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18.10.25
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De juin à octobre, *Duuu organise des événements aux abords de son studio situé dans la Folie N4 au Parc de la Villette (Paris 19e)

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Dans un studio d’enregistrement, un poète derrière un micro-sur-pied entreprend de lire un texte qu’il tient entre ses mains. À ses côtés, derrière ses consoles, Chloé Thévenin l’enregistre pour mixer sa voix dans son son électro (ça donne system error_) - ou Jean-Michel Espitallier joue de la batterie (ça donne On Time).

Light turbulences est une oeuvre musicale produite et éditée par *Duuu, où la voix poétique de Jérôme Game joue de la puissance du sound-system et de celle, toute acoustique, des percussions, jusqu’à faire entendre que la langue, le texte, ne suffisent pas, et sont toujours plus forts de ce qu’ils ne sont pas, de ce qu’ils ne peuvent pas — le son pur, la musique.

À l’occasion de la sortie du vinyle Light Turbulences de Jérôme Game, cette soirée réunit lecture performée, concert, performance live et conversation autour d’un micro.

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CONVERSATION RADIOPHONIQUE - Thomas Corlin & Jérôme Game
RÉCIT(S) (mise en lecture de _systemerror) - Par Hubert Colas avec Jérôme Game & Thierry Raynaud
ON TIME (live) - Jérôme Game & Jean-Michel Espitallier
LE CHÂ (concert) - Lutèce Lockness

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📆 Samedi 18 octobre 2025
⏰ De 19h à 23h
☀️ Événement en plein air, ouvert et gratuit
📡 En direct et en réécoute sur www.duuuradio.fr
📌 Plan d'accès - Folie N4, Parc de la Villette

Ce programme est accessible aux visiteur.euses aveugles et malvoyant.es par l’intermédiaire du service Souffleurs d’Images. Contact : radio.duuu@gmail.com

Enregistrement : Mathias Dupaquier & Aurore Portales

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16.04.15
Julien Berthier
Antonio Contador
55'16"
Flamme Parpaing (12)
Flamme Parpaing (12)
16.04.15
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L’idée d’entreprendre la série ‘Flamme parpaing’ – en 2013 – se confond presque avec l’envie de m’entretenir avec lui sur son travail, sa démarche et ses prémisses tout en creusant des tunnels allant dans d’autres directions. J’avais patiemment et secrètement imaginé le décor : une table pas forcément isolé d’un restaurant du XVIIIe arrondissement de Paris sur laquelle trôneraient les couverts, deux plateaux – un de charcuteries, un de fromages – un pichet de vin rouge, une carafe d’eau, du pain, son casque, ses gants, des clefs et un enregistreur numérique. J’ai par ailleurs été l’un de ses assistants dans la réalisation d’une de ses pièces d’extérieur – Les Corrections – montrée la toute première fois lors d’une exposition collective d’œuvres voilées et clairsemées dans le paysage d’Ivry-sur-Seine (Le chat est dans la forêt), mise en place par Julie Béna et moi-même en 2012.

L’entretien a finalement eu lieu dans le XVIIIe arrondissement de Paris, dans mon appartement, le 08 avril 2015 en début d’après-midi, quelques minutes après un poulet frites servi à ma table de cuisine, 2 ans après le début de Flamme parpaing et 3 ans après les Corrections.

  • A table comme au lit, (5’33)
  • Les forfaits du bien, (5’29)
  • L’image poétique et son penchant techniciste, (8’58)
  • A qui les artistes pensent-ils quand ils travaillent ?, (7’33)
  • L’homme en creux, (5’38)
  • Aller vers l’abstraction et la cicatrisation, (5’56)
  • L’abstraction autorisée et le bordel organisé, (9’07)
  • Ps : Love love, (8’22)

Une rencontre avec Julien Berthier à Paris, le 08/04/2015 proposée par Antonio Contador.

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