parole dominante, avait su atteindre son but.
J’ai donc décidé de me tourner vers les artistes et de leur poser ces questions : existe-t-il un espace où les formes d’art et de militantismes peuvent se contaminer ? Où l’art parfois qualifié de social échappe aux éternels critiques d’une pauvreté esthétique et où l’art engagé politiquement ne se voit pas reproché d’être inefficace ? Un espace où l’on ne demande pas aux artistes de choisir entre une position ou l’autre ?
Une émission réalisée par Sophie Lapalu