La matinale dédiée à l’actualité de la création contemporaine, tous les mercredis de 9:15 à 10:00 en direct sur *Duuu Radio.
Avec ce mois-ci : Justin Morin, Pascal Montfort et Julie Duval (accompagnée Juliette Bayi).
Faire avec ce qu’on a chaque jour c’est vraiment une manière de vivre, en tout cas pour Jony. Le fait de mettre son réchaud devant son bus, et puis de faire à manger, c’est quelque chose qu’il conçoit comme un moment de sa pratique.
Elles sont seules contre tous, ils fabriquent du pain, elles remuent l’espace, elle raconte des histoires, il chante à genoux. Telles sont les invité·e·s de notre soirée au CAN et forment une communauté temporaire affectant l’espace de nouveaux récits. Ces derniers permettent la rescénarisation du spectaculaire, la révolution par le levain, la rencontre des corps et des objets, la multiplicité des subjectivités et des gargarismes de mélancolie.
Michèle Graf & Selina Grüter, Antoine Guay & Jony Valado, Sonia Kacem – Bea McMahon, Sophie Jung, Dany Digler sont nos invité·e·s et le temps de cette première nuit de décembre, les spectres des émissions de télévision italiennes deviendront tartines, les matériaux, des supports chorégraphiques et les tropismes, des forces obscures et inconscientes que nous danserons.
Partie 7 - Carte Blanche Madeleine Amsler & Laurence Wagner : conversation / Antoine Guay et Jony Valado
(21:00)
Partie 8 - Lecture-performance / Sophie Jung
(13:24)
Partie 9 - live @ CAN : TRASH MANTRA (Sacred Hood Records / Projet solo de Dany Digler) Cold wave psyché tropicale.
(21:13)
Une émission réalisée par Massimiliano Baldassarri dans le cadre de l’exposition Sympathie / CAN, Centre d’art Neuchâtel
Exposition d’ouverture de la nouvelle équipe du CAN, Centre d’art Neuchâtel.
Enregistré le 1 décembre 2018
On cherche des postures, des sons, des gestes percussifs de frotté ou de touché, mais qui évidemment racontent des manières d’être ensemble, qui racontent des façons d’être les uns envers les autres, comme si on se racontait des histoires sans mots.
Partie 4 – conversation / A S Henchoz (IN DIAGONAL)
21’52
avec la participation des performeuses :
Anne Briset, Zoé Cornélius, Claire Dessimoz, Zoé Gaillard, Anne Sylvie Henchoz, Jeanne Laroutourou, Cathy Sarr
Don’t Forget to Touch Me est un livre d’artiste conçu par Anne Sylvie Henchoz édité par les éditions TSAR, Vevey et désigné par Marietta Eugster. Il réunit une collection d’invitations et de scénarios pour de futures performances.
La performance est un ensemble de pièces chorégraphiées dans lesquelles les danseurs et musiciens qui les concrétisent utilisent les corps des uns et des autres pour produire des percussions rythmées.
Le paysage mélodique est constitué de sonorités sourdes, dures, parfois douces, produites par la chair et les os.
La pratique polymorphe d’Anne Sylvie Henchoz inclue actions construites, improvisées et narration. Ces éléments se déploient dans des situations conçues comme des cérémonies qui inventent des façons atypiques d’entrer en relation, énoncées par un vocabulaire poétique et chorégraphique.
Partie 5 – Belle Poudre (Dirk Bell / Reto Pulfer)
Hoernisse, 2018 | pièce sonore stéréo,
18’
Hoernisse a été réalisée lors d’une une micro-résidence du duo Belle Poudre (Dirk Bell / Reto Pulfer) dans le cadre de l’exposition Sympathie au Centre d’art Neuchâtel. Elle fait partie intégrante de l’installation Horchideen can must not.
Les ambiances sonore du vieille appartement du CAN, les craquements de son parquet en bois, les grincements de ses portes, la résonance de sa salle de bain, se mêlent avec les sons de la production, du crayon sur le papier et de la création de sculptures.
Partie 6 - live @ CAN : DaVaD MiRoRiM
40’51
Issus de différentes scènes indépendantes, les membres de DaVaD MiRoRiM (David Ashby, Julien Baillod, Steven Doutaz, Brynjar Thorsson) assument une aire de repos relatif au-delà des genres et des tendances et ne se réclament d’aucun bord. Un chantier en chantier en perpétuelle déconstruction. Son rock, hypnotisme et chaos emplissent un espace sonore plastique et sculptural.
Une émission réalisée par Massimiliano Baldassarri dans le cadre de l’exposition Sympathie / CAN, Centre d’art Neuchâtel.
Exposition d’ouverture de la nouvelle équipe du CAN, Centre d’art Neuchâtel.
Enregistré le 3 novembre 2018.
Il faut généralement une explication orale pour expliquer l’explication écrite.
Le maître ignorant, cinq leçons sur l’émancipation intellectuelle (1987), par Jacques Rancière
Chapitre premier 1/5 : Une aventure intellectuelle (8’01)
2/5 : L’ordre explicateur (12’59)
3/5 : Le hasard et la volonté (10’32)
4/5 : Le Maître émancipateur (7’56)
5/5 : Le cercle de la puissance (10’29)
« Le mythe pédagogique, disions-nous, divise le monde en deux. Il faut dire plus précisément qu’il divise l’intelligence en deux. Il y a, dit-il, une intelligence inférieure et une intelligence supérieure. La première enregistre au hasard des perceptions, retient, interprète et répète empiriquement, dans le cercle étroit des habitudes et des besoins. C’est l’intelligence du petit enfant et de l’homme du peuple. La seconde connaît les choses par les raisons, elle procède par méthode, du simple au complexe, de la partie au tout. C’est elle qui permet au maître de transmettre ses connaissances en les adaptant aux capacités intellectuelles de l’élève et de vérifier que l’élève a bien compris ce qu’il a appris. Tel est le principe de l’explication. Tel sera désormais pour Jacotot le principe de l’abrutissement. »
Jacques Rancière, Le Maître ignorant.
En l’an 1818, Joseph Jacotot, révolutionnaire exilé et lecteur de littérature française à l’université de Louvain, commença à semer la panique dans l’Europe savante. Non content d’avoir appris le français à des étudiants flamands sans leur donner aucune leçon, il se mit à enseigner ce qu’il ignorait et à proclamer le mot d’ordre de l’émancipation intellectuelle : tous les hommes ont une égale intelligence. On peut apprendre seul, sans maître explicateur, et un père de famille pauvre et ignorant peut se faire l’instructeur de son fils. L’instruction est comme la liberté : elle ne se donne pas, elle se prend. Elle s’arrache aux monopoleurs d’intelligence assis sur le trône explicateur. Il suffit de se reconnaître et de reconnaître en tout autre être parlant le même pouvoir.
Il ne s’agit pas de pédagogie amusante, mais de philosophie et, si l’on veut, de politique. La raison ne vit que d’égalité. Mais la fiction sociale ne vit que des rangs et de leur inlassable explication. À qui parle d’émancipation et d’égalité des intelligences, elle répond en promettant le progrès et la réduction des inégalités : encore un peu plus d’explications, de commissions, de rapports et de réformes, et nous y arriverons. La société pédagogisée est devant nous. À sa manière moqueuse, Joseph Jacotot nous souhaite bon vent.
(Texte, Ref : Fayard)
Lecture, son et réalisation : Massimiliano Baldassarri
Jacques Rancière, Le Maître ignorant. Cinq leçons sur l’émancipation intellectuelle, Paris, Editions Fayard, 1987, p. 16
Sans en dire trop, c’est l’idée qu’on est dans un échaufement et dans la constitution d’une équipe, voilà, je vous invite à venir voir.
Une émission réalisée par Massimiliano Baldassarri dans le cadre de l’exposition Sympathie / CAN, Centre d’art Neuchâtel
Exposition d’ouverture de la nouvelle équipe du CAN, Centre d’art Neuchâtel.
Enregistré le 20 et 21 septembre 2018.
Partie 1 – visite de l’exposition, conférence de presse, making-of
(40:00)
Partie 2 - conversation / Silver chrome Rencontre avec Blaise Parmentier, Guillaume Pellay
(21:00)
Partie 3 - live Mister Milano
(38:00)
Partie 1 avec la participation de Anaïs Wenger (artiste), Sylvie Linder (CAN), Martin Jakob (CAN), Nicolas Raufaste (CAN), Julian Thompson (CAN), Sebastian Verdon (CAN), Magali Pexa (CAN)
Conférence de presse : Camille Pellaud (Arc-Info), iae (RTN), Nicolas Julliard (RTS - Nectar), Carlos Montserrat (Canal Alpha)
Musique additionnelle: Musique Chienne, Sarah-Louise Barbett (Cheptel records)
Enregistré au CAN le 21 septembre 2018
Ingénieur son: Bruno / field recording, mix-editing : M.B
Who let the dogs out, c’est une chanson de 2003 ou 2001, qui est un peu un truc très commercial de l’été, qui est même au carnaval de Trinidad et Tobago, et qui est aussi considérée comme une des pires chansons de l’histoire de l’humanité.
Rencontre avec Louise Mestrallet et Cristian Valenzuela qui nous parlent de leur projet de discussion et recherche “Artiste ? Et Sinon tu fais quoi ?” qui traite des relations entre art et travail. La discussion aura lieu autour d’une soupe de poisson traditionnelle du Chili (ambiance musicale de Dj Oby).
Musique additionnelle :
Qui non lavora non fa l’amore, Adriano Celentano
Who let the dogs out, Baha Men
Louise Mestrallet et Cristián Valenzuela sont artistes, aspirante productrice et animateur socio-culturel. Depuis 2015, sur l’invitation de différents lieux, ils ont engagé une série d’évènements(dans des espaces d’art indépendants, des ateliers d’artistes ou des appartements) qui cherchent à explorer la relation art et travail, « Artiste ? Et sinon tu fais quoi ? ». Ce projet prend la forme de rencontres autour de la création d’une « publication » (pensée comme un réceptacle d’idées qui tourne autour de ces rencontres, elle est composée de citations, images, textes originaux, proposition de lectures autour du sujet) et d’un repas s’inspirant du concept d’ « olla común »*. Ils ne cherchent pas à faire une recherche sociologique auprès de leurs pairs mais plutôt de composer un nouvel ensemble de réflexions autour de la relation entre art et travail (en s’aidant de la pensée et d’images d’autres artistes, philosophes, activistes…). Pour Lumpen Universitat, ils proposeront une nouvelle publication intitulée « Cabeza de Pescado » et Louise parlera de l’urgence de se confronter à nos formes de subsistance. S’en suivra, ils l’espèrent, une conversation autour d’une soupe de poisson (option vegan également). Pendant les grèves en Amérique Latine, des travailleurs syndicalistes organisent leur propre “Olla Común” ou repas commun, non seulement pour se nourrir, mais aussi pour renforcer leurs liens et activer une conscience de classe.
Une émission réalisée par Massimiliano Baldassarri dans le cadre du programme de l’exposition “Woof woof woof woof, who let the dogs out ?!”
Programme Lumpen Universität / un projet de Andrea Marioni. Espace libre / Biel-Bienne (CH) - Dimanche 4 Mars, 2018.
Comme on peut le voir, les deux saints au centre du tableau sont encerclés par la gesticulation des soldats et des bourreaux qui les conduisent au supplice.
L’amitié / L’amico - Giorgio Agamben
Traduit de l’italien par Martin Rueff
© 2007, Giorgio Agamben © 2007, Éditions Payot & Rivages
“Les amis ne partagent pas quelque chose (une naissance, une loi, un lieu, un goût) : ils sont toujours déjà partagés par l’expérience de l’amitié. L’amitié est le partage qui précède tout autre partage, parce que ce qu’elle départage est le fait même d’exister, la vie même. Et c’est cette partition sans objet, ce consentement original qui constitue la politique.”
Lecture & réalisation sonore : Massimiliano Baldassarri
Musique : Yandra Mandir / Wat Lanka - home recording
A.U.B.E, Synth Sisters / I’m Calling You From Distance - by 17853 records
Si nous voulons cesser de souffrir, il nous faut arrêter de travailler.
bye-bye la compagnie :
Depuis deux décennies, le modèle de travail post-fordiste se développe dans nos sociétés et semble s’imposer à un nombre croissant de travailleurs. Celui-ci valorise la flexibilité, la créativité, l’innovation, l’authenticité, les compétences communicationnelles, l’éloquence, et amène à considérer le travail comme une succession de projets toujours nouveaux, impliquant des contrats temporaires (ou pas de contrat du tout), des heures de travail flexibles et une forte mobilité physique et mentale. Ce type de travail affaiblit fortement la séparation entre vie privée et vie professionnelle, cette dernière ne connaissant plus de limites temporelles et spatiales claires. Il en résulte une forme d’auto-exploitation reposant sur l’intériorisation de l’accomplissement de soi par le travail. Le travailleur n’est alors plus uniquement jugé sur son savoir-faire mais également sur son savoir-être.
FACE A
TRAVAIL ET CAPITAL : LES DEUX FACES DE LA MÊME MÉDAILLE
GROUPE KRISIS - MANIFESTE CONTRE LE TRAVAIL - 1999 - ÉD. LÉO SCHEER
LECTURE : JEAN-BAPTISTE GANNE
TRAVAILLER, MOI ? JAMAIS ! (INTRODUCTION)
BOB BLACK - THE ABOLITION OF WORK - 1985 - ÉD. DE L’INSOMNIAQUE
LECTURE : JEAN-BAPTISTE GANNE
SOUFFLERIE
MARIE LIMOUJOUX, 2016
FACE B
LES MÉSAVENTURES DE LA PENSÉE CRITIQUE
JACQUES RANCIÈRE - LE SPECTATEUR ÉMANCIPÉ - 2008 - ÉD. LA FABRIQUE
LECTURE : MASSIMILIANO BALDASSARRI
UN DOGME DÉSASTREUX
PAUL LAFARGUE - LE DROIT À LA PARESSE - 1880 - ÉD. ALLIA
LECTURE : JEAN-BAPTISTE GANNE
MICRO QUI MEURT
MARIE LIMOUJOUX, 2016
© 2017-LES DISQUES EN ROTIN RÉUNIS / CAN / LES ARTISTES / LES AUTEURS
Pièce sonore et radiophonique produite et réalisées dans le cadre de l’exposition bye-bye la compagnie au centre d’art de Neuchâtel (CAN) du 15 octobre au 15 décembre 2016.
Collaboration : Massimiliano Baldassarri, Jean-Baptiste Ganne, Marie Limoujoux, avec la participation de Marie Villemin et Julian Thompson.
Enregistré à Neuchâtel et au Val-de-Travers (Distillerie d’Absinthe Artemisia Bugnon) entre le 04.11 et le 10.11.2016.
Réalisation et montage sonore : Massimiliano Baldassarri, Jean-Baptiste Ganne, Marie Limoujoux.
Mastering par Nico Morcillo.
Edition vinyle LDRR / Les Disques en Rotin Réunis / ed.CAN
Ah bordel, ah bordel ! Ah putain, putain, je les entends en plus…
Immersion sonore et visite de la Ghost House VR par Massimiliano Baldassarri
Dans le cadre de son programme PLUGS, Geneva International Film Festival se branche sur le Festival International du Film Fantastique de Neuchâtel (30 juin – 8 juillet 2017) pour y monter une Ghost House VR, installation inédite composée d’œuvres en réalité virtuelle réalisées par des artistes suisses et français.
Le GIFF s’associe également au programme NIFFF EXTENTED: une série de conférences et de débats réunissant une centaine d’experts helvètes et internationaux, en participant à la conférence: “De l’incidence des médias immersifs sur la narration”.
Rencontre avec Laurent Monnet du projet Ximoan
Ximoan est une expérience participative inspirée de la mythologie aztèque. Elle invite le joueur à se coucher et à voyager dans l’au-delà, pendant qu’un autre joueur prend le rôle d’un chaman. Bloqué en enfer, le «défunt» explore un monde virtuel pour tenter d’atteindre le paradis. Son voyage virtuel dépendra entièrement de la réussite du chaman qui, contrairement au défunt, se trouve lui dans la réalité. Ce dernier doit jouer d’un ancien instrument aztèque et sa performance déterminera l’expérience du défunt.
Rencontre avec Qui Cung du projet Hell Eluja
Hell Eluja est un jeu multijoueur asymétrique en réalité virtuelle. Un premier joueur endosse le rôle d’un héros immergé dans un monde virtuel sombre et sans pitié. Livré à lui-même, il doit survivre et s’en échapper. Le second joueur prend le rôle du grand méchant : le Maître du Donjon.
Une émission proposée par Massimiliano Baldassarri.
On est dans une forteresse en galets, énorme, qui fait comme une forteresse en haut d’une colline, faut grimper pour y arriver, mais une fois qu’on est au studio 2, on est bien.
Plan de travail #12 : Studio 2 (CAN)
Dans le cadre d’un projet du CAN pour RUN RUN RUN nous retrouvons Massimiliano Baldassarri et Jean-Baptiste Ganne dans le Studio 2 de la Villa Arson qui est à la fois un lieu de vie, un atelier, un studio d’enregistrement, un espace de lecture et de réflexion poïétique.
Une émission réalisée par Simon Nicaise dans le cadre de l’exposition RUN RUN RUN à la Villa Arson de Nice, et organisée à l’occasion des vingt ans de La Station.
Bambino
Bam-am-bino
Ne pleurez-pas bambino
Atelier critique & poïétique
Une proposition du CENTRE D’ART NEUCHATEL – CAN dans le cadre de l’exposition RUN RUN RUN à la Villa Arson
Intervention et coordination : Massimiliano Baldassarri (M.B), Jean-Baptise Ganne (J.B.G) et Marie Villemin (M.V).
Dans le cadre de cette invitation de la Station à la Villa Arson, nous proposons un « atelier critique » qui ne se définit pas par ses seuls aspects artistiques, mais tend à en déborder, et à brouiller les rôles convenus (artistes, commissaires, exposé(e)s et exposant(e)s). Cette collaboration s’articule dans un premier temps autour d’un échange de textes (au très large spectre) et de lectures croisées qui servent de point de départ aux discussions. Parmis d’autres, les thématiques du travail, du biopolitique, du commun, de l’autorité, et de la collaboration sont abordées sous la forme d’entretiens, de discussions ouvertes, de lectures. La forme documentaire, l’archivage, feront émerger différentes notions théoriques et poétiques, mises en relation avec la situation présente d’une intervention artistique dans l’exposition.
L’« atelier critique » privilégie l’association intuitive, l’instinctif et le processus évolutif – il génère en amont et sur place son contenu. L’archive permettra d’organiser ce matériau et d’en publier des extraits dans le cadre d’un dispositif d’exposition. La mise en circulation du matériau participe à la construction d’un scénario (lacunaire) se dépliant dans l’espace physique. Le contexte et le montage deviennent ici à la fois protagonistes et décors du processus de réflexion et de mise en forme esthétique et théorique.
#1 : L’atelier critique
#2 : Lecture Giorgio Agamben “Etat d’exception”
#3 : Lecture Hannah Arendt “Du désert et des oasis”
#4 : Lecture Sylvia Federici “Aux origines du capitalisme patriarcal”
#5 : Lecture Karl Marx “Accumulation primitive”
Atelier critique
Le petit complot / signé par l’auteur / lecture M.V / M.B
L’atelier critique / signé par l’auteur / lecture / M.B
Carmelo Bene / extrait d’interview / transcription. M.V / lecture M.B
https://archive.org/details/Ca…
Jorge Luis Borges / Le livre des sables / l’Autre (extrait) / Nrf Gallimard
Walter Benjamin / Sur le concept d’histoire
IX. Oeuvres III. Traduction Maurice de Gandillac. Folio. Essais page 434
Son:
Chanson: Bambino, texte : jacques larue, interprète : Dalida (le petit complot)
Percussions: Hussein Zahawy, Daf Solo. (atelier critique)
Drone: Massimilano Baldassarri (l’Autre)
Musique : Angelus Novus (extrait) John Zorn (l’Angelus Novus)
Lectures
Giorgio Agamben
Moyen sans fins / notes sur la politique / forme-de-vie / point 1 à 8 / Rivage poche, 1996
Lecture: M.B
Etat d’exception / Homo sacer
1. L’Etat d’exception comme paradigme de gouvernement / Seuil, 2003
1.1 et 1.2
Lecture: M.B
Hannah Arendt
Qu’est-ce que la politique / Du désert et des oasis / fragment 4 /
Un chapitre de conclusion possible / p136 / Seuil.
Lecture M.B
Sylvia Federici
Aux origines du capitalisme patriarcal : entretien avec Silvia Federici
par Tessa Echeverria, Andrew Sernatinger / Traduit de l’anglais par Stella Magliani Belkacem.
Lecture : M.V
URL source: http://www.contretemps.eu/inte…
Publié par Contretemps, 02/03/2014
Source originale : http://blacksheeppodcast.org/2…
Karl Marx
Le Capital (livre premier)
Le développement de la production capitaliste
Chapitre XXVI : Le secret de l’accumulation primitive
Lecture : J.B.G
C’est justement un espace du politique, cet espace qui est entre nous, cet espace d’une relation qui est le politique, pour Hannah Harendt.
Conversation autour de MEDUSA CARAVAGE SALON, projet évolutif et ouvert.
Plus qu’une exposition soutenue par une pensée curatoriale, il est question ici de concevoir un espace, un lieu pour rendre compte de formes, de contenus et de gestes plurivoques.
Avec Massimiliano Baldassarri (artiste et curateur de l’exposition), Rebecca Bournigault (artiste), Philippe Kourilsky (biologiste), Isi Beller (psychanalyste) et Dominique Fiat (galeriste).
Performances :
Le rituel du serpent, Massimiliano Baldassarri.
Is not, Sandrine Salzard.
Une émission préparée par Simon Nicaise, avec la contribution de Simon Ripoll-Hurier.