Émission en direct avec les étudiant·es de l’Ensba Lyon
Nos proxénètes préférés ça reste nos animaux domestiques, on a des proxénètes de croquettes.
Retour sur une série de rencontres au sujet du travail du sexe, des luttes passées et présentes et de la pensée féministes pute.
Épisode #3 - L’occupation de Saint-Nizier, récits à plusieurs voix : Blanche Blouin, artiste et designeuse, diplômée de l’ENSBA Lyon, invite Cybèle Lespérance, tds, militante et chercheuse et le Père Christian Delorme qui était présent à Saint-Nizier pendant l’occupation de 1975.
“Ça commence souvent par des problèmes”, exposition et programme imaginés par Julie Portier et Camille Richert pour la Salle de bains (Lyon) du 6 mars au 26 avril 2025, prend pour point de départ le film “Les Prostituées de Lyon parlent” réalisé par Carole Roussopoulos à Lyon en juin 1975 avec des travailleuses du sexe occupant une église pour faire valoir leurs droits. L’exposition est une rétrospective qui tient sur une étagère de garage, les 19 autres mètres carrés de la Salle de bains restant disponibles pour accueillir des rencontres à l’invitation de chercheureuses, artistes et personnes concernées.
Ça commence par un chèque de licenciement échangé contre une caméra Sony Portapak qui contient la promesse d’une vie « sans patron ». C’est ainsi que Carole Roussopoulos racontait le début de cette aventure derrière la caméra pour documenter les engagements individuels et les luttes collectives portées par l’espoir d’un monde plus juste. Dans l’ébullition des années 1970, elle s’aperçoit immédiatement des possibilités offertes par ce petit matériel pour enregistrer celles et ceux qu’on ne laisse pas parler en public ou que l’on n’entend pas, en particulier les femmes. Avec elle, la vidéo devient un outil de militantisme féministe qui, attelé au collectif, lui permet une autonomie de production et de diffusion.
Extraits de Carole Roussopoulos, Les prostituées de Lyon parlent, 1975 : Tous droits réservés, Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
Chants de Saint-Nizier par la chorale de l’ENSBA Lyon
Montage : Maxime Naudet / La Salle de bains
Mixage : Morgane Charles / *Duuu
On a des galeries, on a des cafés, on a des camions…
Retour sur une série de rencontres au sujet du travail du sexe, des luttes passées et présentes et de la pensée féministes pute.
Épisode #2 - Les TDS décoloniales parlent : rencontre avec Lola Lévy, membre fondatrice du groupe les TDS contre Les Guerres.
“Ça commence souvent par des problèmes”, exposition et programme imaginés par Julie Portier et Camille Richert pour la Salle de bains (Lyon) du 6 mars au 26 avril 2025, prend pour point de départ le film “Les Prostituées de Lyon parlent” réalisé par Carole Roussopoulos à Lyon en juin 1975 avec des travailleuses du sexe occupant une église pour faire valoir leurs droits. L’exposition est une rétrospective qui tient sur une étagère de garage, les 19 autres mètres carrés de la Salle de bains restant disponibles pour accueillir des rencontres à l’invitation de chercheureuses, artistes et personnes concernées.
Ça commence par un chèque de licenciement échangé contre une caméra Sony Portapak qui contient la promesse d’une vie « sans patron ». C’est ainsi que Carole Roussopoulos racontait le début de cette aventure derrière la caméra pour documenter les engagements individuels et les luttes collectives portées par l’espoir d’un monde plus juste. Dans l’ébullition des années 1970, elle s’aperçoit immédiatement des possibilités offertes par ce petit matériel pour enregistrer celles et ceux qu’on ne laisse pas parler en public ou que l’on n’entend pas, en particulier les femmes. Avec elle, la vidéo devient un outil de militantisme féministe qui, attelé au collectif, lui permet une autonomie de production et de diffusion.
Extraits de Carole Roussopoulos, Les prostituées de Lyon parlent, 1975 : Tous droits réservés, Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
Chants de Saint-Nizier par la chorale de l’ENSBA Lyon
Montage : Maxime Naudet / La Salle de bains
Mixage : Morgane Charles / *Duuu
Ils rigolent entre copains, et là il y’en a un qui dit “Mais moi j’y étais, à la manif des putes”
Retour sur une série de rencontres au sujet du travail du sexe, des luttes passées et présentes et de la pensée féministes pute.
Épisode #1 - Les luttes des TDS dans les années 1970 : conférence de Lilian Mathieu, directeur de recherche au CNRS (Centre Max-Weber, ENS de Lyon), spécialiste de l’étude de la prostitution et des mouvements sociaux.
“Ça commence souvent par des problèmes”, exposition et programme imaginés par Julie Portier et Camille Richert pour la Salle de bains (Lyon) du 6 mars au 26 avril 2025, prend pour point de départ le film “Les Prostituées de Lyon parlent” réalisé par Carole Roussopoulos à Lyon en juin 1975 avec des travailleuses du sexe occupant une église pour faire valoir leurs droits. L’exposition est une rétrospective qui tient sur une étagère de garage, les 19 autres mètres carrés de la Salle de bains restant disponibles pour accueillir des rencontres à l’invitation de chercheureuses, artistes et personnes concernées.
Ça commence par un chèque de licenciement échangé contre une caméra Sony Portapak qui contient la promesse d’une vie « sans patron ». C’est ainsi que Carole Roussopoulos racontait le début de cette aventure derrière la caméra pour documenter les engagements individuels et les luttes collectives portées par l’espoir d’un monde plus juste. Dans l’ébullition des années 1970, elle s’aperçoit immédiatement des possibilités offertes par ce petit matériel pour enregistrer celles et ceux qu’on ne laisse pas parler en public ou que l’on n’entend pas, en particulier les femmes. Avec elle, la vidéo devient un outil de militantisme féministe qui, attelé au collectif, lui permet une autonomie de production et de diffusion.
Extraits de Carole Roussopoulos, Les prostituées de Lyon parlent, 1975 : Tous droits réservés, Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
Chants de Saint-Nizier par la chorale de l’ENSBA Lyon
Montage : Maxime Naudet / La Salle de bains
Mixage : Morgane Charles / *Duuu
C’était huit jours après mon arrivée à Paris, en 84, quand j’ai quitté New-York City.
*Duuu radio a récemment acquis un graveur de vinyles afin de réaliser des micro-éditions de projets sonores. Cet outil permet de graver des disques vinyles à l’unité, à vitesse réelle.
À l’occasion de ses 10 ans, *Duuu propose l’édition de 10 vinyles de 10 exemplaires chacun, issus des archives de la radio, ainsi qu’un projet inédit réalisé à l’occasion de l’exposition.
Le sixième vinyle de cette série présente une conversation entre Jean Dupuy et Sophie Lapalu, Théo Robine-Langlois et Simon Nicaise, lors de l’exposition RUN RUN RUN à la Villa Arson à Nice, diffusée sur *Duuu pour la première fois en 2016.
Une émission préparée par l’équipe de *Duuu (Loraine Baud, Simon Nicaise, Simon Ripoll-Hurier) et ses correspondants Sophie Lapalu, Julie Portier et Théo Robine Langlois, et réalisée par Sophie Lapalu, dans le cadre de l’exposition RUN RUN RUN à la Villa Arson de Nice, organisée à l’occasion des vingt ans de La Station.
Non, je veux pas devenir vieux ;
J’en finirai bien avant.
Non, je ne veux pas être rongé,
oh, par l’érosion du temps.
Mais j’ai même peur
De devenir vieux
Rien qu’en y pensant.
Mais je veux en profiter, oh, quand même
Pour longtemps.
Louis Georget - Fils du métal
Tracklist :
- Intro : extrait de Wango Tango animé par Francis Zegut
- Rock’n’roll, Océan
- Rock city, Warning
- Aeroplane man, Speed Queen
- Hymne à la mort, Sortilège
- Les fils du Métal, Satan Jocker
- Le gang des saigneurs, Attentat Rock
- Je ne veux pas devenir vieux, Voodoo Child
- Notre Dame, ADX
- Interlude : extrait de Wango Tango animé par Francis Zegut
- Fou sanguinaire, H bomb
- Comme un damné, High Power
- Passe temps, Venin
- Monnaie monnaie, Trash
Une playlist proposée par Louis Georget sur une invitation de Camille Richert.
And I’m out at a party, they’re playin’ our song
I cry on the dance floor, it’s so embarrassing
Don’t send me photos, you’re makin’ it worse
‘Cause you’re so hot, it’s hurtin’ my feelings
Alice Grégoire - Pomodoro
Tracklist :
- Oula, Aya Nakamura (2:38)
- A Set of 3 Scottish Airs, The Curious Bards (2:45)
- Wine & Grine, Prince Buster, The Allstars (2:27)
- O Canto da Ema, Gilberto Gil (6:20)
- Intro : B.O.S.S., le Clash, Suprême NTM (1:52)
- Come, ye sons of art away (Birthday Ode for Queen Mary), Z. 323/5 : “Strike the viol”, Henry Purcell, improvisation interprétée par Christina Pluhar (3:57)
- Feeling Good, Chrissy Zebby Tembo (3:36)
- Aria burlesca (Presto), Nicola Matteis, interprété par Amandine Beyer (1:57)
- I Don’t Want to Know - Early Take, Fleetwood Mac (3:42)
- Oh di Betlemme altera poverta (Cantata pastorale per la nascita di Nostro Signore) : Aria : Dal bel seno d’une stella, Alessandro Scarlatti, interprété par Capella Savaria, Mária Zádori, Pál Németh (1:49)
- The 59th Street Bridge Song (Feelin’ Groovy), Simon & Garfunkel (1:55)
- Le Concert royal de la Nuit, Grand Ballet, Le Soleil : Les Planètes, “All’impero d’amore” (Tutti), Ensemble Correspondances, Sébastien Daucé (2:00)
- RiRi, Young Thug (4:04)
- Carmen : “Près des remparts de Séville”, Georges Bizet (2:02)
- Don’t Walk Away, Johnny Clegg, Savuka (4:24)
- Serse, HWV 40 / Act 1 : “Ombra mai fu”, Georg Friedrich Haendel, interprété par Franco Fagiolo, Il Pomo d’Oro, Valova (3:24)
- La vie est folle, Jacques Higelin (3:42)
- A Treatise of Good Taste in the Art of Music : Air III : “Lady Ann Bothwell’s, Lament”, Francesco Geminiani, interprété par L’Escadron volant de la Reine (2:18)
- So Hot You’re Hurting My Feelings, Caroline Polachek (3:03)
Une playlist proposée par Alice Grégoire sur une invitation de Camille Richert.
When I saw your slight smile
I wanted to know you
Until the day that I die
I am in love with you
When the world comes to an end
I will have loved you
For a long time
For a long time
Kerwin Rolland - Hocketeers
Tracklist :
- Dic Christi Veritas, Anonyme
- Songs of ascension, Meredith monk (extrait)
- Dirty Projectors - extrait de conférence
- When the world comes to an end, Dirty Projectors, Björk
- Llibre Vermell De Montserrat, Jordi Savall
- Bourrée, Jethro Tull
- Songs of ascension, Meredith Monk (extrait)
- Veridunt Omnes, Pérotin
- O superman, Laurie Anderson
- M6, Meredith Monk
- Bizzness, Tuneyards
- Yelli, Baka Women
- Mobandi, Anonyme
- Songs of ascension, Meredith Monk (extrait)
- J’ai les mais d’amour, in seculum, Anonyme
Une playlist proposée par Kerwin Rolland sur une invitation de Camille Richert.
Booooom
Tchicka
Boom Boom Boom
Booooom
Tchicka
Boom Boom BoomBooooom
Tchicka
Boom Boom Boom
Booooom
Tchicka
Boom Boom Boom
Frédéric D. Oberland - Dérive
Tracklist :
- I Am Not Alone, Marvin Pontiac (Strange & Beautiful Music)
- Memory in Vivo Exposure Pt. 1, Tomaga (Hands In The Dark)
- Return Of Black September, Muslimgauze (Staalplaat)
- Black Lives Matter Chicago
- Overhear, The Necks (Ideologic Organ / Editions Mego)
- Side A, Field Recordings from the Sahel (Sahel Sounds)
- Ne Iz Sadu, Irena Z. Tomazin (Kamizdat)
- Kistvaen, Roly Porter (Subtext)
- Black Swann Theory II, FOUDRE! (NAHAL Recordings)
- Hujan, Senyawa (Yes No Wave Music)
- Matkhafsh Menni, Aya Metwalli (Ma3azef)
- Channel 4 Beyrouth
- Protected by the Ejaculation of Serpents, Ak’Chamel, The Giver Of Illness (Akuphone)
- Lau Ridyou Bil Hijaz, Jerusalem In My Heart (Constellation)
- Peliatan Night Walk, Night Recordings from Bali (Sublime Frequencies)
- Plastique, Why The Eye (Plynt Records / Ångström Records)
- Full Moon, Ryuichi Sakamoto (Milan)
- Black Woman, Sonny & Linda Sharrock (Vortex)
- Pénombre, Roméo Poirier (Sferic)
Une playlist proposée par Frédéric D. Oberland (NAHAL Recordings - Oiseaux-Tempête - FOUDRE! - Le Réveil des Tropiques…) sur une invitation de Camille Richert.
J’crois qu’j’avais R.D.V y’a que si j’ai l’money j’vais aller
Toi bébé tu fais quoi ?
Tu fais quoi today ?
Rebekka Deubner : Composer avec la foudre et l’aurore
Tracklist :
- Meet her at the love parade, Da Hool (1996)
- Full moon, Kitaro (1979)
- Sunny Side, Susumu Yokota (1997)
- Indian summer, Tangerine Dream (1986)
- Vierge, Alexandre de l’eau rivière (2018)
- Awa Odori Remix II, musique traditionnelle accompagnant la danse d’Awa à Tokushima
- Danser dans le noir, Lala&ce (2017)
- Ancient Palace, Midori Takada (1991)
- Kusare-umi, bande son de Nausicaa de la vallée du vent (1984)
- Becalmed, Brian Eno (1975)
- Song of the sleeping forest, Susumu Yokota (2005)
- Fiori Chiari Fiori Oscuri I - extrait -, Alvin Curran (2010)
- Gnossienne no 3, B.J. Cole (1989)
- Clair de lune, Isao Tomita (1974)
- Sandstorm, Darude (1999 - ponctué par un extrait de « L’histoire de l’érotisme » de Georges Bataille, 1976)
Une playlist proposée par Rebekka Deubner sur une invitation de Camille Richert.
Storia di pisci
Arriccioli tagghiu a pezzi
Comu fussi ru mmistini
Aju sardi e masculini
Di russizza comu alacci
Greg Buffier - Sainte-Barbe
Tracklist:
- An Intimate Conflict, My Disco
- Carbon Cycles, Ecker & Meulyzer
- Storii di pisci, Antico
- Phase 1, Slagman
- Shape Lifter, CZN
- Heard by Stones, Papivores
- Asphodel Mansions, Black to Comm
- Rossi Aldo, Geinst Naït
- Qosmos, Somaticae
- Prima, Or OR
Une playlist proposée par Greg Buffier sur une invitation de Camille Richert.
Just like a bridge over troubled water
I will lay me down
Just like a bridge over troubled water
I will lay me down
Sophie Hanoun - La musique de l’ombre
Tracklist:
L’art de l’arrangement, part I : Amériques
- Baby Elephant Walk, Henri Mancini (film Hatari, 1962, RCA)
- Soulero, Bob James (One, 1974, CTI Records)
- Improvisation on Bolero, Larry Coryell (Bolero, 1984, String)
- Wildflower, Hank Crawford (Wildflowern, 1973,Kudu)
- Prelude to the Afternoon of a Faun, Deodato (Prelude, 1972, CTI Records)
- Passacaglia in C Minor, Hubert Laws (Afro Classic, 1970, CTI Records)
- Bridge Over Troubled Water, Quincy Jones (Gula Matari, 1970, A&M Records)
- The 59th bridge Song, Paul Desmond (Bridge Over Troubled Water, 1969, CTI Records)
- Sebastian’s Theme, Don Sebesky (Three works for Jazz Soloists & Symphony Orchestra, 1979, Gryphon)
- Tabu, Lalo Schiffrin (Black Widow, 1976, CTI Records)
- Holy Thursday, David Axelrod (Song of Innocence, 1969, Capitol Records)
Une playlist proposée par Sophie Hanoun sur une invitation de Camille Richert.
Thanks for the bees.
Guillaume Heuguet - Incidental Grace
Tracklist:
- La vie dans les airs, Yannick Daubry & Hitoshi Kojo (Drone Records)
- Petite symphonie pour un printemps, Luc Ferrari (Récollection GRM)
- Station/Station, Meiji Furuhashi / Dumb Type (Foil Records)
- Maihime, Hoshina Anniversary (Youth)
- RP I - Rana Porosa I, Chu Ishikawa (Adisc)
- Bonus Bongo Harp, John T. Gast (5 Gate Temple)
- Pollen, Loto Retina (Outreglot)
- Breche II, Somaticae (Unreleased)
- Transmutation, Wojciech Rusin (Akashic Records)
- Bagatelle, des Teufels Mastsau, Stefan Fraunberger (Morphine)
- Modre Kvety, Adrian Democ (Another Timbre)
Une playlist proposée par Guillaume Heuguet sur une invitation de Camille Richert.
Ton haleine boisée, herbue, mouillée, rose.
Ton haleine de chien, de poney, de loutre, de phoque. Ton haleine animale, libellule aux quatre ailes.
Encore somnolent je déployais mes oreilles en fleur
Une émission réalisée par Rebekka Deubner et Camille Richert
Avec Gaëtan Didelot, Céline Pelcé, Oscar Lozano Perez et Rebekka Deubner, Virginie Huet, Valentine Fell, Mathis Berchery et David Lopez.
« Encore somnolent, je déployais mes oreilles en fleur » est une émission de nuit, pleine de bruits du jour et de preuves d’amour. On y écoute les textes originaux de sept autrices et auteurs, lus et interprétés en chambre, en bord de fenêtre, en bout de canapé ou en bas résilles. Ils nous glissent déclament chuchotent des bribes de rêveries, de fantasmes et de paraphilies, les leurs, comme celles des autres.
« Encore somnolent, je déployais mes oreilles en fleur » est une édition sous forme d’émission qui verra le jour couchée sur papier aux éditions du rayon.vert en septembre 2020. En attendant, elle donne de la voix, ici et maintenant à Gaëtan Didelot, et ses obsessions domestiques, Céline Pelcé, et ses breuvages salés, Oscar Lozano Perez et Rebekka Deubner, en duo improvisé, Virginie Huet, avec sa culpabilité, Valentine Fell, entre deux lignes, Mathis Berchery, sous sa douche, et David Lopez, sans petite mort.
Liste des auteurs et titres extraits :
- Viens, Gaëtan Didelot. 01:39 - 06:30
- Concentré salivaire, Céline Pelcé. 06:50 - 08:06
- Collant velours, Oscar Lozano Perez et Rebekka Deubner . 08:20 - 15:01
- Linky : Amine, Gaëtan Didelot. 15:26 - 16:42
- Rue Bernard Palissy, Virginie Huet. 16:55 - 19:11
- Linky : Peau d’orange, Gaëtan Didelot. 19:27 - 20:35
- Anna, Valentine Fell. 21:03 - 25:05
- Jus matriciel, Céline Pelcé. 25:12 - 26:16
- Linky : Pierre, Gaëtan Didelot. 26:26 - 27:18
- Douche nuit, Mathis Berchery. 27:36 - 33:11
- Linky : Corine et Valentine, Gaëtan Didelot. 33:30 - 34:55
- Éponyme and Clyde, David Lopez, premier extrait de son roman Fief, Paris, Seuil, 2017 . 37:38 - 42.19
- Linky : Des mois, Gaëtan Didelot. 42:50 - 43:33
- Linky : Louise, Gaëtan Didelot. 43.38 - 44.35
- Écumé, Mathis Berchery. 44:54 - 48:00
- Linky : Pierre et Louise, Gaëtan Didelot. 48:15 - 50:50
- Linky : Dénouement, Gaëtan Didelot. 50:54 - 52:50
- Cocktail lacrymal, Céline Pelcé. 52:58 - 54:19
- Éponyme and Clyde, David Lopez, deuxième extrait de son roman Fief, Paris, Seuil, 2017. 54:20 - 56:00
Une émission réalisée par Rebekka Deubner et Camille Richert.
Création sonore, habillage, montage : un anonyme depuis Tokyo.
Prise de son : les autrices, les auteurs et les moyens du bord.
Lectures de Gaëtan Didelot, Céline Pelcé, Oscar Lozano Perez et Rebekka Deubner, Virginie Huet, Valentine Fell, Mathis Berchery et David Lopez
Remerciements : aux autrices et auteurs ; aux interprètes Amélie Meyer et Nora Youcefi ; à La Horde du Contrevent d’Alain Damasio, à laquelle est emprunté le titre de l’émission ; enfin, à l’équipe de *Duuu.
That soft pink matter
Cotton candy, Majin Buu, oh, oh, ohh
Close my eyes and fall into you, you, you
My God, she’s giving me pleasure.
Jérôme Denis - Double rainbow
Tracklist:
Intro
- Condition Red, The Goodees
- Orange Light, Cool Ghouls
- Yellow Moon, The Viscaynes
- Little Green Apples, Dionne Warwick
- Hot, Blue And Righteous, ZZ Top
- Purple Reign, Future
- Pink Lemonade, Rejjie Snow
- In the Red Room, Adain Baker & Idklang
- Orange Milky White, Yawning Chasm
- Yellow Bird, Whishedbone
- Green, Hiroshi Yoshimura
- Blue Rose, Anna Wise
- Male in its first spring (Mayo, Florida), Passerin indigo
- Pink Matter, Frank Ocean (feat. André 3000)
- Wonderful Rainbow, Lightning Bolt
Outro
Une playlist proposée par Jérôme Denis sur une invitation de Camille Richert.
pensiero profondo parola protratta ritratto promessa ritorno protetta trascino pensiero profondo parola protratta ritratto promessa ritorno protetta trascino pensiero profondo parola protratta ritratto promessa ritorno protetta trascino
Marouchka Payen - Graceful Rituals
Tracklist :
- Parola (Rework), Donato Dozzy & Anna Caragnano
- Graceful Rituals, Graphic Latin
- Industrial Beam, Club Music
- The Siren (Losouls Hot Edit), Unknownmix
- Harley Davidson, Gina X Performance
- Will Einen Der Auf Mich Steht, Cora
- Good Times, Drinking Electricity
- Transdance (uk club mix), Nightmoves
- Idle Eyes (Clara 3000 Remix), C.A.R.
- Batucada, MR TC
- Bestialic Beat, Blind Vision
- Goya’s Skull, Whilst
- Occhi Di Serpente, Wow
- Snappin’, Kokomo
- Fade To Grey, NEON
Une playlist proposée par Marouchka Payen sur une invitation de Camille Richert.
Metabolism, metabolism
Salut, bah, herpes simplex
Meta, meta
Rosa, Rosa, Rosa.
Marion Ellena - Peace Of Mind Comes Piece By Piece
Tracklist:
- Dolls’ Polyphony, Geinoh Yamashirogumi
- I gotta find peace of mind, Lauryn Hill
- Big Sur, Kid 606
- Whiskey sour, Molly Nilsson
- Herpes Simplex, Rosa Yemen
- Susukan, Dijf Sanders
- I’m not always where my body is, Aïsha Devi
- Chö Chendren, Choying Drolma & Steve Tibbetts
- What you gonna do now?, Carla dal Forno
- Hunted, Lotic
- Sorts, Caterina Barbieri
- Everything in its right place, Radiohead
- Trav’lin’ light, Billie Holiday
Une playlist proposée par Marion Ellena sur une invitation de Camille Richert.
C’est une sorte de boucle, puisqu’elle-même a dans sa pratique ce jeu d’inviter des gens pour constituer ses propres expositions, qui sont faites d’invitations.
Julie Portier et Sophie Lapalu nous proposent une conversation entre Julien Bouillon et Eric Stephany invités par l’Entreprise Culturelle pour l’exposition RUN RUN RUN.
Musique :
- This Is How We Walk on the Moon, Arthur Russel (Labyrinth Ear Rework, 2011)
Une émission réalisée le 23 septembre 2016 par Sophie Lapalu et Julie Portier dans le cadre de l’exposition RUN RUN RUN à la Villa Arson de Nice, organisée à l’occasion des vingt ans de La Station.
“Dieu et la stéréo” du Reverend Père Lincoln : “L’auteur a dit que Dieu tenait à l’œil nos chaînes stéréo. Je ne sais pas ce qu’il voulait dire par là, mais il a donné un grand coup sur le bureau avec son livre.”
Nous sommes avec Eléonore Saintagnan au moment du démontage de son exposition personnelle Dieu et la Stéréo à Mains d’Œuvres. Nous allons faire une visite, accompagnés de Julie Portier.
Il y a des bruits qui nous entourent, et par dessus nous allons parler.
Une émission préparée par Simon Nicaise, enregistrée le 23 juin 2014 à Mains d’Œuvres, Saint-Ouen. Remerciement à Ann Stouvenel.