Émission en direct avec les étudiant·es de l’Ensba Lyon
We eat kebap three times a week because it’s cheap and it’s good.
*Duuu Radio s’associe à Radio Vilnius le temps de la Saison de la Lituanie en France 2024.
Lietuvos Balsai #4 - Agnietė Lisičkinaitė
Lietuvos balsai est un cycle radiophonique enregistrée dans les studios et les espaces de travail d’artistes en Lituanie. Chaque semaine, à partir du 19 septembre, un portrait sonore d’un artiste participant à la Saison est diffusé sur *Duuu et Radio Vilnius.
En 2014, Agnietė Lisičkinaitė a obtenu une licence en danse contemporaine à l’Académie lituanienne de musique et de théâtre, et en 2015, un master en chorégraphie à l’Académie lituanienne de musique et de théâtre. Depuis 2016, elle est membre de l’Association de danse contemporaine (Lituanie). Ses débuts en tant que chorégraphe ont eu lieu en 2014. Depuis lors, elle travaille en Lituanie non seulement en tant qu’interprète, mais aussi en tant que chorégraphe, dansant actuellement au AIROS Dance Theatre, au Vilnius City Dance Theatre LOW AIR, au National Opera and Ballet Theatre, et à l’opéra “Idomenēos”. Cette année, elle a créé l’ONG “Without Company”, qui mène des activités artistiques et éducatives.
Le nom Les Voix de la Lituanie (Lietuvos balsai) fait écho à l’émission radio historique La Voix de l’Amérique (Amerikos balsas), qui, durant les décennies d’occupation soviétique, incarnait la voix de l’Occident libre transmise à travers le rideau de fer. Malgré les efforts des autorités soviétiques pour brouiller les émissions, Amerikos balsas restait une source précieuse d’informations pour les Lituaniens, alors privés du droit d’exprimer leur propre voix.
Aujourd’hui, Lietuvos balsai reprend ce symbole, mais dans un tout autre contexte. Ce nom ne fait plus référence à une voix extérieure, mais à une multitude de voix libres qui s’expriment désormais en Lituanie. Ces voix, qui résonnent à travers une grande diversité de personnalités et d’opinions, incluent à la fois ceux qui ont lutté pour la liberté et ceux qui sont nés dans un pays déjà libre.
C’est par la culture et les personnalités culturelles issues de disciplines variées que l’on peut véritablement percevoir la richesse de cette Lituanie diverse et unie dans la création. Les artistes, écrivains, musiciens et autres acteurs culturels lituaniens collaborent régulièrement dans des œuvres collectives et interdisciplinaires, révélant ainsi un pays où la diversité des perspectives se conjugue à une solidarité artistique. Les Voix de la Lituanie incarne donc cette pluralité culturelle, où chaque voix individuelle participe à un dialogue collectif, forgeant une identité culturelle riche et collaborative. Ces entretiens ont été menés avec un intérêt particulier pour les espaces de travail des artistes, leurs outils, leurs habitudes, et tous les sons qui résonnent dans leurs environnements.
Une série produite par Simon Ripoll-Hurier en collaboration avec Akvilė Kabašinskaitė pour *Duuu
Montage : Simon Ripoll-Hurier. Mixage : Sampson Staples
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la Saison de la Lituanie en France 2024.
Ce projet a été partiellement financé par l’Institut de la Culture Lituanienne et l’Institut Français.
Petits pas avec main cache les yeux droite puis gauche. Comme un crabe jambes écartées, massue côté, descends brutalement au sol.
«Les yeux élastiques» est un projet proposé par Lina Schlageter s’inscrivant dans ses recherches autour de l’écriture des mouvements du corps, du regard et de la voix. Quelle musicalité produit le parcours de l’attention et du regard d’un.e gymnaste durant un enchaînement de figures, s’il est transcrit sous forme de partition vocale ou sonore ?
En 2023/2024, *Duuu, radio d’art dédiée à la création contemporaine, invite l’artiste en résidence pour ce projet dans le cadre du dispositif Artistes & Sportifs Associés. L’artiste travaille en compagnie du club de gymnastique rythmique les Demoiselles des Lilas, afin de questionner la place du plaisir, du jeu et de l’impulsivité dans le mouvement en général et dans cette pratique sportive en particulier.
Cette année de résidence, ponctuée par des temps d’observation, de notation et d’échanges avec les gymnastes, à permis à Lina Schlageter de produire des partitions hybrides entre texte, dessins et notation Laban, qui mettent en regard le corps et la voix des sportives. La technique Laban est un système de notation du mouvement des corps humains sur une partition, conceptualisé par Rudolf Laban en 1928. Elle permet d’interroger les mutations possibles du corps et les enjeux de propriété d’un geste rythmique, d’un langage et de sa traduction écrite. L’artiste s’est appuyé sur des enregistrements sonores réalisés en compagnie de *Duuu Radio et avec les sportives, qui permettent de recomposer la musicalité de leurs gestes et de retranscrire le langage spontané des gymnastes.
Lina Schlageter a réalisé une édition regroupant les partitions écrites, et composé une pièce sonore qui donne à entendre les mouvements et sonorités des enchaînements sportifs. Cette pièce sonore, diffusée et archivée sur *Duuu Radio, a donné lieu à une performance artistique des gymnastes à l’occasion du gala des Demoiselles des Lilas en juin 2024.
Conception : Lina Schlageter
Avec la participation des Demoiselles des Lilas : Mélodie, Nataljia, Alice, Tamara, Nawel, Carmen, Manon, Ana, Noa, Kahina, Lisa, Melyna, Selena, Mayssane, Margot, Leïa et Elisa.
Voix : Helena De Laurens
Montage et mixage : Romain Hamard
Prise de son et technique : Elen Huynh et Sampson Staples / Duuu Radio
Coordination : Sarah Banville / Duuu Radio
Ce projet a reçu l’attribution du label Olympiade Culturelle, et est soutenu par la Ville de Paris, le Département de la Seine-Saint-Denis et la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France – Ministère de la Culture.
Je soulève son bras, je le traîne au sol, je l’amène sur plusieurs mètres traîné au sol, je le dépose, je regarde la forme qu’il trace au sol. Et je m’installe en symétrie de son corps au sol, allongé, et on reste comme ça quelque temps.
The Collective Laboratory est un projet du Mudam Luxembourg – Musée d’Art Moderne Grand-Duc Jean, développé par Line Ajan et Clémentine Proby de novembre 2023 à janvier 2024 pour aborder, questionner et repenser pratiques artistiques collectives et méthodologies institutionnelles. Six collectifs européens évoluant dans les champs de l’édition et de la performance ont été invités à occuper les espaces d’exposition du musée, les transformant temporairement en résidence d’artiste. Le temps de deux semaines, leurs membres ont fait des galeries vides leur espace de production, de répétition et d’expérimentation.
Dans le cadre de ce projet, Théo Robine-Langlois réalise un format radiophonique pour *Duuu en six épisodes, diffusés les lundis et mardis du 22 avril au 7 mai 2024 à 18:00.
Episode 3 : crème soleil - en résidence du 11.12 au 23.12
crème soleil est un collectif créé à Paris en 2021 par les chorégraphes, danseur·euse·s et artistes Tilhenn Klapper, Félix Touzalin et Anaïs Barras. Formé à la danse par Emmanuelle Huynh et nourri par les traditions de la danse postmoderne et contemporaine telle que la non-danse, le collectif crème soleil se distingue par une approche expérimentale qui articule la chorégraphie avec l’utilisation de voix, de musique, la construction et la manipulation d’objets plastiques et l’interaction avec le public, de manière à convoquer des réalités passées, imaginées ou fantasmées.
Au cours de leur résidence au Mudam, crème soleil se propose d’adapter une performance existante intitulée Horse Pill (2022) à un contexte muséal. Se conformant aux murs blancs de l’institution, aux contraintes techniques et aux flux des visiteur·euse·s, crème soleil investit la galerie comme un espace de répétition ouvert et un atelier pour perfectionner leurs éléments de scénographie avant de faire de la galerie une véritable scène de performance.
Réalisation : Théo Robine-Langlois
Production : *Duuu radio
Montage : Théo Robine-Langlois et Noé Mignard
Prise de son et mixage : Noé Mignard
Je rêve d’un monde où on n’ait pas besoin de tagguer des clitoris ou des pénis sur les murs.
Les Voix de la Vallée #06 : Laura Berlingo et François Chaignaud
Danse, éducation sexuelle et exploration des potentiels du corps
Dans le cadre de l’exposition La Vallée de Fabrice Hyber, la Fondation Cartier invite Laura Berlingo, gynécologue obstétricienne, et François Chaignaud, danseur et chorégraphe, au programme de cours du soir Les Voix de la Vallée. Au sein de l’exposition, ils dialoguent en public afin d’éprouver les hypothèses proposées par Fabrice Hyber dans ses toiles.
Prenant appui sur l’œuvre Je sais n° 5, Laura Berlingo et François Chaignaud passent du savoir théorique à la connaissance pratique en reprenant la formule du poète Pierre Giquel : « On vous donne un corps, diffusez-le ! » et échangent sur les thèmes de la danse, de la sexualité, de sa représentation et de l’exploration des potentiels du corps.
“Les Voix de la Vallée”, une proposition de Fabrice Hyber, produite par la Fondation Cartier et réalisée en collaboration avec *Duuu Radio proposé chaque semaine dans le cadre de l’exposition “La Vallée” consacrée à la peinture de Fabrice Hyber et présentée du 8 décembre 2022 au 30 avril 2023.
Laura Berlingo
Laura Berlingo est gynécologue obstétricienne, spécialisée en santé sexuelle et soin aux femmes victimes de violence. Elle a travaillé à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris où elle a participé à l’émergence d’une Maison des Femmes et est actuellement médecin en libéral. Enseignante à Sorbonne Université, elle a créé le Diplôme Universitaire « Santé Sexuelle pour tous·tes » qui a pour but d’articuler santé sexuelle et lutte contre les violences, notamment les violences de genre. Engagée dans les questions d’éducation sexuelle, elle s’est faite connaître du grand public par le podcast « Coucou le Q » où elle abordait des questions de sexualité avec les adolescents et est par ailleurs très active sur Instagram, Twitter et YouTube. Elle a écrit l’essai Une sexualité à soi, publié en janvier 2021 aux éditions Les Arènes, où elle appelle à une sexualité libérée des normes.
François Chaignaud
Diplômé en 2003 du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, François Chaignaud a dansé pour de nombreux.ses chorégraphes (Alain Buffard, Boris Charmatz, Emmanuelle Huynh…). Depuis sa première pièce en 2004, il tisse pour la danse le rêve d’une expression globale marqué par l’articulation du chant et de la danse (Думи мої), mais aussi par un rapport approfondi à l’histoire, dans ses créations comme dans ses collaborations. De 2005 à 2016, il crée avec Cecilia Bengolea plusieurs spectacles marquants présentés dans le monde entier. Il fonde en 2021 Mandorle Productions, affirmant une démarche artistique appuyée sur la coopération avec de nombreux artistes (Nino Laisné, Marie-Pierre Brébant, Akaji Maro, Dominique Brun…). Il crée également des pièces pour de grands groupes d’interprètes comme t u m u l u s avec Geoffroy Jourdain (2022). Il prépare actuellement Mirlitons avec le beatboxer Aymeric Hainaux. Il est artiste associé à Bonlieu Scène Nationale d’Annecy, à Chaillot, Théâtre National de la Danse et à la Maison de la Danse de Lyon.
Production : *Duuu Radio / Loraine Baud et Simon Nicaise
Réalisation, montage et mixage : Elen Huynh, Paul Castillon, Antoine Bérenger et Oscar Berger
Habillage sonore : Simon Ripoll-Hurier
Dans le vaudou, une des premières choses qui m’a surprise c’est que les gens gardent généralement leurs chaussures et restent debout. Alors qu’à Zanzibar, en général, quand les esprits arrivent, ils descendent à terre.
STATION DEBOUT est un projet de radio proposé par la Cie Greffe et l’ADC.
Cette année, la dramaturge Michèle Pralong accueille deux personnes de disciplines différentes pour réfléchir aux temporalités et disruptions qui s’appliquent à nos existences aujourd’hui, et instituent de nouveaux styles de vie. Une heure à bâtons rompus. En gardant l’œil sur l’art et la création, tant du point de vue de la production que de la réception. Que nous fait le temps ?
Danseur et chorégraphe, Loïc Touzé crée des pièces de danse, réalise des films, invente avec d’autres artistes des objets protéiformes. Il travaille depuis 2010 avec l’artiste et chercheur Mathieu Bouvier autour de la notion de Figure(s).
Docteur en anthropologie, Marco Motta est actuellement postdoctorant à l’Université de Johns Hopkins à Baltimore. Il vient de publier Esprits fragiles. Réparer les liens ordinaires à Zanzibar,sur le compagnonnage difficile entre les esprits et les habitants de quartiers défavorisés.
_
La thématique 2019 – ACCÉLÉRATIONS
accélérer / gober une série TV à 1,5x la vitesse de défilement normal / surfer sur un torrent de mails au retour du week-end / encaisser une accélération / rêver malgré tout de l’instantanéité de la 5G / encaisser plusieurs accélérations / apprendre qu’avec une recherche Google, on met en mouvement la même quantité de puissance informatique que celle ayant permis d’envoyer Armstrong sur la Lune / penser à son prochain film avant même d’avoir terminé d’écrire l’actuel / vouloir décélérer / vouloir décélérer / vouloir décélérer / avoir à peine commencé une série de représentations d’un spectacle qu’elle est déjà terminée / tailler dans les temps de recherche / penser que nos capacités cognitives elles aussi gobent, encaissent, surfent, taillent / savoir tout sur tout et tous à chaque moment / examiner les rythmes esthétiques actuels, de la poésie, du cinéma, de la scène / se demander si l’oralité / pourquoi la production / quand le decrescendo /
Un projet de la CIE GREFFE et de l’ADC, association pour la danse contemporaine
La cie Greffe est la compagnie de la chorégraphe et interprète Cindy Van Acker, artiste associée à la programmation de l’ADC (l’association pour la danse contemporaine), lieu de créations et d’accueils de spectacles de danse à Genève.
Concept : Cindy Van Acker
Programme : Michèle Pralong, Cindy Van Acker et Anne Davier
Son : Denis Rollet
Scénographie : Victor Roy
La frontière n’est pas une réalité préexistante, mais elle est tout le temps renforcée ou transgressée par à la fois par des discours, des représentation, des corps, des performances, des pratiques spatiales…
SIXIÈME VOLET : ELENA BISERNA
Elena Biserna est chercheuse et curatrice indépendante. Sa recherche porte sur l’écoute, les arts sonores et les pratiques contextuelles liées aux dynamiques urbaines, aux processus socio-culturels et à la sphère du quotidien. Pour cette dernière émission de STATION DEBOUT, dans la série oreilles, on évoque avec elle l’histoire et les réalités actuelles des promenades sonores, notamment au travers de son projet Walking from Scores ; la manière dont la voix, le son, permettent d’ausculter certaines relations de domination liées au genre; et les frontières telles que le son vient les traverser, les dématérialiser, les transformer.
STATION DEBOUT est un projet de radio piloté par la dramaturge et metteure en scène Michèle Pralong. L’interlocuteur permanent de la saison 18/19 est Vincent Barras, historien de la médecine et des sciences, théoricien du son, traducteur et performeur. A chaque rencontre, un.e invité.e entre en dialogue avec eux sur une thématique donnée. Chambres d’écho de la saison de danse de l’ADC, ces émissions ouvrent un espace de réflexion, de critique, d’émulation et de stimulation entre chercheurs, professionnels de la scène et public.
Un projet de la CIE GREFFE et de l’ADC, association pour la danse contemporaine
La cie Greffe est la compagnie de la chorégraphe et interprète Cindy Van Acker, artiste associée à la programmation de l’ADC (l’association pour la danse contemporaine), lieu de créations et d’accueils de spectacles de danse à Genève.
Concept: Cindy Van Acker
Programme: Michèle Pralong et Vincent Barras
Technicien son: Denis Rollet
Scénographie plateau: Victor Roy
Radio Partenaires: Radio Vostok et *Duuu
En toute logique, tout discours s’invente sa propre rythmique, qu’il soit scientifique, poétique.
CINQUIÈME VOLET :
Sophie Klimis est la deuxième invitée de STATION DEBOUT pour ce volet 2019 qui s’intéresse à l’oreille. Les recherches de cette professeure de philosophie aux Facultés Universitaires Saint-Louis de Bruxelles portent essentiellement sur les rapports entre philosophie et tragédie et sur la philosophie politique contemporaine. Elle examine ici la relative surdité des philosophes, qui occultent souvent le son au profit du sens seul, et va chercher notamment chez Nietzsche une oreille pour le rythme de la pensée, pour la musique et la danse de la philosophie. Chez Homère aussi, avec une idée saisissante : ce qui fait que la vie vaut d’être vécue, c’est d’écouter ensemble.
STATION DEBOUT est un projet de radio piloté par la dramaturge et metteure en scène Michèle Pralong. L’interlocuteur permanent de la saison 18/19 est Vincent Barras, historien de la médecine et des sciences, théoricien du son, traducteur et performeur. A chaque rencontre, un.e invité.e entre en dialogue avec eux sur une thématique donnée. Chambres d’écho de la saison de danse de l’ADC, ces émissions ouvrent un espace de réflexion, de critique, d’émulation et de stimulation entre chercheurs, professionnels de la scène et public.
Un projet de la CIE GREFFE et de l’ADC, association pour la danse contemporaine
La cie Greffe est la compagnie de la chorégraphe et interprète Cindy Van Acker, artiste associée à la programmation de l’ADC (l’association pour la danse contemporaine), lieu de créations et d’accueils de spectacles de danse à Genève.
Concept: Cindy Van Acker
Programme: Michèle Pralong et Vincent Barras
Technicien son: Denis Rollet
Scénographie plateau: Victor Roy
Radio Partenaires: Radio Vostok et *Duuu
On pourrait distinguer différents types de pré-mouvement, il y a un prémouvement très lisible qui est un mouvement anticipatoire : avant de lancer un ricochet, je vais passer mon bras de l’autre côté du plan de lancement.
TROISIÈME VOLET : CHRISTINE ROQUET
Pour cette dernière émission radiophonique autour de la thématique du corps, nous accueillons CHRISTINE ROQUET, docteure en esthétique, sciences et technologies des arts. Christine Roquet pratique une approche systémique du geste expressif, et s’intéresse notamment aux dimensions somatiques du mouvement. Dernière publication: “La lecture du geste, un outil pour la recherche en danse”, dans la Revue Cena.
STATION DEBOUT est un projet de radio piloté par la dramaturge et metteure en scène Michèle Pralong. L’interlocuteur permanent de la saison 18/19 est Vincent Barras, historien de la médecine et des sciences, théoricien du son, traducteur et performeur. A chaque rencontre, un.e invité.e entre en dialogue avec eux sur une thématique donnée. Chambres d’écho de la saison de danse de l’ADC, ces émissions ouvrent un espace de réflexion, de critique, d’émulation et de stimulation entre chercheurs, professionnels de la scène et public.
Trois prochaines émissions en 2019 :
lu 14.01 — 19h — avec Matthieu Saladin
lu 04.03 — 19h — avec Sophie Klimis
lu 01.04 — 19h — avec Annie Suquet
Un projet de la CIE GREFFE et de l’ADC, association pour la danse contemporaine
La cie Greffe est la compagnie de la chorégraphe et interprète Cindy Van Acker, artiste associée à la programmation de l’ADC (l’association pour la danse contemporaine), lieu de créations et d’accueils de spectacles de danse à Genève.
Concept: Cindy Van Acker
Programme: Michèle Pralong et Vincent Barras
Technicien son: Denis Rollet
Scénographie plateau: Victor Roy
Radio Partenaires: Radio Vostok et *Duuu