Émission en direct avec les étudiant·es de l’Ensba Lyon
On est dans des espaces politiques qui ont une très forte méconnaissance de ce que c’est que le travail de l’art.
À l’occasion de la Nuit Blanche 2025, *Duuu & l’ésad Valenciennes proposent un événement hors-série dans le cadre du cycle de rencontres « Comment bien fermer une école d’art ? » qui rythme le dernier semestre d’existence de l’ésad Valenciennes. Le 7 juin 2025, la fermeture imminente de l’école approche. Loin d’être une veillée funèbre, l’événement « C’est la peur qui danse » sera l’occasion de lui déclarer sa flamme, de rêver à l’avenir, de lui dédier une danse, de lire des haïkus et de se détendre lors d’un midnight book club.
Jimmy Cintero autour des conditions de travail et rémunération des artistes-auteur.ices, en discussion avec Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Jimmy Cintero est designer graphique. Il est syndiqué au SNAP-CGT et membre du groupe de travail sur la continuité de revenus pour les artistes auteur·ices. Constitué de plusieurs organisations professionnelles, ce groupe travaille pour intégrer les artistes auteur·ices dans la caisse commune de l’assurance chômage.
Une proposition de Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Enregistrement : Sampson Staples & Morgane Charles
Post-production : Sampson Staples & Aurore Portales
C’était pas gagné, mais on est très heureux et heureuses d’être allé.es jusqu’au bout.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
Cet ultime épisode se déroule le soir du 27 juin 2025, au moment même où l’école invite le public à se joindre à elles et eux pour les aider à fermer leurs portes définitivement. Avant de disparaître dans les abîmes, l’école d’art bicentenaire ouvre ses portes une dernière fois. Pour accompagner ce moment précieux et difficile de fermeture, iels relayent quelques messages de soutien, de réconfort et de rage, qui leurs sont parvenus par le biais d’un répondeur que l’école a mis en place.
Enregistrement : Loraine Baud
Post-production : Aurore Portales
On rit un peu qu’on n’a jamais été aussi productif à l’ésad que ces derniers mois.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
À l’occasion de Nuit Blanche 2025, *Duuu & l’ésad Valenciennes proposent un événement hors-série dans le cadre du cycle de rencontres « Comment bien fermer une école d’art ? » qui rythme le dernier semestre d’existence de l’ésad Valenciennes. Le 7 juin 2025, la fermeture imminente de l’école approche. Loin d’être une veillée funèbre, l’événement « C’est la peur qui danse » est l’occasion de lui déclarer sa flamme, de rêver à l’avenir, de lui dédier une danse, de lire des haïkus et de se détendre lors d’un midnight book club.
Cet événement a été l’occasion d’enregistrer le sixième épisode du programme radiophonique « Comment bien fermer une école d’art ? », dans lequel est discuté les différentes tentatives de déconstruction pédagogique en art et en design, en considérant les écoles comme Zone d’Autonomie Temporaire aux côtés de Daria Ayvazova et Catherine Geel, en discussion avec Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Daria Ayvazova, designer-enseignante-chercheuse diplomée de l’ESADSE, a soutenu une thèse intitulée Designers Défroqués, dans laquelle elle articule des théories et des contextes économiques, socio-culturels et politiques afin d’évaluer la viabilité, l’efficacité et la sincérité de la démarche de ces designers qui s’opposent au système économique dominant.
Catherine Geel est historienne du design, commissaire d’exposition et éditrice, directrice artistique et directrice de projet. Professeure titulaire des écoles nationales supérieures d’art (France), elle enseigne l’histoire et la théorie du design à l’ENSAD Nancy, l’ENS Paris-Saclay, et Sciences Po Paris.
Une proposition de Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Enregistrement : Sampson Staples & Morgane Charles
Post-production : Sampson Staples & Aurore Portales
L’implication située. Quand je suis au boulot je le suis en tant qu’homme blanc, de 60 ans, statutaire.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
Comment bien fermer une école d’art #4 : Faire recherche en commun. Pascal Nicolas-Le Strat, Valérie Yobé en discussion avec Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Lorsque les portes de cette école se fermeront sur nous tou·te·s, ce que nous devrons laisser derrière nous, ce sont des manières de faire ensemble, et ce que nous emporterons et conserverons ce sera aussi ces manières de faire ensemble. À l’ESAD Valenciennes, malgré cette fin programmée et à travers elle, nous tentons de faire vivre les pratiques artistiques dans nos territoires, en les questionnant et en entrant en correspondance avec elles.
Avec Pascal Nicolas-Le Strat, qui mène des recherches-actions en complicité avec des collectifs d’habitant·e·s et des activistes du domaine social et culturel, et Valérie Yobé qui mène une série de résidences en milieu scolaire au Québec, nous évoquons les contextes dans lesquels se sont développées des manières de faire de la recherche en commun. En cherchant à établir des parallèles et des points de comparaisons entre ces modèles, nous évoquons l’envie et parfois l’obligation de sortir des formats académiques proposés par la recherche universitaire, ainsi que la nécessité de construire un dialogue étroit avec nos écosystèmes sociaux et environnementaux. Nous décrivons également les menaces qui pèsent sur ces contextes de recherche en tentant de dessiner des perspectives et des horizons heureux pour conserver intact notre enthousiasme de faire et de chercher ensemble. De faire recherche en commun.
Enregistrement : Arthur Bécart.
Montage : Sampson Staples.
Faire des tours Eiffel en bâtons de glaces pour faire passer le temps.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
Nous connaissons désormais le mode opératoire, d’abord administratif : une année “blanche”, une fermeture annoncée deux ans avant sa date effective, la garantie d’un passage de diplôme pour l’ensemble des étudiant·e·s inscrit·e·s dans l’établissement … Puis la gestion matérielle : un bâtiment récupéré par la ville, un fond de bibliothèque redistribué, des équipements et ameublements vendus ou délaissés. Si cette perspective réductrice nous alarme, surgit aujourd’hui cette question réelle et urgente : Comment bien fermer une école d’art ? Comment mettre fin à un monde ? Car finalement, n’est-ce pas à nous, l’équipe pédagogique, administrative, technique et étudiant·e·s restant·e·s, que cette lourde tâche revient ? Si l’annoncer est une chose, baisser le rideau en est une autre. Nous avons reçu des condoléances, de l’empathie, de la commisération, quid des modes d’emploi ?
Alors que notre temps s’écoule, il nous reste tant de choses à dire, à faire et à partager avant que ce soit fini. Ce cycle de rencontres, intitulé Comment bien fermer une école d’art ? rythmera les 6 derniers mois de l’existence de l’ésad, au sein des murs de l’école, ouvert à tou·te·s, avec une diffusion radio. Ces temps se voudront un espace de réflexion qui accompagnera nos actions sur cette fin qui approche, une absence qui se creuse, des luttes passées et un deuil à venir. Il s’agit de créer des moments de partage et de soutien au sein d’une communauté élargie, de faire expérience d’une fermeture.
Comment bien fermer une école d’art #3 : Chacun·e·x cherche son deuil
Félixe Kazi-Tani en discussion avec Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale Abstract.
Nous ne pouvons pas dire que cette perte est soudaine. Sa menace plane sur l’ésad depuis plus d’un décennie. Sa certitude nous côtoie depuis deux ans. Chaque jour, au sein de l’école, nous la vivons à des échelles variables. Les petites piqûres de rappel qui se vivent comme des micro-deuils du quotidien. Les derniers concours d’entrée, les derniers DNSEP et la fermeture du deuxième cycle, les départs, la dernière rentrée, la dernière promo, le dernier semestre. Une école qui se vide mais une volonté féroce de poursuivre jusqu’au bout du bout, de “tout finir”.
Un deuil s’annonce suite à la perte, à la disparition, de quelqu’un·e·x ou quelque chose, un élément clef de nos vies, un repère, aux valeurs affectives, symboliques voire même matérielles. Pouvons-nous faire le deuil de cette école ? Et comment ? On dit « faire son deuil » ; cela a-t-il du sens de le « faire » ? Cela se fabrique un deuil ? Cela se travaille peut-être. Avec Félixe Kazi-Tani nous tenterons de répondre à ces questions, nous parlerons des étapes du deuil, il y en aurait quatre, sept, parfois cinq ; on ne sait plus. Nous nous questionnerons sur la fabrique des totems et des rituels, seul(s) ou à plusieurs, conservant nos singularités, nos individualités.
Une émission enregistrée et diffusée en direct sur *Duuu le 18 mars 2025 depuis l’ésad Valenciennes
Enregistrement : Sampson Staples
J’arrive, je vois tous les profs, et on me dit qu’on est en lutte.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
Nous connaissons désormais le mode opératoire, d’abord administratif : une année “blanche”, une fermeture annoncée deux ans avant sa date effective, la garantie d’un passage de diplôme pour l’ensemble des étudiant·e·s inscrit·e·s dans l’établissement … Puis la gestion matérielle : un bâtiment récupéré par la ville, un fond de bibliothèque redistribué, des équipements et ameublements vendus ou délaissés. Si cette perspective réductrice nous alarme, surgit aujourd’hui cette question réelle et urgente : Comment bien fermer une école d’art ? Comment mettre fin à un monde ? Car finalement, n’est-ce pas à nous, l’équipe pédagogique, administrative, technique et étudiant·e·s restant·e·s, que cette lourde tâche revient ? Si l’annoncer est une chose, baisser le rideau en est une autre. Nous avons reçu des condoléances, de l’empathie, de la commisération, quid des modes d’emploi ?
Alors que notre temps s’écoule, il nous reste tant de choses à dire, à faire et à partager avant que ce soit fini. Ce cycle de rencontres, intitulé Comment bien fermer une école d’art ? rythmera les 6 derniers mois de l’existence de l’ésad, au sein des murs de l’école, ouvert à tou·te·s, avec une diffusion radio. Ces temps se voudront un espace de réflexion qui accompagnera nos actions sur cette fin qui approche, une absence qui se creuse, des luttes passées et un deuil à venir. Il s’agit de créer des moments de partage et de soutien au sein d’une communauté élargie, de faire expérience d’une fermeture.
Comment bien fermer une école d’art #2 : Étudier avec un compte à rebours
Laurette Bremme, Yalhma Robette, Chloé Terrée en discussion avec Sébastien Biniek et Elizabeth Hale
Dans ce mouvement de fermeture, il y a des éléments factuels, des procédures techniques, administratives, et il y a des vies. Vivre c‘est accumuler des témoignages qui permettent de raconter, d’étayer des histoires, celles que l’on a vécues, de notre point de vue. En remontant le temps, aux prémices des décisions qui ont conduit à la fermeture, jusqu’à l’ambiance actuelle de l’ésad. Chloé, Yalhma et Laurette, trois représentantes étudiantes vont témoigner, nous raconter l’histoire de la fin de cette école, en mobilisant leurs souvenirs, leurs affects.
Comment arriver à expliquer la situation politique et financière pour fédérer ? Comment démarrer son cursus dans une école qui va fermer ? Comment lutter de l’intérieur contre des décisionnaires ? Comment faire face au rouleau compresseur des politiques austéritaires quand on habite la condition étudiante ? Comment s’organiser, mais aussi comment se protéger et maintenir un climat d’apprentissage viable ? Comment repenser les liens avec la pédagogie ? Autant de questions, qui alimenteront une discussion, qui se tissera à partir des différentes temporalités étudiantes, des différentes échelles de luttes (individuelles, locales, nationales).
Une émission enregistrée et diffusée en direct sur *Duuu le 25 Février 2025 depuis l’ésad Valenciennes
Réalisation et enregistrement : Loraine Baud
Mixage et post-production : Sampson Staples
Génération bonbons, bonbecs, bombers, tout élec. Génération scoubidou, corde à sauter, jeu d’élastiques, cassettes.
Tout au long de son dernier semestre d’existence, l’ésad Valenciennes organise un cycle de rencontres radiodiffusé sur la fin de l’école, en partenariat avec *Duuu Radio.
Septembre 2024. L’école supérieure d’art et design de Valenciennes, école bicentenaire, vient d’effectuer sa dernière rentrée. La mission semble claire : il s’agit dorénavant de conduire le projet à sa fin. Cessation par achèvement. Mais comment achever une école d’art ? Une école faite de vies, de projets, de possibles, de travail, de liberté, de contraintes, d’alternatives, de rêves, de pensées, de sueur, de transgression, de luttes (trop de luttes, pas assez de luttes), de fêtes, d’audace, d’autonomie, d’amitiés.
Nous connaissons désormais le mode opératoire, d’abord administratif : une année “blanche”, une fermeture annoncée deux ans avant sa date effective, la garantie d’un passage de diplôme pour l’ensemble des étudiant·e·s inscrit·e·s dans l’établissement … Puis la gestion matérielle : un bâtiment récupéré par la ville, un fond de bibliothèque redistribué, des équipements et ameublements vendus ou délaissés. Si cette perspective réductrice nous alarme, surgit aujourd’hui cette question réelle et urgente : Comment bien fermer une école d’art ? Comment mettre fin à un monde ? Car finalement, n’est-ce pas à nous, l’équipe pédagogique, administrative, technique et étudiant·e·s restant·e·s, que cette lourde tâche revient ? Si l’annoncer est une chose, baisser le rideau en est une autre. Nous avons reçu des condoléances, de l’empathie, de la commisération, quid des modes d’emploi ?
Alors que notre temps s’écoule, il nous reste tant de choses à dire, à faire et à partager avant que ce soit fini. Ce cycle de rencontres, intitulé Comment bien fermer une école d’art ? rythmera les 6 derniers mois de l’existence de l’ésad, au sein des murs de l’école, ouvert à tou·te·s, avec une diffusion radio. Ces temps se voudront un espace de réflexion qui accompagnera nos actions sur cette fin qui approche, une absence qui se creuse, des luttes passées et un deuil à venir. Il s’agit de créer des moments de partage et de soutien au sein d’une communauté élargie, de faire expérience d’une fermeture.
Comment bien fermer une école d’art #1 : Le grand saut dans le vide. Avec Sophie Coiffier, Sébastien Biniek, Florian Bulou Fezard et Elizabeth Hale.
Pour tenter d’y voir plus clair dans ce chaos qui n’en est pas un, voire plutôt d’y trouver les mots, nous nous tournons vers Sophie Coiffier pour démarrer ce cycle de rencontres. Dans son dernier roman, L’exercice du skieur, paru chez L’ire des marges en 2024, il est question des récits qui accompagnent nos paysages en transformation. La lecture de ces paysages disparaissants nous sert alors de métaphore puis de tremplin afin de considérer la transmutation du paysage des écoles d’art et design territoriales.
Sophie Coiffier est auteure et Docteure en arts plastiques, elle a enseigné les arts plastiques dans le secondaire, puis à l’université (Paris I, Rennes 2, Université de Valenciennes) et l’écriture (écriture créative et méthodologie du mémoire) en écoles d’art et de design (ENSCI Les Ateliers (Paris), Centre Michel Serres (Paris), Université Gustave Eiffel et ÉSAD Valenciennes). Son œuvre littéraire relève de la poésie contemporaine et aime à télescoper les formes afin de questionner nos représentations sociales et environnementales.
NOVA, Nicolas : Exercices d’observation, éd. Premier Parallèle, 2022 ; Fragments d’une montagne, éd. Le Pommier/ Humensis, 2023
GUIDÉE, Raphaëlle : La Ville d’après, Détroit, une enquête narrative, Flammarion, 2024
COIFFIER, Sophie : Tiroir central, éd. L’Attente, 2021 ; L’Exercice du skieur, éd. L’Ire des marges, 2024
Une émission enregistrée et diffusée en direct sur *Duuu le 21 janvier 2025 depuis l’ésad Valenciennes
Enregistrement et réalisation : Loraine Baud
Mixage et post-production : Sampson Staples