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09.11.24
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Du jeudi 7 au dimanche 10 novembre, *Duuu Radio est au salon de l’édition indépendante Offprint 2024.

*Duuu émet en direct de l’Auditorium du Pavillon de l’Arsenal pour une série d’entretiens avec des éditeurs, des graphistes et des artistes, réalisée en partenariat avec le Centre national des arts plastiques (Cnap). Les émissions sont menées par Victoire Le Bars.

Samedi 9/11

  • 14h : Pierre Bal-Blanc présente l’exposition dont il est le commissaire La République (Cynique), contre récit de l’histoire de la performance, du 13 novembre au 1 décembre 2024 au Palais de Tokyo.

  • 16h : Antoine Lefebvre et le collectif Objet Papier présentent Print-it, l’aventure ARTZINES ! projet de recherche et de publication web to print sur la culture des fanzines.

  • 17h : Jagna Ciuchta, Émilie Renard et Martha Salimbeni présentent la monographie de l’artiste publiée par Mousse publishing, Je dilaté, images liquides et plantes carnivores.

Dimanche 10/11

  • 14h : Julie Pellegrin échange, en compagnie de l’artiste Myriam Lefkowitz, sur son livre (Non) Performance. A Daily Practice publié par T&P Publishing.

  • 16h : Rosanna Puyol Boralevi et Nina Kennel, éditrices et traductrices de l’ouvrage JJ, Tartine-moi et autres textes, paru aux éditions Brook liront des textes de de l’autrice, critique de danse et performeuse Jill Johnston.

En public et en direct sur *Duuu depuis l’Auditorium du Pavillon de l’Arsenal - 21 Boulevard Morland, 75004 Paris
Entrée libre

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06.12.17
Quart d’heure américain #3 : Jérémie Gaulin
heiwata
09'13"
Pièce (69)
Pièce (69)
06.12.17
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Tout droit jusqu’au matin, 2017.
Texte de Jérémie Gaulin interprété par Bertrand Poncet.

Dans le cadre de l’exposition “Quart d’heure américain” et de son programme de performances, concerts et poésies, l’artiste-théoricien Jérémie Gaulin a écrit le texte Tout droit jusqu’au matin, 2017, interprétation libre et subjective des liens existants entre la notion de désuétude et la posture artistique de Robert Filliou. Ce texte, nourri de références littéraires et philosophiques, est interprété par l’acteur Bertrand Poncet au sein de l’exposition.

*Jérémie Gaulin est né en 1985 à Bordeaux. Il vit et travaille à Paris. En jouant des modes d’apparitions et de validations intellectuelles ou artistiques, son travail mêle recherches théoriques, commissariat, éditions de revues, installations et vidéos. Il commence ses études aux Beaux-arts de Bordeaux et les termine à la Head de Genève en 2013. S’en suit plusieurs projets comme la revue Pharmakon avec Lola Druilhe, revue de sociologie des religions et d’art, ou l’inverse; Chrématistique, laboratoire de recherche sur l’économie de l’œuvre, achevé par la donation des archives au CNEAI= et les ateliers populaires de Paris tentative de groupe pluridisciplinaire avec Jean-Baptiste Naudy ou encore plus récemment la revue Emergency. Il part ensuite voir ailleurs si sa langue se traduit : Londres, Bucarest, Bonrepaux, Tanger, Los Angeles, Mexico où il se trouve en résidence jusqu’en décembre 2017. Jérémie Gaulin est représenté par la Galerie Martine Aboucaya.

QUART D’HEURE AMÉRICAIN, 10-26 novembre 2017, Mains d’Œuvres

Une proposition de heiwata (Elsa Delage, Anaïs Lepage, Alma Saladin, Aurélie Vandewynckele)

Autour de l’oeuvre de Robert Filliou Danse-poème collectif (à performer par deux, chacun(e)s tournant une roue), 1962, et en affinité avec Fluxus, l’exposition “Quart d’heure américain” réunit en duo quatorze artistes qui réactualisent des objets, des formes, des langages et des savoirs dont l’usage est désormais délaissé. Collaborant sur le mode de la symbiose, de l’association fortuite, ou de la confrontation formelle, ils allient dessin, sculpture, vidéo, installation, poésie et performance.

Pensée en mouvement comme un protocole à interpréter, l’exposition “Quart d’heure américain” est activée de façon performative, discursive et sonore le samedi 18 novembre 2017. Artiste-théoricien, performeurs et musiciens proposent une interprétation d’un duo, d’un artiste ou de la notion de désuétude.

Dans le cadre du 50e Congrès de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art)
Avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture

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