Émission en direct avec les étudiant·es de l’Ensba Lyon
Nos proxénètes préférés ça reste nos animaux domestiques, on a des proxénètes de croquettes.
Retour sur une série de rencontres au sujet du travail du sexe, des luttes passées et présentes et de la pensée féministes pute.
Épisode #3 - L’occupation de Saint-Nizier, récits à plusieurs voix : Blanche Blouin, artiste et designeuse, diplômée de l’ENSBA Lyon, invite Cybèle Lespérance, tds, militante et chercheuse et le Père Christian Delorme qui était présent à Saint-Nizier pendant l’occupation de 1975.
“Ça commence souvent par des problèmes”, exposition et programme imaginés par Julie Portier et Camille Richert pour la Salle de bains (Lyon) du 6 mars au 26 avril 2025, prend pour point de départ le film “Les Prostituées de Lyon parlent” réalisé par Carole Roussopoulos à Lyon en juin 1975 avec des travailleuses du sexe occupant une église pour faire valoir leurs droits. L’exposition est une rétrospective qui tient sur une étagère de garage, les 19 autres mètres carrés de la Salle de bains restant disponibles pour accueillir des rencontres à l’invitation de chercheureuses, artistes et personnes concernées.
Ça commence par un chèque de licenciement échangé contre une caméra Sony Portapak qui contient la promesse d’une vie « sans patron ». C’est ainsi que Carole Roussopoulos racontait le début de cette aventure derrière la caméra pour documenter les engagements individuels et les luttes collectives portées par l’espoir d’un monde plus juste. Dans l’ébullition des années 1970, elle s’aperçoit immédiatement des possibilités offertes par ce petit matériel pour enregistrer celles et ceux qu’on ne laisse pas parler en public ou que l’on n’entend pas, en particulier les femmes. Avec elle, la vidéo devient un outil de militantisme féministe qui, attelé au collectif, lui permet une autonomie de production et de diffusion.
Extraits de Carole Roussopoulos, Les prostituées de Lyon parlent, 1975 : Tous droits réservés, Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
Chants de Saint-Nizier par la chorale de l’ENSBA Lyon
Montage : Maxime Naudet / La Salle de bains
Mixage : Morgane Charles / *Duuu
On a des galeries, on a des cafés, on a des camions…
Retour sur une série de rencontres au sujet du travail du sexe, des luttes passées et présentes et de la pensée féministes pute.
Épisode #2 - Les TDS décoloniales parlent : rencontre avec Lola Lévy, membre fondatrice du groupe les TDS contre Les Guerres.
“Ça commence souvent par des problèmes”, exposition et programme imaginés par Julie Portier et Camille Richert pour la Salle de bains (Lyon) du 6 mars au 26 avril 2025, prend pour point de départ le film “Les Prostituées de Lyon parlent” réalisé par Carole Roussopoulos à Lyon en juin 1975 avec des travailleuses du sexe occupant une église pour faire valoir leurs droits. L’exposition est une rétrospective qui tient sur une étagère de garage, les 19 autres mètres carrés de la Salle de bains restant disponibles pour accueillir des rencontres à l’invitation de chercheureuses, artistes et personnes concernées.
Ça commence par un chèque de licenciement échangé contre une caméra Sony Portapak qui contient la promesse d’une vie « sans patron ». C’est ainsi que Carole Roussopoulos racontait le début de cette aventure derrière la caméra pour documenter les engagements individuels et les luttes collectives portées par l’espoir d’un monde plus juste. Dans l’ébullition des années 1970, elle s’aperçoit immédiatement des possibilités offertes par ce petit matériel pour enregistrer celles et ceux qu’on ne laisse pas parler en public ou que l’on n’entend pas, en particulier les femmes. Avec elle, la vidéo devient un outil de militantisme féministe qui, attelé au collectif, lui permet une autonomie de production et de diffusion.
Extraits de Carole Roussopoulos, Les prostituées de Lyon parlent, 1975 : Tous droits réservés, Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
Chants de Saint-Nizier par la chorale de l’ENSBA Lyon
Montage : Maxime Naudet / La Salle de bains
Mixage : Morgane Charles / *Duuu
Ils rigolent entre copains, et là il y’en a un qui dit “Mais moi j’y étais, à la manif des putes”
Retour sur une série de rencontres au sujet du travail du sexe, des luttes passées et présentes et de la pensée féministes pute.
Épisode #1 - Les luttes des TDS dans les années 1970 : conférence de Lilian Mathieu, directeur de recherche au CNRS (Centre Max-Weber, ENS de Lyon), spécialiste de l’étude de la prostitution et des mouvements sociaux.
“Ça commence souvent par des problèmes”, exposition et programme imaginés par Julie Portier et Camille Richert pour la Salle de bains (Lyon) du 6 mars au 26 avril 2025, prend pour point de départ le film “Les Prostituées de Lyon parlent” réalisé par Carole Roussopoulos à Lyon en juin 1975 avec des travailleuses du sexe occupant une église pour faire valoir leurs droits. L’exposition est une rétrospective qui tient sur une étagère de garage, les 19 autres mètres carrés de la Salle de bains restant disponibles pour accueillir des rencontres à l’invitation de chercheureuses, artistes et personnes concernées.
Ça commence par un chèque de licenciement échangé contre une caméra Sony Portapak qui contient la promesse d’une vie « sans patron ». C’est ainsi que Carole Roussopoulos racontait le début de cette aventure derrière la caméra pour documenter les engagements individuels et les luttes collectives portées par l’espoir d’un monde plus juste. Dans l’ébullition des années 1970, elle s’aperçoit immédiatement des possibilités offertes par ce petit matériel pour enregistrer celles et ceux qu’on ne laisse pas parler en public ou que l’on n’entend pas, en particulier les femmes. Avec elle, la vidéo devient un outil de militantisme féministe qui, attelé au collectif, lui permet une autonomie de production et de diffusion.
Extraits de Carole Roussopoulos, Les prostituées de Lyon parlent, 1975 : Tous droits réservés, Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
Chants de Saint-Nizier par la chorale de l’ENSBA Lyon
Montage : Maxime Naudet / La Salle de bains
Mixage : Morgane Charles / *Duuu
C’était huit jours après mon arrivée à Paris, en 84, quand j’ai quitté New-York City.
*Duuu radio a récemment acquis un graveur de vinyles afin de réaliser des micro-éditions de projets sonores. Cet outil permet de graver des disques vinyles à l’unité, à vitesse réelle.
À l’occasion de ses 10 ans, *Duuu propose l’édition de 10 vinyles de 10 exemplaires chacun, issus des archives de la radio, ainsi qu’un projet inédit réalisé à l’occasion de l’exposition.
Le sixième vinyle de cette série présente une conversation entre Jean Dupuy et Sophie Lapalu, Théo Robine-Langlois et Simon Nicaise, lors de l’exposition RUN RUN RUN à la Villa Arson à Nice, diffusée sur *Duuu pour la première fois en 2016.
Une émission préparée par l’équipe de *Duuu (Loraine Baud, Simon Nicaise, Simon Ripoll-Hurier) et ses correspondants Sophie Lapalu, Julie Portier et Théo Robine Langlois, et réalisée par Sophie Lapalu, dans le cadre de l’exposition RUN RUN RUN à la Villa Arson de Nice, organisée à l’occasion des vingt ans de La Station.
C’est une sorte de boucle, puisqu’elle-même a dans sa pratique ce jeu d’inviter des gens pour constituer ses propres expositions, qui sont faites d’invitations.
Julie Portier et Sophie Lapalu nous proposent une conversation entre Julien Bouillon et Eric Stephany invités par l’Entreprise Culturelle pour l’exposition RUN RUN RUN.
Musique :
- This Is How We Walk on the Moon, Arthur Russel (Labyrinth Ear Rework, 2011)
Une émission réalisée le 23 septembre 2016 par Sophie Lapalu et Julie Portier dans le cadre de l’exposition RUN RUN RUN à la Villa Arson de Nice, organisée à l’occasion des vingt ans de La Station.
“Dieu et la stéréo” du Reverend Père Lincoln : “L’auteur a dit que Dieu tenait à l’œil nos chaînes stéréo. Je ne sais pas ce qu’il voulait dire par là, mais il a donné un grand coup sur le bureau avec son livre.”
Nous sommes avec Eléonore Saintagnan au moment du démontage de son exposition personnelle Dieu et la Stéréo à Mains d’Œuvres. Nous allons faire une visite, accompagnés de Julie Portier.
Il y a des bruits qui nous entourent, et par dessus nous allons parler.
Une émission préparée par Simon Nicaise, enregistrée le 23 juin 2014 à Mains d’Œuvres, Saint-Ouen. Remerciement à Ann Stouvenel.