La matinale dédiée à l’actualité de la création contemporaine, tous les mercredis de 9:15 à 10:00 en direct sur *Duuu Radio.
Avec ce mois-ci : Justin Morin, Pascal Montfort et Julie Duval (accompagnée Juliette Bayi).
Je sors de chez moi. Je regagne ma voiture, je la démarre. Je suis en train de rouler. Pour l’instant tout se passe bien.
Mosaïque des Lexiques #14 : En retard / Les Laboratoires d’Aubervilliers
Une soirée conçue par Anaïs Ang et Vanessa Morisset.
Elsa Michaud et Gabriel Gauthier ont tourné un film à suspense ;
Ondine Cloez danse hors d’elle-même ;
Agathe Berthaux Weil défend la cause du retard ;
Étudiantes et étudiants d’art de Toulouse traquent l’esprit d’escalier ;
La Banque de jeu Pharaon de Thomas Dunoyer de Segonzac chante ses “dés laids » ;
Pascale Murtin chante deux ou trois chansons.
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Réalisation, prise de son : Valentin Fleury
Montage : William Maurice
Écriture : Loraine Baud
Jingle : Julien Brulé
Enregistrée le Vendredi 1er avril 2022.
Nous avons reçu votre fax et nous voulions juste vous faire savoir que nous avions un certain dégoût pour les commentaires que vous avez faits.
Mosaïque des Lexiques #13 : Parler d’art / Les Laboratoires d’Aubervilliers
Poursuivant un nouveau volet de la Mosaïque des Lexiques consacré au thème du TRAVAIL, la soirée s’intitule “parler d’art”.
Liv Schulman, artiste argentine, traduit à la volée une nouvelle de César Aira ;
Gallien Dejean, éditeur, présente le groupe FAX BANK et leur correction acharnée des communiqués de presse artistique ;
Reine Prat, autrice, raconte une Histoire de l’effacement ;
Antoinette Ohannessian et François Hiffler, chercheur.ses improvisées, esquissent une étude de vocabulaire ;
Theodoor Kooijman, artiste peintre, montre quelques toiles sans paroles ;
Pascale Murtin, chanteuse, prononce des mots dare dare ;
Gabriel Gauthier, auteur, demande par lettre officielle une bourse d’écriture.
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Réalisation, prise de son : Valentin Fleury
Montage : William Maurice
Écriture : Loraine Baud
Jingle : Julien Brulé
Enregistrée le 4 mars 2022.
Oui ça fait un moment que je me dis que l’admin des rôles mutualisés où tu peux faire tous les combos ésotériques est overkill.
Mosaïque des Lexiques #12 : Vocabulaires d’entreprise / Les Laboratoires d’Aubervilliers
Inaugurant un nouveau volet de la Mosaïque des Lexiques consacré au thème du TRAVAIL, la soirée s’intéresse aux “vocabulaires d’entreprise” :
Julie Réal recense des compétences dans les termes requis par Pôle Emploi
Anne Attali, Cécile Saint-Paul et Antoinette Ohannessian exposent le bilan de leurs entreprises respectives
Stéphanie Arquié et Margot Videcoq traduisent un jargon professionnel
Thierry Grosjean, consultant en communication, et Danièle Atala, formatrice, présentent l’univers du POWERPOINT
François Hiffler prend des notes en tant qu’opérateur culturel
deux vidéos de Louise Siffert incitent au développement personnel.
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Réalisation, prise de son : Valentin Fleury
Montage : William Maurice
Écriture : Loraine Baud
Jingle : Julien Brulé
Enregistrée le 4 février 2022.
Un perroquet et un correcteur. Le perroquet est armé d’un casque avec un micro. Dans son casque, il entend le direct avec environ 5/6 secondes d’avance sur le reste du public.
Mosaïque des Lexiques #11 : ne pas traduire / Les Laboratoires d’Aubervilliers
Madeleine Aktypi parlera au moins grec, anglais, français,
Etienne Charry jouera live la reprise d’un tube imaginaire,
Jude Joseph racontera la chèvre de M. Seguin en créole haïtien,
Pascale Murtin embrouillera avec des chansons brèves,
Naïma Pierre expliquera le métier de perroquet,
Pascal Poyet explorera une fois encore les limites de la traduction,
Julie Réal décrira des corps avec des mots.
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Réalisation, prise de son : Valentin Fleury
Montage : William Maurice
Écriture : Loraine Baud
Jingle : Julien Brulé
Enregistrée le 3 décembre 2021.
Au bout de quatre heures, j’ai remarqué que quelque soit la suite de mots prononcés, j’obtenais en retour une suite de mots. Durant les cinq premières minutes de notre seconde conversation, Sabine a prononcé cent dix mots.
Mosaïque des Lexiques #10 : Revenir
Sabine Macher et Antoinette Ohannessian reviennent sur des conversations passées et une chanson ancienne,
Larissa Clement Belhacel part en quête d’une langue oubliée,
Valentin Lewandowski lit des épitaphes,
Cécile Paris fait chanter un fantôme avec Marie-Bénédicte Cazeneuve,
Anderson H. S. Vieira - aux côtés des musiciens Jonathan Edo, Ayrald Petit et Kayodê Encarnação - écarte en dansant le spectre de la variole.
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Réalisation, prise de son et montage : Léo Roche et Valentin Fleury
Écriture : Loraine Baud
Jingle : Julien Brulé
Enregistrée le 5 novembre 2021.
Même pour pleurer ou tuer, ils ne lèvent qu’un bras amorti par le sommeil.
Chaque jeudi de la semaine, une personne en invite une autre pour lire à voix haute des textes choisis.
Sabine Macher invite Yu-Wen Wang pour lire une pièce nô (c’est quoi ?) écrite, traduite, retraduite, relue. Avec la participation clandestine de Filipe Pereira.
Née en Allemagne de l’Ouest, Sabine Macher danse, écrit, traduit et photographie des choses immobiles. Elle alterne des propositions personnelles sous forme de livres, pièces sonores, performances, pièces scèniques avec l’inscription dans l’espace d’autres artistes. Cet ensemble de désirs et d’activités produit des formes tantôt collectives, tantôt solitaires, en tension entre l’intime et le social, le théâtre et l’espace urbain, articulées par la rencontre et le hasard.
Née à New Taipei (Taïwan), Yu-Wen Wang est étudiante en 4ème année à l’École supérieure d’art de Bordeaux. Revisitant son identité depuis un pays étranger et interrogeant son statut donné par la société, elle développe ses recherches sur l’appropriation de la langue et du territoire. Elle s’intéresse aux questions de déplacement, à l’installation, à l’appropriation d’un lieu, entre autres comment l’identité prend-elle corps dans le paysage. Ses travaux prennent la forme de performances, de vidéos, d’installations et de récits.
Chorégraphe, performeur, scénographe, éclairagiste ou designer floral, Filipe Pereira crée des objets et des installations, dont récemment la conférence-performance Arranjo Floral (2020). Il collabore régulièrement avec les chorégraphes Teresa Silva, Sofia Dias et Vitor Roriz ou João dos Santos Martins.
Une émission proposée par Les Laboratoires d’Aubervilliers, enregistrée le jeudi 22 juillet 2021 dans le Jardin des Laboratoires.
Peut-être une chaise, une lampe, un diffuseur de son, un support pour s’allonger, un support pour penser, pour se concentrer et un support pour se rencontrer.
Chaque jeudi de la semaine, une personne en invite une autre pour lire à voix haute des textes choisis.
Entre le 6 et le 13 juillet 2021, Yves Winkin et Emmanuelle Lallement participent au colloque du Centre culturel international de Cerisy-la-Salle (CCIC) sur le thème « L’enchantement qui revient ». Le CCIC organise depuis 1952 des rencontres d’une semaine qui se donnent pour objectif de se mettre en retrait du monde pour le penser à nouveaux frais. Cerisy peut donc être vu comme un lieu utopique, un lieu d’enchantement. Mais dans quel état en revient-on, après une semaine d’immersion totale ? À partir de textes sur les familistères, Emmanuelle Lallement et Yves Winkin se demanderont comment penser les utopies concrètes aujourd’hui.
Professeur extraordinaire émérite de l’Université de Liège et Professeur honoraire du Conservatoire national des arts et métiers, Yves Winkin a introduit dans le monde francophone diverses thématiques des sciences sociales américaines, qu’il a intégrées dans une « anthropologie de la communication » fondée sur une démarche ethnographique. Il a été directeur adjoint de l’École normale supérieure de Lyon, en charge de la recherche et de l’international, directeur de l’Institut français de l’Education et directeur du musée des Arts et Métiers de janvier 2015 à janvier 2019, en veillant dans les expositions qu’il a initiées à croiser la diffusion des sciences et techniques avec diverses expressions artistiques contemporaines.
Emmanuelle Lallement est anthropologue, professeure des universités à l’Institut d’Etudes Européennes de l’Université Paris 8, membre du Laboratoire Architecture, Ville, Urbanisme, Environnement (LAVUE). Ses recherches en anthropologie urbaine portent sur la fabrication de la ville par la culture et l’événementiel festif, les situations d’échange marchand et les mobilités dans le cadre de la globalisation. Elle a notamment publié La ville marchande. Enquête à Barbès (Téradère 2010) et Paris Résidence Secondaire (Belin, 2013) et a dirigé en 2018 le numéro 38 de la revue Socio-Anthropologie “Eclats de fête”. Elle est responsable de l’axe “Penser la ville contemporaine” de la Maison des Sciences de l’Homme Paris-Nord.
Une émission proposée par Les Laboratoires d’Aubervilliers, enregistrée le jeudi 15 juillet 2021 dans le Jardin des Laboratoires.
J’ai seize ans et je suis un enfant de huit ans. C’est difficile à comprendre. Ce n’est pas facile à comprendre.
Chaque jeudi de la semaine, une personne en invite une autre pour lire à voix haute des textes choisis.
Nathalie Quintane invite Stephen Loye, la soirée porte sur les 17 derniers livres qu’ils ont lus.
L’obsolescence de l’homme (Günther Anders, Ivrea)
Mon dernier soupir (Luis Bunuel, Ramsay)
Soleil noir (Julia Kristeva, Gallimard)
Une anthologie poétique (Raoul Haussman, al dante)
L’enfer (Stéphane Bérard, al dante)
Correspondance (Büchner, Bourgois)
Les granules bleues (Anne Parian, P.O.L.)
Le nez qui voque (Réjean Ducharme, folio Gallimard)
Non (Anne Boyer, Presses séparées de Marseille)
Sir Bob (Tristan Corbière, Flammarion)
Le Gabion (Théo Robine-Langlois, after8 books)
La guérison infinie, Histoire clinique d’Aby Warburg (Rivages poche)
interview de Genesis P-Orridge (in Modulations, Allia)
Nathalie Quintane, poète et performeuse née en 1964. Elle publie ses livres essentiellement chez P.O.L. et depuis quelques années également à la Fabrique. Derniers ouvrages parus : Un hamster à l’école (La Fabrique, 2021) et J’adore apprendre plein de choses (Hourra éd. 2021).
A paraître : La cavalière (P.O.L., octobre 2021).
Stephen Loye, artiste et cinéaste né en 1989, développe un travail polymorphe sur la question de l’image, dessinée, montée et remédiée. Il vit entre Paris et les Alpes de Haute-Provence où il est né et où s’ancre une partie de sa recherche.
Une émission proposée par Les Laboratoires d’Aubervilliers, enregistrée le jeudi 8 juillet 2021 dans le Jardin des Laboratoires.
Essayez à l’occasion. Prenez dans la main droite une bouteille de vinaigre, dans la main gauche, un morceau de craie. Laissez tomber quelques gouttes de vinaigre sur le morceau de craie et observez ce qu’il se passe.
Chaque jeudi de la semaine, une personne en invite une autre pour lire à voix haute des textes choisis.
Aurélia Declercq invite Francis Schmetz, plasticien belge. Francis lira l’Histoire chuchotée de l’art de Robert Filliou alors qu’Aurélia interviendra par la voix d’une rumeur.
Aurélia Declercq (1993) est née à Bruxelles et vit à Paris. Après un diplôme en psychologie clinique et des recherches sur la fonction du néologisme dans les processus langagiers dits psychotiques à l’Université Libre de Bruxelles, elle rejoint l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris afin de poursuivre ses réflexions sur la matérialité du langage. RIKIKI, son premier livre, est publié en 2021 aux Éditions de l’Attente.
Francis Schmetz (1957) est un artiste plasticien, poète et calligraphe né à Eupen. Il est un frontalier. Subtilement passant les frontières, le langage est son médium de prédilection. En tant qu’habitant des Cantons de l’est, il est naturellement à l’aise dans deux langues : la langue allemande apprise à la maison et la langue française apprise à l’école. Les deux langues se chevauchent poétiquement dans ses dessins, écrits et notes.
Une émission proposée par Les Laboratoires d’Aubervilliers, enregistrée le jeudi 1er juillet 2021 dans le Jardin des Laboratoires.
Je suis parfaitement capable d’apprendre à un enfant noble à devenir un mauvais homme.
Le jeudi de la semaine #4 : “Le Roman de Silence”
Ondine Cloez invite Clémence Galliard et Anne Lenglet
Chaque jeudi de la semaine une personne en invite une autre pour, le temps d’un apéro dans le jardin des Laboratoires, lire à voix haute des textes choisis.
Ondine Cloez se forme à la danse classique puis s’installe en 1998 à Bruxelles et étudie à PARTS pendant trois ans. En 2002, elle participe à la formation Ex.e.r.ce au Centre Chorégraphique National de Montpellier. Elle est interprète depuis quinze ans auprès de plasticiens (Jocelyn Cottencin, Julien Chevy…), de metteurs en scène (Antoine Defoort & Halory Goerger, Grand Magasin), et surtout de chorégraphes (Laurent Pichaud, Mathilde Monnier, Rémy Héritier, Sara Manente, Jaime Llopis, Marcos Simoes, Linda Samaraweerova…). Elle co-signe avec Michiel Reynaert et Sara Manente la vidéo Some Performances et le projet in situ Grand Tourists (2009). En 2006, sa rencontre avec Loïc Touzé avec qui elle collabore pendant dix ans, sera déterminante pour la suite de son parcours. En Janvier 2018, elle crée sa première pièce Vacances vacance, un monologue fait d’aller-retours entre la pensée et le corps, de voyages vers l’absence, le vide et la grâce. Elle travaille actuellement à la création L’art de conserver la santé, qui prend comme point de départ les aphorismes du Regimen Sanitatis Salernitanum ou l’art de conserver la santé, un ouvrage anonyme du XIIIème siècle.
Une émission proposée par les Laboratoires d’Aubervilliers.
Quel âge je te donne ? C’est délicat hein…
Le jeudi de la semaine #3 : “Family Business”
Sophie Sénécaut invite Lode Thiery
Chaque jeudi de la semaine une personne en invite une autre pour, le temps d’un apéro dans le jardin des Laboratoires, lire à voix haute des textes choisis.
Sophie Sénécaut
J’ai étudié l’art dramatique à l’université de Lille 3 arts du spectacle et à l’I.N.S.A.S, sortie de cette école depuis plus d’une dizaine d’années, j’ai travaillé et continue de travailler au sein de différentes compagnies de théâtre bruxelloises comme Garçongarçon (Salvatore Calcagno), (E)Utopia (Armel Roussel), Venedig Meer (Florence Minder), Présage d’Innocence (Sofie Kokaj), les Viandes Magnétiques (Jean-Baptiste Calamme), Mariedl (Selma Alaoui), Diplex (Céline Orhel). J’ai également joué sous la direction de Marine Dricot dans les clips : Eight is the Figure du groupe The Robbing Millions, Guinea Pig et Walk du groupe Girls in Hawai, Two tides of ice des The Van Jets, et Blitz d’Etienne Daho; et tourné dans les courts métrages : Kaniama Show de Baloji Tshiani, Sans frapper d’Alexe Poukine, Marlone de Tom Adjibi et Le Lion belge de Parlaku Nim.
Lode Thiery
Je suis né en ’89. Je suis Bruxellois, néerlandophone, alors quand j’ai du choisir une école pour commencer mes études de théâtre, j’ai opté pour le Lemmensinstituut (une école supérieure à Leuven). L’envie de jouer dans une langue qui n’était pas le mien m’a poussé à continuer mes études dans une école francophone. Après avoir terminé deux ans au Lemmensinstituut, l’IAD m’a accepté en tant que étudiant en troisième année. C’est dans cette école-ci que j’ai optenu mon diplôme en arts dramatique en 2013. Depuis ma sortie d’école, j’ai surtout joué avec la compagnie [e]Utopia, d’Armel Roussel. À présent j’ai fait partie de trois création sous sa direction, Ondine (démontée), passez-commande et
L’éveil du printemps. En dehors de ces spectacles, j’ai joué dans les fourberies de Scapin, de Marc Paquien et dans Quartier 3, destruction totale, mis-en-scène par Olivier Boudon. Je continue également de jouer en Néerlandais, mais c’est, à l’heure actuel, uniquement du travail face caméra. En 2017, Amandine Laval, Romain Cinter et moi-même avons monté la compagnie Surpeuplé/Overbevolkt, avec laquelle nous faisons des recherches théâtrales.
Une émission proposée par les Laboratoires d’Aubervilliers.
Que la mort douce soit.
Le jeudi de la semaine #2 : “Et on commence avec Délie !”
Martine Pisani invite Clément Aubert et Yasmine Youcef
Chaque jeudi de la semaine une personne en invite une autre pour, le temps d’un apéro dans le jardin des Laboratoires, lire à voix haute des textes choisis.
Martine Pisani se lance dans la danse à 22 ans et devient interprète dans les spectacles du groupe Dunes basé à Marseille. Parallèlement elle suit des stages, en particulier avec Odile Duboc et avec des chorégraphes américains qui lui donnent le goût d’une danse débarassée de tout formalisme. Elle crée La compagnie du solitaire en 1992 et une vingtaine de pièces dont Fragments tirés du sommeil, Le grand combat, Là où nous sommes, L’air d’aller, sans, Slow down, Bande à part, Contre Bande, Hors sujet ou le bel ici.
Derniers travaux : rien n’est établi, as far as the eye can hear, le film réalisé à partir de son trio éponyme, Grandeur nature.
En 2017, elle crée UNDATED avec dix interprètes ayant tous déjà dansé dans ses pièces, à partir de l’idée improbable de montrer tous ses spectacles simultanément au même endroit. Elle travaille actuellement à la production de Bouillir le vide, un récital (solo 2020).
Clément Aubert a découvert la danse contemporaine à l’Université de Tours. De 2008 à 2011, il danse pour la compagnie Jackie Taffanel à Montpellier. Il intègre en 2009 la formation Transforme liée au Programme de Recherche et de Composition Chorégraphiques de l’Abbaye de Royaumont alors dirigé par la chorégraphe Myriam Gourfink et dansera pour cette dernière de 2011 à 2016. Entre 2015 et 2017, il est interprète et collaborateur de Vincent Dupont. Praticien certifié en Feldenkrais, il intervient dans le domaine de la pédagogie auprès de publics de tout âge et de tous niveaux, comme lors de la reprise de Contre Bande à la Maison des Métallos en octobre 2019, où il était l’assistant de Martine Pisani.
Parallèlement à ses collaborations, Clément développe ses projets artistiques personnels au sein de la compagnie les Corps Imparfaits. Danse avec le Yak, son premier solo, a été présenté le 5 mars 2020 lors du festival Ardanthé de Vanves. La pièce se présente comme un western contemporain, une épopée quichottesque. Parallèlement à ce premier opus, il est lauréat du dispositif Sur Mesure 2018 de l’Institut Français, pour Weastern, un projet itinérant d’échanges artistiques entre le Liban, le Maroc et la France.
Yasmine Youcef, danseuse interprète, est née en 1980. Elle vit à Lyon. Yasmine Youcef a suivi une formation de danse en France avant d’intégrer PARTS à Bruxelles entre 2000 et 2002. Puis elle travaille aux projets des chorégraphes George Khumalo et Emmanuelle Vo-Dinh avant de rejoindre le CCN de Rillieux-la-Pape-Cie Maguy Marin en 2006 pour reprendre les pièces May B et Umwelt et participer à la création de Turba. Depuis 2009, elle développe diverses expérimentations dans son travail notamment sur les questions de danses traditionnelles et d’improvisation. Depuis deux ans, elle collabore avec Virginie Thomas sur des terrains variés et des postures de touristes sensibles et depuis 2010, fait partie de L’agence touriste avec elle et Mathias Poisson.
Une émission proposée par Les Laboratoires d’Aubervilliers.
Je ne pense pas travailler autant qu’une vache.
Voilà 9 mois que, comme des millions de gens, étudiantes et étudiants d’art travaillent depuis chez eux : de la chambre à la cuisine en passant par la salle de bain, dans le jardin de leur grand-mère, sur l’écran de leur ordinateur. Certains ont même passé leur diplôme à distance.
Cette Mosaïque s’inscrit dans la perspective de l’HYPOTHÈSE CONTINUE, programme d’invitation d’étudiantes et d’étudiants d’art aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Théorie de la communication | ESAD GRENOBLE VALENCE | 2020
― Avec la participation à distance d’Amar Ruiz, Caroline Henry , Emma Choley, Jonas Accorso, Juliette Piedagnel, Lou Durand, Louane Seyve-Falaise, Maelys Faure, Marius Tarakdjioglou, Safya Aliouche , Sarah Boaglio, Shana de Bortoli, Wanrong Song, Antoinette Ohannessian, Benjamin Seror.
“Je ne pense pas travailler autant qu’une vache. Je peux aujourd’hui répondre factuellement à : « tu étais haute comme trois pommes la dernière fois que je t’ai vue”“
– Juliette BERTRAND | ESAD GRENOBLE VALENCE | 2020
« Comment rendre compte et partager mon travail lorsque les matériaux sont impalpables ? Du papier aux pixels, cette vidéo-performance est un état des lieux.
L’état des lieux de l’appartement que je partage avec mes colocataires, de ma pratique artistique et de la fin de mon cursus à l’ESAD-GV, de nos voix avec Siméon qui se transforment au fil des mois, de mes rencontres amicales et littéraires. Cette vidéo-performance est une archive d’un événement passé. Une traversée où je parle autour pour parler plus près. Les mots comme outils pour tisser et créer des liens. Parler en se déplaçant, une cartographie qui s’inscrit entre auto-fiction et réalité. »
– Emil* Ripert | ESAD GRENOBLE VALENCE | 2020
« Récemment diplômé de l’Ecole Supérieure d’Art et de Design de Grenoble, je m’intéresse aux images, aux mots, à leur polysémie et à la mémoire.
Ce travail a été réalisé dans le cadre de mon diplôme (DNSEP : Diplôme National Supérieur d’Expressions Plastiques), soutenu à distance. Mon intention était, sous une forme et avec des outils imposés par le contexte (outils numériques, écrans), d’une part, de présenter mon travail autour du texte, de la parole et de l’image et d’autre part de montrer un usage de la citation et de l’appropriation, en lien avec ma pratique artistique et mon mémoire de fin d’étude.
Il en résulte un récit, produit à partir d’images de différents registres, de mots, de gestes et de leurs relations, faisant écho à l’inconscient et au répertoire du mythe. Réalisé en direct lors de cette soutenance, ce travail a été transformé en film pour l’occasion de cette Mosaïque des Lexiques. »
– Julien PROST | ESAD GRENOBLE VALENCE | 2020
« Je m’appelle Tristan Chinal Dargent. Chinal du père. Dargent de la mère. Je suis un jeune homme éduqué en Savoie, à Aix les Bains, dans une famille française de classe moyenne supérieure au début du XXIème siècle. Jusqu’ici, j’ai voulu être aventurier, archéologue, inventeur, trappeur, musher, sniper, acteur, metteur en scène, réalisateur et artiste plasticien. Je ne sais pas si l’on peut être sincère mais l’idée me plait bien. Faire des dessins ce serait peut-être comme ne pas prendre la décision de faire un film ou bien encore d’écrire un livre. Ce serait comme un mensonge. Celui de dire qu’on ne veut pas dire. Qui se prépare et s’attend. Bonne journée. Sincèrement, Tristan Chinal Dargent »
– Tristan CHINAL DARGENT | ESAD GRENOBLE VALENCE | 2020
Les Laboratoires d’Aubervilliers invitent L’ARC « Tout Le Monde Sait Écrire » de l’ESAD VALENCE à participer à la Mosaïque des Lexiques #17 / édition spéciale — « télé-travail » —
« Un mot sonne à la porte, il rentre par effraction. Lui répondent les lettres et sonne l’écho des voix dispersées. D’un point rebondit une ligne, d’un carré rebondit un poème. Les plis et les déplis de nos mains s’écoutent et brusquement, (c)rient. Jouer des mains. Jouer des voix. Jouer des écrans. Écraser, éplucher, épeler, appeler.» Enaëlle Forest
Partant d’une performance collective* réalisée dans zoom lors du workshop « Mot Geste » (17 et 18 novembre 2020) avec Alexandru Balgiu, un groupe plus restreint* a continué les expériences rectangulaires et a monté : « ZOOMOSAÏQUE » (vidéo, couleur, son, 18:51 min, 2020) & un site web qui s’agitera pendant tout le mois de décembre 2020.
ÉQUIPE VIDÉO ZOOMOSAÏQUE :
Clélia FARNOUX, Enaëlle FOREST, Alice FOSSE, Amandine RIGAUD, et David PONS, accompagné•e•s par Madeleine AKTYPI et Loreto MARTINEZ TRONCOSO
―
** PERFORMANCE COLLLECTIVE
à partir de l’Anthologie « Women in Concrete Poetry 1959-1979 » avec :
Adeline BECKER, Alexandru BALGIU, Alice FOSSE, Alice PORET, Amandine RIGAUD, Caroline FONVIEILLE, Cheyenne DOSEN, Clélia FARNOUX, David PONS, Enaëlle FOREST, Julia VELJKOVIC, Juliette TOINON, Laura BIJAUDY, Nini MUHAMMETGULYYEVA, Thibaut LIROY, Judith VIGNEAU, Estelle FRADIN, Léa-Safi DE CRAENE, Louise SANSOLDI, Loreto MARTINEZ TRONCOSO, Madeleine AKTYPI, Marie DELOFFRE, Marie QUEYREL, Mélanie KENYON, Morgane AUTIN.
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Réalisation, prise de son et montage : Aline Gorisse
Écriture : Loraine Baud
Voix : Anissa Zidna
Enregistrée le 4 décembre 2020.
C’est une histoire longue, qui commence en 2012.
Avec :
Tom Johnson qui émettra des signaux sonores avec la composition « Knock on Wood » interprétée par 5 membres du groupe Dedalus (Pierre Stéphane Meugé, Amélie Berson, Thierry Madiot, Cyprien Busolini et Fabrice Villard) ;
Nicholas Vargelis qui enverra des signaux lumineux en activant les cimaises qu’il expose dans le hall ;
Julie Rousset puis Nelly Maurel qui étudieront signes graphiques et typographiques ;
David Poullard qui parlera de signalétique urbaine ;
Antoine Poncet qui racontera un signe du ciel ;
Roméo Agid qui déchiffrera avec la complicité de Marie Orts la partition notée d’une chorégraphie.
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Réalisation, prise de son et montage : Aline Gorisse
Écriture : Loraine Baud
Voix : Anissa Zidna
Enregistrements aux Laboratoires d’Aubervilliers le 2 octobre 2020.
Du printemps. L’air du printemps est chaud, et pluvieux à la fois. On s’aime en sûreté, en chacun de ces mois. Au plaisir de l’amour, avec fruit on se livre. On s’amuse. On s’exerce. En un mot, on fait vivre. On peut alors encore suer, ou se purger.
Pour célébrer septembre, on chantera dans le jardin.
Radio-crochet en plein-air, sans jury ni récompense.
Virus, par Pia Boone, Nicolas Boone et Vandeur 2000.
Mélodiplôme, par Lisa Pauget.
4 chansons brèves, par Pascale Murtin et Le Choeur des Locos.
Récit de voyage, par Moussa Diallo.
Musique américaine, par Elsa Michaud.
Serveurs à mi-temps, par Léo Durand.
Gwoka 1 et Gwoka 2, par Melokans.
Comment chanter, par Ondine Cloez.
Musique de Roman, par Gabriel Gauthier et Orly.
Everybody Burps, par Louise Siffert.
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Réalisation, prise de son et montage : Aline Gorisse
Écriture : Loraine Baud
Voix : Anissa Zidna
Enregistrements aux Laboratoires d’Aubervilliers le 4 septembre 2020.
C’est ce qu’il manque le plus aux gens sains d’esprit : savoir où ils se trouvent.
Le jeudi de la semaine #1 : “Keep in touch”
Gabriel Gauthier invite Théo Casciani
Chaque jeudi de la semaine une personne en invite une autre pour, le temps d’un apéro dans le jardin des Laboratoires, lire à voix haute des textes choisis.
Gabriel Gauthier est né en 1992. Il a fait des études littéraires et il est diplômé des beaux-arts de Paris. Il écrit des performances, des films, de la musique et des livres. Il est en résidence aux Laboratoires d’Aubervilliers.
Avec Elsa Michaud, il a créé Cover (2018) et Rien que pour vos yeux (2019) à la Ménagerie de Verre.
Il a publié Simurgh & Simorgh au Théâtre Typographique et Speed chez Vies Parallèles. Il écrit Space et Space, qui paraîtront dans les années à venir, et dont voici un extrait : « Le soleil va bien sûr se lever ».
Théo Casciani, né en 1995, est auteur. Ses travaux textuels et plastiques ont été présentés dans diverses publications et institutions telles que Nuit Blanche, Actoral, AOC ou Possession Immédiate. Il est notamment diplômé de l’atelier des écritures contemporaines de La Cambre à Bruxelles
Une émission proposée par les Laboratoires d’Aubervilliers.
Nous décidons que la voracité du capitalisme financier doit être stoppée.
Avec, par ordre d’apparition :
Nicolas Boone
Cindy Bannani
Emilie Notéris et Callisto Mc Nulty
Gilets Jaunes Pantin
Pascale Murtin
Marie-Claude Murtin
Cyril Vettorato
Bintou Dêmbélé
Aminata Labor
Suivi d’un mix de Ka(ra)mi
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Réalisation, prise de son et montage : Julien Brulé
Écriture : Loraine Baud
Voix : Anissa Zidna
Enregistrements aux Laboratoires d’Aubervilliers le 1er mai 2020.
Ki jan zot fé
M’paka konpran’
Zot ka viv’ kon si
Pa ni pwoblém’
Poutan zot sav’
La vi la réd’
Ki jan zot fé
Pou pé sa tchembé
Zouk la sé sèl médikaman nou ni (Sa kon sa)
DJ set proposé par Ka(ra)mi une sélection de morceaux naviguant entre Hip Hop, R&B, ChillTrap, Future Sound et afro caribéennes.
Une émission proposée par Ka(ra)mi pour la Mosaïque des Lexiques #13 / édition spéciale.
Les Laboratoires d’Aubervilliers, Vendredi 3 avril 2020.
The plant needs water today.
I like very much my plant.
Sometimes it’s very hard to keep a plant alive.
Avec (par ordre d’apparition)
Craig Shepard
Cléo Sotomayor Videcoq
Tom Johnson, harpiste Manon Pierrehumbert
Arnaud Labelle-Rojoux
Anouk Sraka
Stéphane Bérard et Vanessa Morisset
Pascale Murtin
Fabrice Villard
Deborah Sierra
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Montage : Julien Brulé
Ecriture : Loraine Baud
Voix : Anissa Zidna
Enregistré le vendredi 3 avril 2020 aux Laboratoires d’Aubervilliers.
J’ai donc traduit “honte” ou “pudeur” par “danse de moines”.
Édition conçue par Pascal Poyet qui invite Souleymane Baldé, professeur de peul ; Emmanuel Fournier, philosophe traducteur substantif-infinitif et vice-versa ; Gabriel Gauthier, poète approximativement bilingue ; Pascale Murtin, with a few last but not least songs (les dernières ne seront sans doute pas les dernières) ; Leslie Ritz, réinventrice de mandarin ; Bénédicte Vilgrain, traductrice éditrice, dont le tibétain et l’étonnement se traduisent dans le français ; Fabrice Villard et les participants à l’atelier Compter et conter au CRR93 autour de l’oeuvre de Tom Johnson ; Et 7 polyglottes (soniké, bambara, italien, français et poulard) pour un échange de vocabulaire impulsé par GRAND MAGASIN.
Sans oublier : La traduction collective de 15 traductions d’un même sonnet de Shakespeare par 12 étudiants de l’ESAD Grenoble/Valence + Camille Barjou, Antoinette Ohannessian et Pascal Poyet ; Et, trois nouvelles tables de conjugaison de David Poullard & Guillaume Rannou.
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Réalisation, prise de son et montage : Martin Fauret et Julien Brulé
Écriture : Loraine Baud
Voix : Anissa Zidna
Enregistrements aux Laboratoires d’Aubervilliers le 6 mars 2020.
Un cours dure 40 heures et permet l’obtention de 2 crédits. Les grades ECTS sont générés automatiquement selon les notes attribuées.
Avec Lydia Amarouche, Phoenix Atala, Etienne Charry, Françoise Goria, Antoinette Ohannessian, Camille Barjou avec douze étudiantes et étudiants de l’ÉSAD Grenoble•Valence, Pascal Poyet, Fabrice Villard accompagné de cinq élèves du CRR93- Conservatoire à Rayonnement Régional Aubervilliers-La Courneuve.
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Réalisation, prise de son et montage : Julien Brulé
Écriture : Loraine Baud
Voix : Anissa Zidna
Enregistrements aux Laboratoires d’Aubervilliers le 7 février 2020.
Je suis né un jour où le mot glabelle, qui signifie l’espace entre les deux sourcils, avait failli disparaître.
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Avec Lydia Amarouche, Magali Desbazeille, Valentin Lewandowski, David Poullard & Guillaume Rannou, Pascal Poyet, Fabrice Villard.
Réalisation, prise de son et montage : Julien Brulé
Écriture : Loraine Baud
Voix : Anissa Zidna
Enregistrements aux Laboratoires d’Aubervilliers le 6 décembre 2019.
Le numéro de ça, on va l’appeler oméga.
Avec l’ensemble de musique contemporaine DEDALUS qui joue la totalité des partitions de Counting to seven de Tom Johnson ; Dominique Petitgand dont une pièce vient brièvement ponctuer le déroulé de la Mosaïque ; Eric Rouquette qui propose une lecture particulière ; Antoinette Ohannessian qui invite Didier Barbier pour l’épisode quatre de « C’est grâce à mon vocabulaire que je parle bien que je ne sois pas toujours d’accord avec lui ».
La Mosaïque des Lexiques, rendez-vous public mensuel, a lieu le premier vendredi de chaque mois aux Laboratoires d’Aubervilliers. Cette revue vivante rassemble un nombre variable de contributeur.trice.s afin de croiser les jargons, comparer les lexiques, les langues, multiplier les adresses. On y tâche de pointer ce qui, dans l’usage des mots, relie, différencie, sépare, rapproche, éloigne.
Au sommaire, peuvent se succéder un poème, un film, un exposé, une lecture croisée, des conversations préparées ou impromptues, un geste, un débat multilingue, des statistiques, des slogans, un slam, une traduction simultanée, un exercice de conjugaison, un discours en langue des signes, etc. Prétendus spécialistes et soi-disant amateurs se relaient pour traduire (d’une langue à l’autre ou à l’intérieur du français même), transcrire, interpréter.
En bref, on y cause, traduit, chante, danse, fête chaque fois le mois nouveau.
Réalisation, prise de son et montage : Julien Brulé
Ecriture : Loraine Baud
Voix : Anissa Zidna
Enregistrements aux Laboratoires d’Aubervilliers le 06 septembre 2019.