Émission en direct avec les étudiant·es de l’Ensba Lyon
C’est toujours difficile de parler des origines.
À l’occasion des 10 ans du salon d’édition Offprint London à la Tate Modern, du 16 au 18 mai, la radio *Duuu rediffuse une série d’entretiens autour de l’édition contemporaine réalisés avec le Centre national des arts plastiques (Cnap) et enregistrés durant le salon à Paris en novembre dernier. Les émissions sont menées par Victoire Le Bars.
Julie Pellegrin échange, en compagnie de l’artiste Myriam Lefkowitz, sur son livre (Non) Performance. A Daily Practice publié par T&P Publishing.
Une émission enregistrée en direct le dimanche 10 novembre 2024 dans le cadre du Salon Offprint Paris au Pavillon de l’Arsenal, en partenariat avec le Cnap.
Enregistrement et post-production : Morgane Charles, Esteban Capron et Arthur Bécart
Comme un moyen d’atterrir, de scanner l’espace plutôt que de regarder votre partenaire.
Au printemps 2025, *Duuu propose un programme axé autour des dispositifs sonores et situations “sans les yeux”. Les différents rendez-vous, ouverts au public et retransmis en direct à la radio, proposent d’altérer les situations de réception et de transmission, d’assumer un rapport sensible à l’inconnu, et de questionner son environnement physique, sonore, visuel.
WALK, HANDS, EYES (La Villette) - un atelier proposé par Myriam Lefkowitz le 5 mai 2025.
Walk, Hands, Eyes (a city) est un projet qui consiste en une expérience pour un spectateur et un guide, qui au cours d’une balade silencieuse dans une ville, tisse une relation particulière entre marcher, voir et toucher. Cet autre mode de perception consiste à suspendre temporairement son rapport à la vision et à observer les effets ainsi générés tant sur le plan sensoriel que sur le plan de son activité imaginante.
Dans quel(s) corps et dans quelle(s) ville(s) marche t-on alors ?
Après Gennevilliers, Medellin, Plymouth ou São Paolo, Myriam Lefkowitz forme un nouveau groupe de personnes pour qu’ils deviennent à leur tour guides et dépositaires de ces ballades. Les participant·es passent une paire d’heure dans une salle de répétition du Théâtre Paris-Villette pour échauffer le toucher et l’attention, puis testent ce que cette balade peut faire faire en la laissant les guider dans le quartier de la Villette et ses alentours. Iels se réunissent ensuite au studio *Duuu pour évoquer collectivement leurs impressions.
Les recherches de Myriam Lefkowitz (née en 1980), se concentrent sur les relations complexes qui se tissent entre sensations, perceptions et images. Pour partager ces questions elle conçoit des pratiques qui engagent la relation directe entre spectateuricess et performeureuses. Elle tente de créer les conditions pour que nous basculions vers des états de perception modifiés et d’observer comment cela affecte notre activité imaginante.
Enregistrement : Sampson Staples
Post-production : Amélie Du Ché
Avec le soutien de la ville de Paris et en collaboration avec le Théâtre Paris-Villette
On va tenter de voir si les personnes peuvent, par exemple déceler qu’un appareil est allumé ou éteint, et ça on va le faire, mais on va le faire en aveugle.
Black Mamba #6 : Nicolas Prignot
Black Mamba est un rendez-vous apériodique avec des personnes invitées à partager une recherche ou une pratique. Débuté en 2017, le programme de Black Mamba se dessine un rendez-vous après l’autre, par association plus que par anticipation.
Pour sa première édition depuis la pandémie, Black Mamba reçoit le philosophe Nicolas Prignot. On discutera d’électrosensibilité, de ce que font les personnes électrosensibles au dispositif du laboratoire en “double-aveugle”, et par extension des rapports entre parapsychologie et statistiques.
Cette séance suit celle d’Alfredo Hubard sur les sphères et leurs partitions, qui suivait celle de Sophie Houdart sur son enquête à Fukushima, qui suivait celle d’Aurélien Gamboni autour de l’écologie de l’attention, qui suivait celle de Cécile Lavergne sur la dépossession chez Judith Butler, qui suivait celle de François Sardi sur la crise des réfugiés.
Black Mamba – une série conçue par Alfredo Hubard, Myriam Lefkowitz et Simon Ripoll-Hurier
Une émission enregistrée le 01.12.21 au studio *Duuu / Folie N4, Parc de la Villette.
Réalisation : Valentin Fleury et William Maurice
Moi, j’ai l’impression que le dragon aurait besoin de Cupidon, tu vois.
Ouverture avant chantier (5/5)
Tirage du Tarot de Marseille par Myriam Lefkowitz
Pour préparer l’ouverture avant chantier de la Folie N4, Myriam Lefkowitz réalise pour l’équipe de *Duuu un tirage du tarot de Marseille pour tenter de circonscrire le futur de ce projet, ses ressources et ses obstacles.
Artiste chorégraphique née en 1980, Myriam Lefkowitz est correspondante régulière de *Duuu. Depuis 2010, sa recherche se focalise sur les questions d’attention et de perception. Recherche qu’elle développe à travers différents dispositifs immersifs pour un spectateur et un performeur.
Une émission réalisée le 24 mars 2018 dans la Folie N4 du Parc de la Villette.
Le guide demande au spectateur de fermer les yeux avant le départ et va lui proposer de les ouvrir le temps d’un flash, sur différentes images qu’il va extraire tout au long de son parcours.
Walks, Hands, Eyes (Gennevilliers) est un projet qui consiste en une expérience pour un spectateur et un guide, qui au cours d’une balade silencieuse d’une heure dans une ville, tisse une relation particulière entre marcher, voir et toucher.
Après Paris, Medellin, Plymouth ou São Paolo, Myriam Lefkowitz propose de former un groupe d’habitants de Gennevilliers pour qu’ils deviennent à leur tour guides et dépositaires de ces ballades. Ils seront ensuite susceptibles d’activer le dispositif dans la ville. À partir du projet Walk, Hands, Eyes (Gennevilliers), l’atelier mené par Myriam Lefkowitz a pour enjeu de faire en sorte que chaque participant soit, à l’issue de cette formation, dépositaire de la pratique de balade conçue par l’artiste et susceptible de guider un spectateur les yeux fermés dans la ville de Gennevilliers.
En alternant expériences à l’intérieur (en studio de danse) et à l’extérieur (dans les rues de la ville), elle met en partage les outils nécessaires à la compréhension et à l’activation de cette pratique - outils essentiellement basés sur une exploration des différents usages du regard, du toucher (celui qui permet d’installer la confiance avec le spectateur), de la marche (rythme et prise d’espace) et d’un jeu d’improvisation avec les éléments qui composent notre environnement urbain.
A l’issue de ces deux jours de formation, plusieurs partages publics sont organisés par *Duuu le 15 mai 2017 à l’espace Aimé Césaire, le 19 juillet au Parc des Sévines et le 17 septembre 2017 au T2G. Tout au long de ces journées, toute personne intéressée pourra prendre rendez-vous pour une balade et être guidée par les nouveaux guides gennevillois.
Une émission proposée par Myriam Lefkowitz.
As the vibration is accelerating, it contaminates the personn touching.
This feuilleton by Myriam Lefkowitz proposes a series of “attention exercises” which anybody can activate anytime, anywhere, just by following the artist’s voice. Those exercises come from a practice which has been developed for a few years, aiming to connect specific modes of attention to the imaginary activity.
Épisode 7 : Liquids (08’56)
Une émission proposée par Myriam Lefkowitz.
Her attention is constantly in-between two spaces.
This feuilleton by Myriam Lefkowitz proposes a series of “attention exercises” which anybody can activate anytime, anywhere, just by following the artist’s voice. Those exercises come from a practice which has been developed for a few years, aiming to connect specific modes of attention to the imaginary activity.
Épisode 6 : Strength (05’09)
Une émission proposée par Myriam Lefkowitz.
What happens when the person lying down cannot identify the source of the sensorial stimulation?
This feuilleton by Myriam Lefkowitz proposes a series of “attention exercises” which anybody can activate anytime, anywhere, just by following the artist’s voice. Those exercises come from a practice which has been developed for a few years, aiming to connect specific modes of attention to the imaginary activity.
Épisode 5 : Objects on the body (05’24)
Une émission proposée par Myriam Lefkowitz.
Sit on the floor with one object in front of you.
This feuilleton by Myriam Lefkowitz proposes a series of “attention exercises” which anybody can activate anytime, anywhere, just by following the artist’s voice. Those exercises come from a practice which has been developed for a few years, aiming to connect specific modes of attention to the imaginary activity.
Épisode 4 : With objects (06’19)
Une émission proposée par Myriam Lefkowitz.
Wherever you are, picture the dark matter around the outline of your body.
This feuilleton by Myriam Lefkowitz proposes a series of “attention exercises” which anybody can activate anytime, anywhere, just by following the artist’s voice. Those exercises come from a practice which has been developed for a few years, aiming to connect specific modes of attention to the imaginary activity.
Épisode 3 : Darkness (04’31)
Une émission proposée par Myriam Lefkowitz.
Let those movements move your body in space.
This feuilleton by Myriam Lefkowitz proposes a series of “attention exercises” which anybody can activate anytime, anywhere, just by following the artist’s voice. Those exercises come from a practice which has been developed for a few years, aiming to connect specific modes of attention to the imaginary activity.
Épisode 2 : The Floating Walk (04’00)
Une émission proposée par Myriam Lefkowitz.
Bring the attention to the volume of your pelvis.
This feuilleton by Myriam Lefkowitz proposes a series of “attention exercises” which anybody can activate anytime, anywhere, just by following the artist’s voice. Those exercises come from a practice which has been developed for a few years, aiming to connect specific modes of attention to the imaginary activity.
Épisode 1 : Eight (06’20)
Une émission proposée par Myriam Lefkowitz.
It’s a silent experience, but if anything bothers you, you let me know, OK ?
We are at the Bernardinu B&B House in Vilnius, Lithuania. It’s october 8th, 8 PM. Around the coffee table, 4 people : Lukas Brasiskis (film theorist), Viktorija Rybakova (artist and architect), Myriam Lefkowitz (performance artist) et Simon Ripoll-Hurier pour *Duuu radio.
This is the second part of a conversation about “Walk, Hands, Eyes (a city)”, a walking piece that Myriam Lefkowitz presented - inter allia - in June 2013 at the Cyprus-Lithuania Pavillon in the Venice Biennale, and in september at the CAC in Vilnius (as a part of the exhibition called “Illusionists”). Myriam Lefkowitz is now in residency at the Laboratoires d’Aubervilliers.
The conversation is punctuated by samples of sounds recorded during a walk with Eglė Mikalajūnė.
This conversation have been prepared by Myriam Lefkowitz and Simon Ripoll-Hurier, recorded and edited by Simon Ripoll-Hurier, and produced by the Contemporary Art Centre (CAC), Vilnius, on the invitation of Virginija Januškevičiūté.
It’s a work that I do for one person at a time. So I take one person at a time for a walk in a city during an hour. I ask the person before we start to close his eyes.
We are at the Bernardinu B&B House in Vilnius, Lithuania. It’s october 8th, 10 AM.Around the coffee table, 4 people : Kristupas Sabolius (philosopher), Dovilė Tumpytė (curator), Myriam Lefkowitz (performance artist) et Simon Ripoll-Hurier pour *Duuu radio.
This is a conversation in two parts, about “Walk, Hands, Eyes (a city)”, a walking piece that Myriam Lefkowitz presented - inter allia - in June 2013 at the Cyprus-Lithuania Pavillon in the Venice Biennale, and in september at the CAC in Vilnius (as a part of the exhibition called “Illusionists”). Myriam Lefkowitz is now in residency at the Laboratoires d’Aubervilliers.
The conversation is punctuated by samples of sounds recorded during a walk with Eglė Mikalajūnė.
This conversation have been prepared by Myriam Lefkowitz and Simon Ripoll-Hurier, recorded and edited by Simon Ripoll-Hurier, and produced by the Contemporary Art Centre (CAC), Vilnius, on the invitation of Virginija Januškevičiūtė.