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18.01.25
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Le collectif « À voix haute » s’arrête à Troyes afin de faire entendre dans l’Aube les textes de femmes ayant traversé l’histoire de la Psychothérapie Institutionnelle, ici et ailleurs, de la première moitié du 20ème siècle à aujourd’hui.

Pour cette occasion, le collectif a choisi de déplier la question du passage, d’une discipline à une autre, d’un territoire à un autre, et la façon dont y circulent les corps, dans ce que l’on pourrait nommer une poétique du désir. Le collectif fera résonner entre elles les voix d’Hélène Chaigneau, Marie Depussé, Lise Gaignard, Joana Maso, Agnès Masson, Ginette Michaud, Danielle Roulot, Danielle Sivadon, Rose-Marie Lepage et Treize, qui, par leurs travaux, contribuent à faire vivre la Psychothérapie Institutionnelle, tant sur le plan clinique, théorique, esthétique que, évidemment, politique.

Après le Palais de Tokyo, la galerie Treize et la radio *Duuu, « À voix haute » remercie l’Association APAT (Actualité Pour la Psychanalyse à Troyes) de les accueillir pour cette occasion.
Avec Agathe Boulanger, Sybille Chevreuse, Carine Lendrin, Lena Monnier, Graziela Susin, Camille Zuber.

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21.01.21
Le jeudi de la semaine #3 : “Family Business”
Les Laboratoires d’Aubervilliers
43'00"
Le Jeudi de la semaine (3)
Le Jeudi de la semaine (3)
21.01.21
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Le jeudi de la semaine #3 : “Family Business”
Sophie Sénécaut invite Lode Thiery

Chaque jeudi de la semaine une personne en invite une autre pour, le temps d’un apéro dans le jardin des Laboratoires, lire à voix haute des textes choisis.


Sophie Sénécaut
J’ai étudié l’art dramatique à l’université de Lille 3 arts du spectacle et à l’I.N.S.A.S, sortie de cette école depuis plus d’une dizaine d’années, j’ai travaillé et continue de travailler au sein de différentes compagnies de théâtre bruxelloises comme Garçongarçon (Salvatore Calcagno), (E)Utopia (Armel Roussel), Venedig Meer (Florence Minder), Présage d’Innocence (Sofie Kokaj), les Viandes Magnétiques (Jean-Baptiste Calamme), Mariedl (Selma Alaoui), Diplex (Céline Orhel). J’ai également joué sous la direction de Marine Dricot dans les clips : Eight is the Figure du groupe The Robbing Millions, Guinea Pig et Walk du groupe Girls in Hawai, Two tides of ice des The Van Jets, et Blitz d’Etienne Daho; et tourné dans les courts métrages : Kaniama Show de Baloji Tshiani, Sans frapper d’Alexe Poukine, Marlone de Tom Adjibi et Le Lion belge de Parlaku Nim.

Lode Thiery
Je suis né en ’89. Je suis Bruxellois, néerlandophone, alors quand j’ai du choisir une école pour commencer mes études de théâtre, j’ai opté pour le Lemmensinstituut (une école supérieure à Leuven). L’envie de jouer dans une langue qui n’était pas le mien m’a poussé à continuer mes études dans une école francophone. Après avoir terminé deux ans au Lemmensinstituut, l’IAD m’a accepté en tant que étudiant en troisième année. C’est dans cette école-ci que j’ai optenu mon diplôme en arts dramatique en 2013. Depuis ma sortie d’école, j’ai surtout joué avec la compagnie [e]Utopia, d’Armel Roussel. À présent j’ai fait partie de trois création sous sa direction, Ondine (démontée), passez-commande et
L’éveil du printemps. En dehors de ces spectacles, j’ai joué dans les fourberies de Scapin, de Marc Paquien et dans Quartier 3, destruction totale, mis-en-scène par Olivier Boudon. Je continue également de jouer en Néerlandais, mais c’est, à l’heure actuel, uniquement du travail face caméra. En 2017, Amandine Laval, Romain Cinter et moi-même avons monté la compagnie Surpeuplé/Overbevolkt, avec laquelle nous faisons des recherches théâtrales.

Une émission proposée par les Laboratoires d’Aubervilliers.